Au secours des Haratine:SOS-Abolition: L’agence de Tadamoun répare le pont arrière de la GX de son directeur Hamdi Ould Mahjoub à coup de : « 8 millions 6 00 000 ouguiyas soit 26.000 Euros ».

mardi 1 avril 2014

L’agence de Tadamoun répare le pont arrière de la GX de son directeur Hamdi Ould Mahjoub à coup de : « 8 millions 6 00 000 ouguiyas soit 26.000 Euros ».

Le faux fou général Thieb-Thiaaba de Nouakchott ne nous surprend pas avec ces marchés de voitures d’occasions arrivages de l’étranger. Ecoutez bien, ça donne de la nausée, la réparation du pont arrière de la voiture du directeur de l’agence d’enrichissement illicite, de détournements et d’engraissement des esclavagistes sous le label : « l’agence Tadamoune pour la lutte contre les séquelles de l’esclavage et la pauvreté » confié à un Maure Blanc au nom de Hamdi Ould Mahjoub, un esclavagiste notoire a couté la bagatelle magique pourtant l’homme serait en mission pour libérer les victimes de l’esclavage est de : « 8 millions 6 00 000 milles ouguiyas, soit 26.000 Euros ». Il semble que les japonais se sont trompés en construisant le pont arrière de la GX Toyota en lingots d’or lol...... En vérité l’esclavage est un fond de commerce pour les dirigeants, la Mauritanie est le seul pays au monde ou chaque année, on crée des structures et ONG cachées sous le label de la lutte contre l’esclavage, ses séquelles et la pauvreté doubler dès fois par des ONG fantômes de développements. Se sont des structures qui sont chargées de collecter les aides et dons en même temps berner la communauté internationale et le monde arabe au point que l’imam de la grande mosquée de l’Arabie saoudite incite les saoudiens pécheurs à racheter la liberté des esclaves en Mauritanie pour se repentir de leurs péchés. Bien entendu, c’était une stratégie d’enrichissement des maitres d’esclaves Maures blancs sous le strict contrôle du barbu chef des fornicateurs, Cheikh Ould Deddew qui contrôle l’ONG fantôme dénommée « Pour la formation des imams ». Selon Irabiha Mint Abdel wedoud, présidente de la fameuse « commission des droits de l’homme », il existe en Mauritanie des milliers d’ONG reconnues par l’état bien sûr qui contestent les méthodes de Biram non l’esclavage afin de l’empêcher d’être primé par les nations unies, se sont cas même des ONG inconnues des Mauritaniens à fortiori par les victimes de l’esclavage et du racisme si réellement elles combattaient les phénomènes, on sait qu’elles ne combattent pas l’esclavage mais elles partagent les dons et aides destinés aux victimes avec les hommes du pouvoir au détriment des bénéficiaires dont on a vendu leur malheureux sort à l’ONU, L’union Africaine, L’union Européenne, Les Etats Unis, Les pays du golfs, la communauté internationale etc.... Déjà à quoi sert : la commission des droits de l’homme, le commissariat des droits de l’homme, l’agence de lutte contre l’esclavage et ses séquelles, les juges nommés récemment chargés de juger les crimes de l’esclavage, le représentant de la Mauritanie auprès des nations unies, à Genève sans compter dans chaque ambassade, il y a un chargé des droits de l’homme etc... Quel gâchis? Les hommes du pouvoir aiment accuser les abolitionnistes d’utiliser l’esclavage à des fins d’enrichissements personnels, de promotions personnelles ou politiques alors si tel était le cas, rassurez vous qu’ils seront à la tête des pelotons de la lutte contre l’esclavage. Il n’est plus secret pour personne, Le fou faux général Aziz utilise cette fameuse agence de lutte contre les séquelles de l’esclavage et ces poussins juges qu’il vient de nommer chargés de juger les crimes de l’esclavage pour mener sa campagne présidentielle afin d’assurer sa réélection. On n’a vue des reportages qui passent en bouche dans les medias montrant la pose d’une pierre pour la construction d’un centre de santé dans un village d’esclaves comme si cela vient directement de la poche du général Aziz alors que c’est un devoir que les autorités doivent aux citoyens depuis l’indépendance. En plus il y a une sacrée différence entre poser une pierre et l’inauguration d’un centre de santé ou une école. Depuis des années, on ment au monde entier en disant l’esclavage et le racisme n’existent pas, bien le mensonge a beau séjourné mais il sera écrasé tôt ou tard par la verité. Dans cette histoire de gros sous pour les Maures, seules les victimes sont livrées à elles, une raison de plus à ne jamais reconnaitre les vraies ONG qui ne sont pas nombreuses mais très efficaces sur le terrain dans la lutte contre l’esclavage et toutes sortes de discriminations. Le réveil des victimes se passera comme un volcan endormis depuis des siècles pour les maures.

Ci-dessous Le cirque du directeur Tadamoun.....

« Cridem a suivi le deuxième tour de Mauritanie du directeur général de l’agence nationale Tadamoun Me Hamdi Ould Mahjoub. Ce juriste, choisi par le président Mohamed Ould Abdel Aziz, pour diriger cette agence nationale contre l’exclusion sociale, a d’abord parcouru la Mauritanie du nord au sud, d’est en ouest pour connaître les vrais problèmes des populations. »

Aujourd’hui, à Tirwen et Ziret Lekhchbeb, dans la commune d’Atar, il vient avec du concret. S’adressant aux populations de ces deux localités, le directeur général de Tadamoun dira :

« Il y a neuf mois, je suis venu vous voir juste après ma nomination à la tête de l’agence pour vous sensibiliser sur les objectifs et missions de son institution mais aussi pour associer la population cible à l’évaluation des besoins et à la conception des projets.

Vous avez demandé avec insistance la construction d’une école complète pour Terwen et un poste de santé pour Ziret Lekhcheb. Aujourd’hui, nous venons vous voir pour la pose de la première pierre de ces deux édifices ». Les populations applaudissent.

« Cet homme nous rappelle le président Mohamed Ould Abdel Aziz. Nous sommes toujours en confiance avec ces responsables » précise Lehbouss Ould Samba, chef du village de Ziret Lecheb. Avec un ciblage bien étudié, Tadamoun se veut être précurseur du développement de proximité en Mauritanie.