L’étau se resserre autour la
famille du ministre de l’éducation
nationale Bâ Ousmane, de leur tendance Yaya Kane et scie. L’affaire qui a
conduit le nommé Abdoullaye Barry alias Abdoullaye Bidia en prison est
tellement monstrueuse surtout indigne
des familles soi-disant « maraboutiques, nobles » et j’en passe.
Ces gens sont pires que la peste !
Abdoullaye Barry est à la fois chauffeur mais aussi
actionnaire direct dans l’achat du véhicule à la hauteur de 600.000 UM cash soit 1800 euros. Il est l’homme clé dans cette
petite affaire entre ressortissants du même village qui se sont associés pour
prendre un véhicule de transport en prêt.
Son associé Brahim Sow alias Brahim poulo proche parent du
ministre et de la femme de Yaya Kane occupait juste la place de convoyeur. Puisqu’ils
ont loupé de vider la région du
Guidumakha des peulh en 1989 étant les cerveaux comploteurs des déportations et
exécutions sommaires, ils ont recours aux vieilles méthodes héritées de Taya, c'est-à-dire
dépouillement, rackette des citoyens.
Un plan de couper l’herbe
égoïstement sous les pieds d’une autonomie
au prix fort d’un sacrifice énorme par le dur labeur d’un homme qu’ils considèrent
comme esclave qui fait le malin « Mathioudo Mourtii » se met en place
en douce sous influence des bras-longs de Selibaby jusqu’à Nouakchott sous la
direction Samba Yero Bâ le jassousse de la famille très craint par les
populations dans la région puisqu’il sème la terreur.
C’est ainsi Brahim
Sow parent du ministre Bâ Ousmane avec l’assurance d’une protection de haut
niveau harcèle, provoque son associé par des insultes humiliantes esclavagistes
« sale esclave, Mathioudou déddado bâtard d’esclave…», puis la scène
tourne à la bagarre et Abdoullaye Barry obtient gain de cause physiquement sur
son rival.
Brahim Sow se précipite vers la gendarmerie de Ould-Yengé, déclare
avoir été battu par son chauffeur et réclame un dédommagement à la hauteur de 600.000UM,
montant qui correspond exactement à la part de l’action dans l’achat du vehicule de
celui qu’il considère grossièrement comme son « chauffeur -esclave»
alors qu’il est actionnaire. Le plan consiste à exclure le petit esclave du
projet tout en gelant sa part participative, le beurre et l’argent du beurre n’est
ce pas du déjà vécu et vu sous l’ère de Taya ?
Les gendarmes convoquent ledit « chauffeur », après
avoir écouté les deux parties, ils décident qu’Abdoulaye Barry doit se présenter
chaque jour aux gendarmes avant de continuer son travail en attendant que son
sort soit scellé par la hiérarchie.
L’affaire éclate au grand jour, le nommé Samba Yero Sow
oncle du ministre Bâ Ousmane met en
action ces bras-longs de Nouakchott à
Selibaby, ils exigent le transfert du dossier à Selibaby capitale régionale où ils occupent toutes les voies hiérarchiques : Ministère
et députation, un véritable arsenal du trafic d’influence haut niveau.
Ils mettent la pression sur le procureur de Selibaby pour
exiger qu’Abdoulaye Barry verse immédiatement
les 600.000UM d’amende, à défaut qu’il soit déposé à la prison. M. Barry
propose 100.000UM pas plus, même ça il a
fallu les supplices de sa famille pour en arriver à cette somme.
Voila le dessous de toute l’affaire de Selkha qui repose à
la fois sur fond de la féodalité et d’extorsion
de biens d’autrui comme au temps de Taya chef gangster qui a formé ces brigands
politiques. Peut-on qualifier ces pratiques de nobles ? La noblesse se
repose sur les bonnes œuvres, des bonnes actions humanitaires, la défense des diminues
offensés où agressés non l’extorsion des biens d’autrui, la prostitution politique
etc…
Diko hanoune
Ce coulibaly beydarry qui ta dit sa mai ce faux ce pa comsa
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