A.H.M.E. : Quelle est la situation des Noirs en général et celle des Harratines en particulier dans l'armé mauritanienne ?
Dia Ousmane à gauche avec son frère d'armes et compagnon jusqu'à la dernière minute, Diagana mamadou, président ocvidh
D.M.Y. : Malheureusement, l’élite Négro –Africaine a été complètement décapitée au sein de l’armée, depuis l’arrivée du colonel Taya le 12 décembre 1984. Sa première priorité a été de purifier l’armée, d’où l’invention quotidienne des complots imaginaires pour finaliser son projet macabre « quand on veut tuer son chien, on l’accuse de rage » alors il fallait à chaque fois accuser les Officiers et sous officiers Négro Africains et les envoyer dans des prisons mouroir comme cela a été le cas en 1987, en 1989 et en 1990.
Quand aux officiers Hratine, malgré leur présence encore au sein de l’armée, n’accèdent pas au commandement. Le système est fait de telle sorte à les laisser dans des postes de second rôle, ou les laisser sous surveillance, sous la subordination.
Et pourtant, les Hratines constituent la colonne vertébrale de notre armée, puisque l’écrasante majorité de la base est issue de cette communauté.
Souhaitons avoir une armée républicaine mais pour l’instant c’est loin d’être le cas et c’est le lieu de vous dire que le favoritisme et le clientélisme comme pour les autres secteurs gangrènent cet établissement.
Dia Ousmane à gauche avec son frère d'armes et compagnon jusqu'à la dernière minute, Diagana mamadou, président ocvidh
D.M.Y. : Malheureusement, l’élite Négro –Africaine a été complètement décapitée au sein de l’armée, depuis l’arrivée du colonel Taya le 12 décembre 1984. Sa première priorité a été de purifier l’armée, d’où l’invention quotidienne des complots imaginaires pour finaliser son projet macabre « quand on veut tuer son chien, on l’accuse de rage » alors il fallait à chaque fois accuser les Officiers et sous officiers Négro Africains et les envoyer dans des prisons mouroir comme cela a été le cas en 1987, en 1989 et en 1990.
Quand aux officiers Hratine, malgré leur présence encore au sein de l’armée, n’accèdent pas au commandement. Le système est fait de telle sorte à les laisser dans des postes de second rôle, ou les laisser sous surveillance, sous la subordination.
Et pourtant, les Hratines constituent la colonne vertébrale de notre armée, puisque l’écrasante majorité de la base est issue de cette communauté.
Souhaitons avoir une armée républicaine mais pour l’instant c’est loin d’être le cas et c’est le lieu de vous dire que le favoritisme et le clientélisme comme pour les autres secteurs gangrènent cet établissement.
Lire la suite:http://www.haratine.com/interview103.htm
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3Cambriolage de la Mauripost de Nouadhibou : La mère du caissier lance un cri d’alarme.
RépondreSupprimerLe 15 mars dernier, l’agence Mauripost de Nouadhibou a été cambriolé par des hommes armés. Ils y ont volé une dizaine de millions et ont disparu. Dans le cadre de l’enquête, la caissier en service au moment du cambriolage a été arrêté. Sa mère lance un cri d’alarme. Lire
« Je viens lancer ce cri d’alarme à l’endroit de tous musulmans épris de justice, dans le dessein de porter secours à mon fils « Mohamed Samba Dembélé » responsable de la caisse de Mauriposte de Nouadhibou. En effet, mon fils a été agressé le Mardi 15 Mars 2011 dans le Bureau de la poste, vers 15h00, alors qu’il faisait la situation de la caisse.
Le gardien, censé se placer devant la porte de la poste, s’est plutôt mis dans sa chambre de repos, laissant la porte de l’institution grande ouverte.
Le receveur et l’ensemble du personnel ne se trouvaient plus au bureau avant 15h00, alors que la descente est prévue à 16h00. Trois individus ont fait irruption dans le bureau de mon fils. Ils l’ont violenté, lui assommant quelques coups. Il a eu de vertiges et ils l’ont obligé à remettre les clefs sous peine de lui trancher la gorge.
Avant d’accéder à mon fils, les braqueurs avaient pris soin de pénétrer dans la chambre du gardien où ils l’ont battu, le laissant dans un état critique. Depuis le 15/03/2011, mon fils est retenu la police. Face ce drame, je lance un cri de détresse à l’endroit de tous musulmans afin que mon garçon soit sauvé. Il n’est pour rien dans cette maudite affaire. Dieu est grand »
Coumba Bakary Sakiliba, demeurant à El Mina.
wallahi lew 3alime allaho vikoum 5ayran ma sewede woujouhekoum diko qsq tu cherche exactement la guere civil?
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