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mardi 29 avril 2014

La démission n’est pas une fin en soi.............





Attention à l’amalgame,  Brahim Ould Bilal est un militant qui croit à la cause. Il a le virus IRA dans le  sang comme ces millions de Mauritaniens. Certes il a démissionné d’IRA-Mauritanie mais ne vous y attendez pas de voir ce militant s’attaquer à IRA Mauritanie comme un fauve affamé. Quant il y a  d’accord, manquement etc...  vaut mieux de prendre son courage à deux mains pour démissionner afin de ne  pas entraver les actions que ça soit d’un gouvernement, un parti politique, un mouvement politique ou une ONG telle qu’IRA-Mauritanie. Les Mauritaniens n’ont pas la culture d’une démission naturelle en vue de prendre du recul non, ils croient démissionner signifie tout casser, faire sombrer le navire comme on  dit dans le jargon par   vengeance tellement qu’ils sont faux.  Je vois certains applaudir pas seulement avec les deux mains mais aussi avec leurs pieds pour crier c’est fini IRA-Mauritanie. Bien ils se trompent, même Biram Dah peut démissionner, je vous assure le mouvement va continuer ces actions de plus belles.  Certains Mauritaniens sont tellement aigris au point ils voient du mal partout. Brahim a démissionné pour garder la cohésion du mouvement et c’est plutôt préférable ainsi  s’il ne s’y retrouvait plus, il n’a pas démissionné de la lutte contre l’esclavage, le racisme, la féodalité, les inégalités  qu’il mènera toujours  et je pense le général  Aziz et sa boite noire  UPR attendront durant tous les mandats  de leur fou général sans arriver à le corrompre contre IRA-Mauritanie. IRA n’est plus la personne d’un tel, non c’est une cause nationalement, internationalement  noble. Qui aurait cru qu’un Ahmed Ould Dadah aurait manifesté un jour contre l’esclavage ? On peut dire merci à IRA, Merci à Biram, merci à Brahim et les millions de Mauritaniens qui sont prêts à découdre avec l’esclavage pour leur  travail colossal qui n’est pas fini mais qu’il faut continuer, encourager  que ça soit dans l’unité ou chacun de son côté, les déterminés se retrouveront toujours et les désaccords seront résorbés, entérinés un jour.  Bonne continuation aux camardes Brahima Ould Bilal et IRA-Mauritanie, seule la libération des victimes de l’esclavage, du racisme et la féodalité mettra fin à notre lutte. Elle prendra fin le jour ou il n’y aura plus d’esclave en Mauritanie. Le pouvoir et ses nègres de service  ont beaux rêvés avec des calculs mesquins de diviser pour mieux régner mais cette formule est vouée à un cuisant échec depuis toujours.

Diko hanoune

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