Dictature sans pitié ! Sans blague eh oui quand ça pourrit, ça pue grave, est ce qu’un
gag ou pas ? Les militaires sont incompétents à tel point ?
Stupéfaction, le faux fou général et son staff
de nullards de merde hors pairs optent pour un procès en cachette contre ces otages abolitionnistes
qu’ils séquestrent depuis le 11 novembre 2014, nom de Dieu tout puissant. Merde, qu’est ce qu’il
est nul et pervers ce fou dictateur Mauritanien? Comment les africains ont pu laissés ternir
l’image de leur institution l’union
africaine par un minable faux général à tel point? Ni les avocats à plus
forte raison la société civile n’ont été tenu au courant de la date du procès de demain apparemment, les
nullards pokers-menteurs se sont réveilles
ce matin puis ont décidé de juger leurs
otages qu’ils accusent de tous les vils mots sur terre en cachette, mais non,
le peuple et l’opinion internationale
veulent un procès public en direct des radios et TV Kankan au service de la propagande du pouvoir.
Rappelons que les accusations changent tous toujours pour ne pas dire
toutes les heures, le juge ne saura même pas sur quelle accusation juger les
otages du général. Les mensonges ont une courte durée de vie. On se réveille un
bon matin, hop selon l’humour, on n’arrête des hommes et femmes en ciblant leur appartenance ethnique-communautaire comme
ça parce qu’il le voulait bien, alors qui vit, verra les conséquences de l’ignominie de cette
perverse racaille militaire pédophile esclavagiste inceste. Le monde entier n’a
plus besoin d’un dessein pour savoir, comprendre qui sont ces dangereux extrémistes
terroristes qui se sont toujours permis de se foutre de la gueule d’un peuple
meurtri par des décennies de mensonges éhontés sous couvert d’un état voyou au
fond d’un trou du tiers monde qui n’a cessé de s’enfoncer dans l’abime des mensonges
au lieu de chercher à s’en sortir dignement.
« Nous venons d'apprendre que le procès
de Biram Dah ABEID et des militants de IRA-Mauritanie est prévu pour demain 18
décembre alors que les avocats ne sont pas au courant de cette décision. Donc
les autorités ont choisi de faire un procès de ce genre alors que nous, on
l'aurait souhaité publique et assisté par les observateurs nationaux et
internationaux. »
Rappel du droit constitutionnel
Mauritanien:
Considérant que la liberté, l'égalité et la dignité de l'homme ne peuvent être assurées que dans une société qui consacre la primauté du droit, soucieux de créer les conditions durables d'une évolution sociale harmonieuse, respectueuse des préceptes de l'islam, seule source de droit et ouverte aux exigences du monde moderne, le peuple mauritanien proclame, en particulier, la garantie intangible des droits et principes suivants :
- le droit à l'égalité
- les libertés et droits fondamentaux de la personne humaine ;
- le droit de propriété ;
- les libertés politiques et les libertés syndicales ;
- les droits économiques et sociaux ;
- les droits attachés à la famille, cellule de base de la société islamique.
La République assure à tous les citoyens sans distinction d'origine, de race, de sexe ou de condition sociale l'égalité devant la loi.
Article 10 :
Considérant que la liberté, l'égalité et la dignité de l'homme ne peuvent être assurées que dans une société qui consacre la primauté du droit, soucieux de créer les conditions durables d'une évolution sociale harmonieuse, respectueuse des préceptes de l'islam, seule source de droit et ouverte aux exigences du monde moderne, le peuple mauritanien proclame, en particulier, la garantie intangible des droits et principes suivants :
- le droit à l'égalité
- les libertés et droits fondamentaux de la personne humaine ;
- le droit de propriété ;
- les libertés politiques et les libertés syndicales ;
- les droits économiques et sociaux ;
- les droits attachés à la famille, cellule de base de la société islamique.
La République assure à tous les citoyens sans distinction d'origine, de race, de sexe ou de condition sociale l'égalité devant la loi.
Article 10 :
-L'État garantit à tous les citoyens les
libertés publiques et individuelles, notamment :
- la liberté de circuler et de s'établir dans les parties du territoire de la République ;
- la liberté d'entrée et de sortie du territoire national ;
- la liberté d'opinion et de pensée ;
- la liberté d'expression ;
- la liberté de réunion ;
- la liberté d'association et la liberté d'adhérer à toute organisation politique ou syndicale de leur choix.
- la liberté du commerce et de l'industrie ;
- la liberté de création intellectuelle, artistique et scientifique ;
Article 13 : Nul ne peut être réduit en esclavage ou à toute forme d’asservissement de l’être humain, ni soumis à la torture et autres traitements cruels, inhumains ou dégradants. Ces pratiques constituent des crimes contre l’humanité et sont punis comme tels par la loi.
Article 90 : Le juge n'obéit qu'à la loi.
Dans le cadre de sa mission, il est protégé contre toute forme de pression de nature à nuire à son libre arbitre.
Article 91 : Nul ne peut être arbitrairement détenu. Le pouvoir judiciaire, gardien de la liberté individuelle, assure le respect de ce principe dans les conditions prévues par la loi.
- la liberté de circuler et de s'établir dans les parties du territoire de la République ;
- la liberté d'entrée et de sortie du territoire national ;
- la liberté d'opinion et de pensée ;
- la liberté d'expression ;
- la liberté de réunion ;
- la liberté d'association et la liberté d'adhérer à toute organisation politique ou syndicale de leur choix.
- la liberté du commerce et de l'industrie ;
- la liberté de création intellectuelle, artistique et scientifique ;
Article 13 : Nul ne peut être réduit en esclavage ou à toute forme d’asservissement de l’être humain, ni soumis à la torture et autres traitements cruels, inhumains ou dégradants. Ces pratiques constituent des crimes contre l’humanité et sont punis comme tels par la loi.
Article 90 : Le juge n'obéit qu'à la loi.
Dans le cadre de sa mission, il est protégé contre toute forme de pression de nature à nuire à son libre arbitre.
Article 91 : Nul ne peut être arbitrairement détenu. Le pouvoir judiciaire, gardien de la liberté individuelle, assure le respect de ce principe dans les conditions prévues par la loi.
A-t-on besoin d’un papier ou une soi-disant
autorisation pour manifester en Mauritanie au vue des textes
constitutionnels? Un récépissé d’un ivre dictateur est il plus officiel que la
constitution de la république? Pardonnez moi, je n’omettrai jamais de
vous rappeler que nous avons à faire avec l’homme qui avait pissé sur la même
constitution en 2008 pour perpétrer un
crime constitutionnel, en procédant un putsch
contre le premier président élu démocratiquement de l’après 1978 alors
aura-t-il peur ou se gênera-t-il de pisser sur simple bout de papier récépissé de
reconnaissance qu’il a délivré à une ONG ou un parti politique?
Diko hanoune
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