Vidéo-Alerte : En Mauritanie
des gardes et des policiers tuent des jeunes noirs et l’état refuse l’autopsie aux
parents pour protéger les assassins pendant que des faux rapports
pompeux sont envoyés à la commission des droits de l’homme des nations unies à Genève
pour berner la communauté internationale louant le progrès en matière des
droits de l’homme.
La victime s’appelle Abderrahmane Diallo, ses
parents ont adressé une plainte au procureur de la république qui répond par
des menaces, injures, intimidations et le commissariat aux droits de l’homme,
la fameuse commission nationale chargée des droits de l’homme inféodée avec l’état
et leurs ONG fantômes créées par l’état pour couvrir les crimes des forces de l’ordre
ferment les yeux. Ils gardent un silence assourdissant malgré qu’ils aient reçus
la copie de cette plainte adressée au procureur de la république.
Des gardes et des policiers ont
bel et bien torturés à mort se jeune homme noir malgré l’excès de zèle dans le déni d’un crime commis
par les forces de l’ordre du procureur qui refuse toute idée d’une autopsie neutre et sombre
dans les injures raciales envers les parents en les obligeant à enterrer leur mort
pour protéger les bourreaux policiers et gardes à la place de les assister.
Ceci se passe en plein juillet 2015 et on nous
chante république islamique de Mauritanie quelle horreur ? Ceci est dû
aussi à la passivité des institutions internationales face à l’état Mauritanien
qu’on ne demande jamais à rendre des comptes au risque des sanctions.
Une manifestation a eu lieu
aujourd’hui 22 juillet 2015 devant le ministère de la justice, le ministre
refuse de recevoir les parents de la victime et reste de marbre face aux réclamations
de justice pour la victime des ONG des
droits de l’homme sur place et les parents.
Ci-joint lien vers la plainte et
les contacts des parents de la victime : « A L’Attention de Monsieur
le Procureur : Plainte contre la police d’El Mina 2 » : http://haratine.blogspot.fr/2015/07/a-lattention-de-monsieur-le-procureur.html
Diko hanoune
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