Je le dis devant Dieu, les hommes, les
femmes, devant Samba Thiam lui-même le
concerné, j’assume complètement mes propos jusqu’à la fin du monde qui
n’engagent que ma personne. M.Thiam a
raté l’histoire de céder la présidence
des FLAM en marquant au fer rouge le
mouvement par son nom. Il promet à chaque fois de céder la présidence à
quelqu’un d’autre, le problème est qu’il
ne tient jamais parole ni promesse à l’image du faux général Aziz, remarque
l’ancienne génération est prise par le démon,
complètement malade parce qu’elle
ne peut s’en passer de tromper, de
mentir aux militants et citoyens. De Cincinnati à Paris,
aujourd’hui Nouakchott, il sort toujours
les mêmes balivernes pour abreuver des
esprits faibles et pauvres. Des petites
personnes proches du pouvoir dont la
plupart sont animées par un esprit
féodal qui l’entourent actuellement, lui font croire qu’il serait le messie
pour l’encourager à casser en mille morceaux le grand mouvement FLAM. S’il était
entré par la grande porte jadis, là il ressort par la fenêtre carrément. Pour
sauver l’apparence ou les apparences, il ne lui reste plus qu’à démissionner,
l’argument comme quoi lui-même ne voulait pas
reprendre la direction du mouvement et qu’on l’a même « forcé la main » ne tient plus debout.
Ben si c’est le cas, voilà une occasion pour lui de démissionner puisqu’il ne
fait pas l’unanimité. Comment peut-il valider un congrès avec des faux
militants qu'on a rassemblé ici et là dans la rue du jour au lendemain ne
connaissant même pas c’est quoi le sigle FLAM pour décider à la place des gens
qui ont milité pendant plus de trente ans? Il faut arrêter de se moquer du
monde, nul doute pour moi après l'analyse de sa réponse lors d’une interview
avec un journal local, l’injonction du faux général Aziz dans les affaires
courantes des FLAM est presque certaine.
Alakhbar : « Le président vous a-t-il promis
une reconnaissance comme parti politique ? »
Samba Thiam: « Je lui ai exprimé mon point de
vu là-dessus. Vous pouvez lui demander sa réponse. »
M. Samba Thiam, nous ne sommes pas nés de la
dernière pluie
Diko hanoune
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