Hier soir Radio
Diaguilly débat en langue soninké sur
l’esclavage et ses séquelles, un troubadour nommé Sallé Sidibé ressortissant du
village de Gorilakhé vivant à Paris, le nom administrativement du village est M’Beidiya
Sakha dans le département de Ould-Yengé , dans la commune de Dafort était
l'invité principal de l'émission en face
de lui l’abolitionniste Hanounou Dicko pour expliquer le caractère néfaste de
l’esclavage. Des attaques surtout personnelles à caractère ethnique n’ont pas
manquées les auteurs étaient sans
véritable arguments moraux, religieux et humanistes qui auront du mal à se
conformer aux lois.
Sallé Sidibé défend
mordicus sans surprise comme un parasite qui suce, pille le fruit du dur labeur
des autres, au nom des rituels traditionnels esclavagistes de l’antiquité en
héritage de ses aïeux dont il ne sait même pas comment ils sont devenus
esclaves dans son intérêt personnel selon ces délires sur le sol français. Il
se dit esclave et fier de l'être et s'érige contre les abolitionnistes qu’il
traite de tous les noms d'oiseaux sur terre.
C’était tellement
curieux d’étendre cet homme qui délire, qui défend accepter d’être esclave et si
fier dans son intérêt reprendre le
discours officiel que les abolitionnistes
mènent le combat contre l’esclavage pour récolter de
« L’ARGENT » comme si la communauté internationale distribue l’argent
à flot aux ONG ? Si c’était vrai et qu’il
roule uniquement pour son intérêt d’être esclave, pourquoi ne prend-t-il
pas le combat à bras le corps pour récolter comme les abolitionnistes les mêmes
dividendes sur le sol français depuis les années 1974 qu’il est là en
France ? Pire, quant on n’a jamais
versé un euro dans les comptes des ONG, comment peut on imaginer qu’elles
récoltent de l’argent ?
Quel que soit l’âge
de certains mauritaniens, ils n’auront aucune pudeur à mentir fièrement pour
défendre une ignominie, effectivement M.Sallé Sidibé est libre de vivre comme
bon lui semble dans son intérêt ou pas, seulement il n’aura jamais le cheque en
blanc d’inciter même ses propres enfants à vivre comme il a vécu à fortiori
l’autrui.
Nous dénonçons
l’égoïsme barbare, sauvage des mentalités rétrogrades de la féodalité noire, vous imaginez à un
instant ce que défendent ces sauvages ? Vous avez beau à être compétent
dans tous les domaines, vous ne pouvez avoir un mot à dire dans un village pour
conduire la société vers l’avenir, n’en
parlons pas dans un pays ? Certains féodaux soninkés croient dur comme l’acier que chaque village fonctionne
comme un royaume qui fonctionne hors des lois de la république islamique de
Mauritanie. Mais où va-t-on dans se pays ?
Extrait de la Note d’alerte : « Les
mentalités féodales rongent les mauritaniens de l’intérieur comme de
l’extérieur »
« de punir par
la loi les apologistes publics qui entretiennent à travers des
animations, des chants et des danses, les complexes de supériorité ou d’infériorité
par le biais des coutumes ancestrales : (Niaxamala, Gawlo,
Iguiw ou Griots etc.) au sein de nos sociétés, tribus ou castes dont le
seul but est d'humilier, de diminuer l’Homme, et de lui soustraire des fonds
par harcèlement verbal, moral ou régler des comptes avec
certaines catégories de la société ;une situation de faits qui incite à la
haine, au mépris de l’autre, polluant ainsi l’ambiance naturelle au point de
menacer la sérénité, l’unité et la cohabitation entre les citoyens
; »
Pour lecture : http://cridem.org/C_Info.php?article=674221
Source :
Bano Sidibé
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