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La victime oubliée pour condamner des « profanateurs » imaginaires du coran en Mauritanie.
- Chose insoutenable, tout le monde se presse
de condamner un acte qu’on juge de profanation du « coran » oubliant
même le jeune homme qui a été lynché par des policiers comme des fauves sur une
proie facile au point que ces parents n’ont pas pu identifié leur fils
tellement qu’il était dans un état déplorable. L’autopsie du corps du jeune Ahmed Ould Hamoud a été tronquée pour blanchir le crime parfait
des policiers au point les parents ont refusé son enterrement sans un rapport
qui scie avec les conditions atroces dans lesquelles le jeune a été sauvagement
assassiné, puis on nous lance sur la trousse des profanateurs imaginaires, est
ce qu’il existe dans nos mosquées le vrai livre authentique du coran ? On
nous a habitué tellement de mensonges au
point les mêmes imams avaient classé des livres codes d’esclavage et
fornications dans le rang du saint coran, tous les livres sont identifiés au
saint coran alors qu’ils n’ont rien n’avoir avec le coran et la charia
islamique. Avant de condamner ces profanateurs imaginaires, n’est-il pas plus légitime
de condamner les assassins du jeune Ould Hamoud qui sont connus par tous,
à savoir le régime dictatorial de ce faux général? La course des communiqués, déclarations
est lancée, chacun y va avec zèle comme le plus grand défenseur du saint livre coran alors qu’ils
font tout le contraire de ce qui est prescrit dans le coran. Arrêtez de nous
chanter la Mauritanie est à 100% musulmane, c’est archi-faux, tous les
militaires particulièrement les généraux n’ont rien de musulmans, ils ont le
sang des innocents dans les mains depuis 1978. Les auteurs de l’assassinat du
jeune doivent être traduits devant la justice, l’imam qui est l’origine de
cette fausse propagande doit répondre à ces mensonges qui ont entrainé la mort
d’un homme. On ne dit pas aux croyants que le livre saint a été profané sans
preuve en sachant les conséquences peuvent entrainer la perte des vies.
- Diko hanoune
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