En cas d'impossibilité d'exercer sa fonction, la présidence de la république
devrait passer sous les commandes du president du senat, Ba Mbaré. Ce dernier
serait malade, donc à Messoud Ould Boulkheir, president de l'Assemblée
Nationale d'etre le locataire du palais ocre. Depuis quelques jours, l'hypothèse
du vacance du pouvoir est à l'ordre du jour. Même si, juridiquement on en est
pas encore à ce stade, politiquement les calculs se font dans les coulisses.
Et si Messoud était président de la république. c'est tout à fait envisageable.
Je prefere Messoud que Ba Mbaré pour la simple raison que ce dernier à fait ses preuves de clown. Il n'a jamais eu le courage de prendre des initiatives et d'imposer quoi que ca soit en tant que président. Ne me dites pas que ses pouvoirs etaient limités. Il a accepté d'etre un président-clown bien que les textes juridiques lui conféraient entièrement le pouvoir exécutif. Il n'a rien executé. Pire encore, il a joué le jeu du general putchiste et n'a jamais joui des prerogatives dignes d'une haute personnalité d'Etat. L'expérience du président fantoche était bien concluante pour le général-président-démissionnaire à l'epoque. Confier à Ba Mbaré le pouvoir une seconde fois n'impliquerait aucun risque pour le Haut Conseil avant de le reprendre tranquillement. Cette strategie de "une-deux" de "passe-passe" est fréquenté en Afrique. Le cas de ATT au Mali pour ne citer que cet exemple.
Avant d'être président de l'Assemblée Messoud est avant tout un fervent opposant qui a fait ses preuves et un eternel militant contre l'esclavage et la stigmatisation des hratins. Je me demande si ce descendant d'esclave acceptera -t-il de faire allégeance aux anciens maitres ? Quoi qu'il en soit, il ne fera pas comme Ba Mbaré. En tant que président de l'Assemblée, il a osé prendre position comme toujours sur la question de l'esclavage réitérant ainsi son attachement à la lutte contre l'exploitation de sa communauté par les beydhanes. A mon humble avis, messoud à la présidence est peu probable. Pensez-vous que les Maure-itaniens sont prêts à accepter qu'un ancien esclave dirige le pays ? Cette option est non seulement dangereuse et risquée pour le chauvinisme beydhane mais aussi pour les militaires qui sont, rappelons-le, au devant de la scène depuis le 13 octobre dernier.
Et comme il est de coutume qu'en Mauritanie les généraux de l'armée, les militaires sont de potentiels président. Il nous faut ré- introduire le général Ghazwani dans les hypothèses. j'appelle cette dernière hypothèse : le tiers exclus par la constitution. Et comme nous l'avions dit précédemment c'est une affaire militaro-militaire. Les civils ont peu de chance de reprendre le pouvoir.
Et si Messoud était président de la république. c'est tout à fait envisageable.
Je prefere Messoud que Ba Mbaré pour la simple raison que ce dernier à fait ses preuves de clown. Il n'a jamais eu le courage de prendre des initiatives et d'imposer quoi que ca soit en tant que président. Ne me dites pas que ses pouvoirs etaient limités. Il a accepté d'etre un président-clown bien que les textes juridiques lui conféraient entièrement le pouvoir exécutif. Il n'a rien executé. Pire encore, il a joué le jeu du general putchiste et n'a jamais joui des prerogatives dignes d'une haute personnalité d'Etat. L'expérience du président fantoche était bien concluante pour le général-président-démissionnaire à l'epoque. Confier à Ba Mbaré le pouvoir une seconde fois n'impliquerait aucun risque pour le Haut Conseil avant de le reprendre tranquillement. Cette strategie de "une-deux" de "passe-passe" est fréquenté en Afrique. Le cas de ATT au Mali pour ne citer que cet exemple.
Avant d'être président de l'Assemblée Messoud est avant tout un fervent opposant qui a fait ses preuves et un eternel militant contre l'esclavage et la stigmatisation des hratins. Je me demande si ce descendant d'esclave acceptera -t-il de faire allégeance aux anciens maitres ? Quoi qu'il en soit, il ne fera pas comme Ba Mbaré. En tant que président de l'Assemblée, il a osé prendre position comme toujours sur la question de l'esclavage réitérant ainsi son attachement à la lutte contre l'exploitation de sa communauté par les beydhanes. A mon humble avis, messoud à la présidence est peu probable. Pensez-vous que les Maure-itaniens sont prêts à accepter qu'un ancien esclave dirige le pays ? Cette option est non seulement dangereuse et risquée pour le chauvinisme beydhane mais aussi pour les militaires qui sont, rappelons-le, au devant de la scène depuis le 13 octobre dernier.
Et comme il est de coutume qu'en Mauritanie les généraux de l'armée, les militaires sont de potentiels président. Il nous faut ré- introduire le général Ghazwani dans les hypothèses. j'appelle cette dernière hypothèse : le tiers exclus par la constitution. Et comme nous l'avions dit précédemment c'est une affaire militaro-militaire. Les civils ont peu de chance de reprendre le pouvoir.
Ndiaye
Kane Sarr
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