ALAKHBAR
(Nouakchott)-Le meurtre d’un jeune mauritanien par de jeunes libyens
continue de susciter incompréhension et indignation. C’était ce vendredi
5 octobre, au stade Olympique, agressé et battu sauvagement à mort
par ces bourreaux Ababacar Sy est parti dans la force de l’âge laissant
derrière lui un avenir qui lui aurait souri sans nul doute;
Les causes de cet acte restent encore un mystère. Chez la famille auprès de qui Alakhbar s’est rendu samedi au quartier de la Socogim PS l’heure est à la consternation et à l’incompréhension. Ce qui explique d’ailleurs le silence pudique des parents face à nos journalistes. Seul l’oncle du défunt a pu surmonter sa peine pour se confier lapidairement sur cette affaire. Ainsi commence t-il par exprimer la peine incommensurable ressentie par toute la famille.
Ababacar Sy nous confie-t-il:
«Un garçon sociable et d’un abord facile. Il était parti cet après
midi-là au stade --comme tout enfant-- pour ses entrainements». Ce jour-là le jeune ne rentrera jamais. Le stade allait être une escale macabre vers sa dernière demeure. Les causes de cet acte restent encore un mystère. Chez la famille auprès de qui Alakhbar s’est rendu samedi au quartier de la Socogim PS l’heure est à la consternation et à l’incompréhension. Ce qui explique d’ailleurs le silence pudique des parents face à nos journalistes. Seul l’oncle du défunt a pu surmonter sa peine pour se confier lapidairement sur cette affaire. Ainsi commence t-il par exprimer la peine incommensurable ressentie par toute la famille.
Selon toujours Moctar Fall, conseiller technique au ministère de Développement rural c’est vers les environs de 19 heures qu’un appel signifia à la famille la terrible nouvelle : «Nous nous sommes rendus aux urgences pour constater la mort de mon neveu». Sur les circonstances ; aucun élément nouveau la police fait son travail présentement.
Revenant sur ce qu’ils ont pu constater concernant la victime, l’oncle avare de description par décence et par respect pour les oreilles pudibondes dira seulement que le corps était maculé de sang et truffé de blessures. «Je n’irai pas jusqu’à décrire les blessures pour ne pas heurter la sensibilité de certains, mais il a été agressé sauvage et ce d’autant plus que l’un des présumés meurtriers est encore mineur. Ce qui nous estomaque c’est qu’il est normal que des jeunes se bagarrent mais pas au point de commettre l’irréparable».
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire