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samedi 14 décembre 2013

Les esclavagistes Mauritaniens reconnaissent qu’ils ont des esclaves dans leurs familles.



Les bêtisiers pseudonymes de l’état reprennent leur bâton de pèlerins  menteurs. Ils reconnaissent que dans toutes les familles maures, on trouve des esclaves qui y vivent donc ils ne peuvent risquer de signer leurs mensonges, en signant, ils savent très bien les abolitionnistes viendront déloger leurs otages esclaves.


« Aujourd’hui des pauvres descendants de ces derniers continuent à vivre dans les maisons de leurs anciens maitres, non pas qu’ils sont forcés physiquement de le faire, mais ils n’ont tout simplement pas le choix. Sans avoir un toit, ni de quoi manger, ils n’ont d’autres choix que de rester chez eux pour au moins pouvoir manger, dormir et que leurs enfants puissent aller à l’école. J’ai vu des cas concrets comme celui-ci et je considère que ca peut être rapporté aux séquelles de l’esclavage et non pas à l’esclavage, car ils décident de rester par choix et généralement ils ne font aucun travail ménager » source un Pseudo du cridem : 7amdouch



mohamed hanefi : « Monsieur 7amdouch.Il y-a beaucoup de vérités, de passions, de haines et d'amour dans votre discours. Personnellement je pense que, c'est vrai, beaucoup de cas d'esclavage en Mauritanie étaient des cas "d'esclavage C'est vrai. Certaines tentatives plutôt timides ont été esquissées pour conjurer les graves inégalités sociales. C'est vrai. Mais ou sont les résultats. Des virus continuent a proliférer dans notre société et avec notre concours. Chaque famille y a sa part de responsabilité.



Meditez avec moi c'est phrases quotidiennes que nous entendons et prononçons, tous, et chaque jour: "Tiapato ne arra dioni." (le maure arrive), pour apeurer le petit pulaar. "Skit walla ijik al kori", pour terroriser le petit maure qui agace ses parents. "Dina oh naar lééégui" pour remettre le petit wolof sur les rails.



Est-ce que nous ne sommes pas en train hypocritement d'allaiter a nos enfants le lait d'une haine a laquelle nous ne voulons pas faire face?



Pourquoi pouvoir rassembler toute la population mauritanienne pour les élections, en un jour, et être incapable de les rassembler pour les mettre en garde contre le germe de la division et de la dislocation, en 53 ans?.



Biram, comme vous et moi est un mauritanien qui, révolté par certaines inégalités et certaines injustices, s'est dressé contre une tare de sa société. C'est son droit. Nous devons d'ailleurs l'en féliciter et lui octroyer d'autres distinctions en plus de cela.



Ce que je voudrais vous dire, c'est que tout d'abord, nous sommes presque tous, contre toute participation, pour ne pas dire ingérence dans nos problèmes nationaux. Mais il faut accepter avec moi, que notre silence coupable, sur nos différences et notre indifférence devant ces dangers qui menacent le pays, donnent a qui le veut le droit de mettre son doigt dans notre œil. »



Diko hanoune

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