Tout est
parti sur la base des propos vulgaires, malsains que lance un homme
cinquantenaire soninké ressortissant de Daffort envers le jeune frère
d’un éminent militant des droits de l’homme en France qui avait invité à
un « veillé du Ramadan » ses amis dans l’appartement où il
réside. Un féodal du Guidumakha comme il en existe tellement dans le pays
répondant au nom de Camara Taba Boubou connu pour ses débilités, son
mépris, sa brutalité, son orgueil surtout vulgarité envers des gens qu’il
considère à sa vision de la planète monde comme « castes
inferieures » dans le milieu villageois soninké.
Notre
enquête commence en Espagne, M. Camara se rend régulièrement en Espagne pour
renouveler ses papiers, il s’installe chez un nommé Dicko Hadiya et ses
colocataires puis Monsieur veut être servi, pris en charge comme un roi,
il se prend comme le roi d’Espagne sortant du village Daffort. La réalité de la
vie actuelle de M. Camara se trouve en France au foyer rue Riquet paris
19 ou 18ème.
Après avoir
traité le nommé Hadiya Dicko de « hardanlémé-fils d’esclave
maure » qui fait le malin, les copains du jeune calment les deux parties
et se dispersent. Mais apparemment le vieux Camara ne lâche pas sa proie, il
revient à la charge, veut imposer par son gabarit physique son caractère
féodal fin de la semaine dernière profitant de l’absence des autres
résidents. Ainsi il trouve le jeune dans la cuisine entrain de préparer à
manger ; Il le provoque à nouveau et lui tombe dessus avec un
couteau de la cuisine mais le jeune s’est défendu et a finalement pris le
dessus.
C’est ainsi
par ses hurlements d’appels au secours qui alertent le voisinage sur la
fureur du jeune d’en découdre avec un rival qui l’en veut sans savoir le
pourquoi ni aucune raison, la gendarmerie espagnole intervient rapidement sur
le lieu. L’homme s’en sort avec des légères blessures à la main qui sont dues
au couteau que le jeune lui a arraché entre les mains qu’il voulait planter sur
son adversaire et à la tête aussi en tombant sur une porte.
Profitant
de ces légères blessures, il introduit une plainte pour blessures par
arme blanche afin d’envoyer le jeune en prison. Joint au téléphone depuis
l’Espagne, Camara se défend : « je suis rentré dans la cuisine pour
présenter mes excuses au jeune suite à notre altercation de l’autre jour entre
nous qui m’a agressé avec un couteau ». A la question : Mais vous
avez cas même un certain âge, pourquoi n’avez-vous pas réuni où attendu la
présence des autres résidents pour éviter un tel débordement ? Il
raccroche le téléphone.
De là, on
comprend qu’il n’était pas sincère au fond de lui, alors on se tourne vers le
grand frère du jeune incriminé dans cette affaire grave où les féodaux
agressent et font croire le contraire au monde extérieur qui nous dira :
« je connais mes petits frères, ils sont pratiquement comme moi, on n’aime
pas faire le tort à quelqu’un mais qu’on ne vient pas non plus nous chercher
des noises gratuitement sur fond de notre dignité humaine. J’ai appelé
personnellement Taba Camara pour lui présenter mes excuses suite aux petits
bobos qu’il a eus, je pensais avoir quelqu’un de sérieux et responsable en face
de moi mais je découvre le contraire malheureusement. Je l’avais suggéré de
retirer sa plainte et il était d’accord. J’avais promis, s’il le faut, je
ferai une descente en Espagne pour régler définitivement leur différend ou le
malentendu entre des frères en obligeant mon jeune frère à présenter des
excuses devant tout le monde. C’était le weekend dernier, dès lundi quand les
gens lui demandent d’aller retirer sa plainte comme promis, il commence à
tourner en rond, il dira d’abord qu’il ne peut pas décider seul sans l’avis de
son frère et de son groupe social, se frère a été contacté qui dira lui
aussi qu’il ne peut pas se déplacer. La communauté lui propose à se déplacer le
voir chez lui et il répond sèchement qu’il n’a pas de place ou les
accueillir pour discuter. En gros tout le monde a compris qu’ils étaient
d’abord complices à la recherche d’argent facile et croyaient que le jeune
frère restera des années en prison pour rien sans le retrait de sa plainte.
Finalement nous avons pris un avocat qui a tout simplement démonté tous
leurs mensonges éhontés et le jeune frère est libre depuis lundi dernier. Je
vous rappelle M. Camara est connu de Daffort en passant par l’Espagne et la
France par son côté féodal bagarreur provocateur, un homme à problème partout
où il passe. Voilà ce que j’ai à vous dire sur cette affaire regrettable qui
démontre combien l’esprit esclavagiste gangrène nos communautés mauritaniennes
vue l’impunité qu’ils jouissent au pays. »
Nous lançons
un appel solennel à la vigilance des diplomates mauritaniens et les européens,
les problèmes liés à la féodalité et l’esclavage risquent de causer des
drames si des mesures préventives et punitives ne sont pas prises contre
les individus qui se croient supérieurs à d’autres citoyens là où ils
peuvent les croiser dans le monde. C’est cas même grave, le système de caste,
l’esclavage sont exportés de la Mauritanie vers ailleurs dans le
monde, comment peut-on nier que l’esclavage n’existe pas ? Les
mauritaniens exportent la culture des inégalités de naissances, les castes et
l’esclavage pendant que nos autorités se contentent à nier se mal sociétal du
siècle.
"Envoyé
par Bano Sidibé"
Source : http://rapideinfo.net/node/4985
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