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mardi 18 mars 2014

Komé singulier du komo au pluriel, le phénomène de l’esclavage s’appelle komakhou....



Photo Ba Abdoullaye Diakhité prise sur écran de la Télévisons Mauritanienne en direct.
Erratum  Télévision Mauritanienne: Samedi 15 Mars à 17h15 temps universel, le journaliste  Ba Adoullaye Diakhité  commet une grosse gaffe, nos ainés : Nalla Sy, Moro Sidibé et d’autres qui suivent les journaux de la TV Mauritanienne de nos langues nationales, ont  été surpris par se fameux journaliste en langue soninké  qui donne une information complètement erronée sur la feuille de route adoptée en  conseil des ministres concernant  la feuille de route sur la lutte contre l’esclavage et ses séquelles qui engage les autorités du pays. Mr Diakhité refusa de traduire comme l’a fait ces collègues en langue Hassanya « qualifiée d’arabe locale », Poular, Wolof qui ont clairement parlé de la lutte contre l’esclavage et ses séquelles, lui se milita à dire que la feuille de route concerne juste les droits de l’homme brièvement alors pourquoi l’homme serait il gêné de prononcer le mot esclavage en soninké « Komé » ?  Certes cela concerne les droits de l’homme mais quels genres des droits de l’homme sont concernés Mr Diakhité? Voila comment les soninké ont été privé de la bonne information, nous serons là pour remettre les points sur les  « I » de certains journalistes qui prennent des décisions unilatérales pour déformer la réalité de l’information. Une demande d’explication sur le comportement Ba Adoullaye Diakhité qui est en réalité tout sauf un journaliste mais un charlatan marabout qui tient des écoles coraniques ici et là. Il serait même question de vérifier quel enseignement cet homme donnerait aux gamins qui font la mendicité dans la rue pour construire ses écoles coraniques ? Les parents doivent prendre conscience, un enseignement faux de l’islam ne conduira ni les parents à plus forte raison leurs enfants au paradis comme laisse entendre certains charlatans au contraire cela contribue à leur perdition ; en les pervertissant à commettre des actes terroristes irréparables y compris contre leurs propres parents avec des méthodes barbares d’endoctrinement.
Komé singulier du komo au pluriel, le phénomène de l’esclavage s’appelle  komakhou....

Diko hanoune

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