Jusque-là nous pensions qu’il s’agissait juste de quelques centaines
de cas, ce qui est déjà beaucoup mais à lire le dernier communiqué à
Bruxelles des concernés, il s’agirait de centaines de milliers de cas en
Europe et dans le monde disent-ils. Comment ont-ils ces chiffres ? Peu
importe. La nouvelle c’est qu’ils nous apprennent qu’à ce jour les
autorités mauritaniennes demandent toujours aux mauritaniens de la
diaspora de présenter une carte de séjour pour être enrôlés, excluant
ainsi non seulement les exilés pour raison politique du temps de Taya et
leurs familles qui ont obtenu d’autres nationalités pour survivre mais
aussi tous ceux qui ont quitté le pays pour des raisons économiques pour
tenter leur chance ailleurs et qui au fil des ans ont répondu aux
critères de naturalisation dans les pays concernés ce qui leur a permis
de vivre sans avoir besoin de demander des cartes de séjour.
La loi établie jadis pour sauver la Mauritanie naissante qui a eu du mal à être reconnue par certains de ses puissants voisins, puis la Mauritanie en guerre, cette loi est devenue scélérate aujourd’hui car elle n’obéit plus à ce souci légitime mais à d’autres objectifs soit l’épuration ethnique ou juste l’exclusion pour le simple motif de jalousie face à des citoyens qui ont désormais grâce à leur double nationalité moins de souci pour voyager dans monde, vivre dans de meilleurs conditions d’éducatives et de santé pour leurs enfants.
Aussi quand l’Etat mauritanien décide d’effacer de la citoyenneté mauritanienne tout mauritanien qui n’a pas de carte de séjour, ce n’est plus pour sauver l’Etat mais juste pour faire mal, en trouvant un prétexte pour commettre ce qui n’est ni plus ni moins qu’un génocide biométrique.
Quand on est à Nouakchott, bloqué sur place avec la nationalité mauritanienne qui n’apporte aucun bénéfice ni sur le sol mauritanien où règne la misère, le racisme, l’ennui, le fanatisme, la jalousie, le tout avec des hôpitaux mouroirs, des écoles de l’ignorance sous le joug de régimes sans programme, sans vision, sans objectif sinon l’enrichissement d’une classe dominante sur le dos du reste, ni à l’étranger où cette nationalité est méprisée jusqu’en Arabie alors bien sûr imaginer que d’autres puissent vivre au frais cela peut rendre fous de jalousie.
C’est cette jalousie haineuse qui ne fait bondir personne ou du moins pas suffisamment de monde en Mauritanie pour changer les choses surtout quand la communauté négro-mauritanienne est la première concernée par cette affaire qui est choquante. Il lui suffirait pourtant de faire bloc avec l’aide de tous les mauritaniens pour une Mauritanie ethniquement et tribalement apaisée, pour que le racisme d’Etat recule. Hélas il faut croire que quelques nominations de bonnets noirs et noirs bonnets suffisent là encore à clouer le bec de tout le monde sinon comment expliquer un tel abandon de nos frères à l’étranger ou des métis qui longent les murs pour une faveur comme des clandestins tolérés ?
De l’autre côté de nos frontières, des mauritaniens qui sont allés tenter leur chance ailleurs sont radiés de la citoyenneté mauritanienne pas parce qu’ils n’ont pas de document attestant leur Mauritanité mais parce qu’ils n’ont pas de carte de séjour étrangère. Il se trouve que ces gens sont en majorité des négro-mauritaniens, ce qui devrait encore plus faire bondir la Mauritanie car mis à part les hratines qui sont nés dans les fers pour vivre dans la misère, la communauté négro-mauritanienne est celle qui a le plus souffert depuis l’indépendance sous les coups de la république raciste.
Bien sûr, le cas isolé d’un enfant Ould de père mauritanien et de mère française à qui on refuse la double nationalité sert cette politique raciste et criminelle en leur disant « voyez, même les Ould sont concernés ». Il s’agit-là d’un argument de ricaneurs qui devraient recevoir en retour de quoi les éloigner à jamais du pouvoir pour que la Mauritanie puisse être un jour la terre de tous les mauritaniens et non seulement des sujets de tel roitelet sous la coupe d’une poignée d’illuminés ayant pour la plupart d’autres nationalités.
Aussi, les Etats impliqués malgré-eux dans ce génocide biométrique, par ce délire administratif demandant un papier étranger à savoir une carte de séjour pour que soit enrôlé un citoyen mauritanien, devraient demander à la Mauritanie de ne pas les impliquer dans une affaire qui relève de la souveraineté nationale.
La loi établie jadis pour sauver la Mauritanie naissante qui a eu du mal à être reconnue par certains de ses puissants voisins, puis la Mauritanie en guerre, cette loi est devenue scélérate aujourd’hui car elle n’obéit plus à ce souci légitime mais à d’autres objectifs soit l’épuration ethnique ou juste l’exclusion pour le simple motif de jalousie face à des citoyens qui ont désormais grâce à leur double nationalité moins de souci pour voyager dans monde, vivre dans de meilleurs conditions d’éducatives et de santé pour leurs enfants.
Aussi quand l’Etat mauritanien décide d’effacer de la citoyenneté mauritanienne tout mauritanien qui n’a pas de carte de séjour, ce n’est plus pour sauver l’Etat mais juste pour faire mal, en trouvant un prétexte pour commettre ce qui n’est ni plus ni moins qu’un génocide biométrique.
Quand on est à Nouakchott, bloqué sur place avec la nationalité mauritanienne qui n’apporte aucun bénéfice ni sur le sol mauritanien où règne la misère, le racisme, l’ennui, le fanatisme, la jalousie, le tout avec des hôpitaux mouroirs, des écoles de l’ignorance sous le joug de régimes sans programme, sans vision, sans objectif sinon l’enrichissement d’une classe dominante sur le dos du reste, ni à l’étranger où cette nationalité est méprisée jusqu’en Arabie alors bien sûr imaginer que d’autres puissent vivre au frais cela peut rendre fous de jalousie.
C’est cette jalousie haineuse qui ne fait bondir personne ou du moins pas suffisamment de monde en Mauritanie pour changer les choses surtout quand la communauté négro-mauritanienne est la première concernée par cette affaire qui est choquante. Il lui suffirait pourtant de faire bloc avec l’aide de tous les mauritaniens pour une Mauritanie ethniquement et tribalement apaisée, pour que le racisme d’Etat recule. Hélas il faut croire que quelques nominations de bonnets noirs et noirs bonnets suffisent là encore à clouer le bec de tout le monde sinon comment expliquer un tel abandon de nos frères à l’étranger ou des métis qui longent les murs pour une faveur comme des clandestins tolérés ?
De l’autre côté de nos frontières, des mauritaniens qui sont allés tenter leur chance ailleurs sont radiés de la citoyenneté mauritanienne pas parce qu’ils n’ont pas de document attestant leur Mauritanité mais parce qu’ils n’ont pas de carte de séjour étrangère. Il se trouve que ces gens sont en majorité des négro-mauritaniens, ce qui devrait encore plus faire bondir la Mauritanie car mis à part les hratines qui sont nés dans les fers pour vivre dans la misère, la communauté négro-mauritanienne est celle qui a le plus souffert depuis l’indépendance sous les coups de la république raciste.
Bien sûr, le cas isolé d’un enfant Ould de père mauritanien et de mère française à qui on refuse la double nationalité sert cette politique raciste et criminelle en leur disant « voyez, même les Ould sont concernés ». Il s’agit-là d’un argument de ricaneurs qui devraient recevoir en retour de quoi les éloigner à jamais du pouvoir pour que la Mauritanie puisse être un jour la terre de tous les mauritaniens et non seulement des sujets de tel roitelet sous la coupe d’une poignée d’illuminés ayant pour la plupart d’autres nationalités.
Aussi, les Etats impliqués malgré-eux dans ce génocide biométrique, par ce délire administratif demandant un papier étranger à savoir une carte de séjour pour que soit enrôlé un citoyen mauritanien, devraient demander à la Mauritanie de ne pas les impliquer dans une affaire qui relève de la souveraineté nationale.
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