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dimanche 4 mai 2014

Chronologie d’un guet-apens d’un régime dictatorial à l’agonie orchestré depuis la présidence autour des nègres de service !



Vous pensez qu’un homme comme Aziz qui a poussé Ould Taya en plein mois du ramadan à tuer, violer, déporter, esclavager des noirs pendant des années saurait pu faire autre chose que de réprimer à nouveau ? Les noirs mauritaniens sont naïfs naturellement mais ils continueront à  payer le prix fort de la bêtise de leur naïveté. Nous condamnons fermement cette répression sauvage et barbare des marcheurs pacifiques issus des déportés de retour dans leur pays après plus de deux décennies de galères complètement à l’abandon qui réclament des droits civiques à la citoyenneté pleine. Il est clair pour tous que le régime du fou faux général Aziz ne peut être qualifié autrement que de  dictatorial ou du moins il nous semble que le mystère qui entourait le régime actuel, est tombé,  d’ailleurs qu’on a jamais cessé de dénoncer malgré qu’on nous prenait comme des fous marginaux extrémistes. Un régime à l’agonie qui cherche à imposer la violence par la force en semant la peur. Certes on dit souvent, seuls les imbéciles ne changent pas, mais là le fou général n’est pas plus coupable que nos politiciens chiens de gardes des régimes dictatoriaux militaires racistes, chauvins depuis en 1978. On ne peut pas s’empêcher de rappeler des hommes comme Ahmed Ould Daddah, président l’UFD/ÈRE Nouvelle, Sarr Ibrahima Moctar , président AJD/MR et d’autres sont conscients désormais des conséquences dramatiques d’avoir soutenus son putsch, ils sont aussi responsables, coupables que le régime de la situation actuelle en soutenant, légitimant le putsch militaire de se faux fou général qui sait rien faire à part bastonner des citoyens à mains nues




Temps forts : « Urgent : levée de l’interdiction de la marche des rapatriés »



« Les autorités et le comité d’organisation de la marche des rapatriés ont convenu sur un itinéraire où seuls les marcheurs sont autorisés à regagner la ville de l’entrée du poste de police jusqu’au carrefour Madrid pour se rendre ensuite au palais présidentiel. »



 
Coup de bluff, Temps forts : « Le Président Aziz à la rencontre des marcheurs ? »



« Les informations disponibles font état d'une probable sortie du Président Aziz pour accueillir les marcheurs. »



Jusque-là, l'attitude des forces de l'ordre a été jugée correcte et responsable. Aucun incident n'a été signalé et l'ambiance serait plutot bon enfant »



 
Temps forts : « Arrestation de plusieurs marcheurs »



« Par ailleurs, le sort de N'Diaye Ibrahima, président de l'UNRMS demeure inconnu. A la tête des marcheurs depuis Boghé, on ne l'a plus revu depuis que la police a chargé les manifestants. »

Temps forts : « Urgent ! La police charge, sans sommation, les marcheurs. »

 

« Plusieurs blessés dont le nombre n'a pas encore été déterminé sont déplorés. Pourtant, les autorités avaient autorisé les marcheurs à poursuivre leur marche jusqu'au carrefour de Madrid.

La réponse brutale du pouvoir à une marche pacifique dont les organisateurs ont traversé plus de 300 km à pieds pour faire entendre des révendications pacifiques, en dit long sur la nature du régime qui dévoile au grand jour sa véritable orientation à connotation discriminatoire.



Des blessés gisent partout par terre sans secours. Les forces de l'ordre s'abstiennent à venir en aide aux personnes blessées suite à l'inhalation de gaz lacrymogènes ou de projectiles.



Un journaliste de la chaîne Sahel TV aurait étét grièvement blessé lors de sa couverture de l'arrivée de la marche du 25 avril, violemment dispersée par la police après son arrivée au Carrefour BMD.»



Diko hanoune

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