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mercredi 5 novembre 2014

Bâ Ousmane, ministre de l’éducation nationale à la tête d’une mafia politique féodale au nom de l’UPR.



Micmac, mafia politique dans le Guidumakha, à sa tête des clans féodaux extrêmement dangereux pour la stabilité et la paix sociale dans le pays qui sont aidés par l’état raciste, esclavagiste et féodal.



Au nom des clans féodaux, le maire hartani El-Hadrami Ould Weddad est sommé d’accepter d’être l’esclave politique au sein de l’UPR de la dite « Tendance Yaya Kane » pour assurer la promotion de la famille du gourou des féodaux yaya kane. La fille de Yaya kane est dépitée à l’assemblée nationale sans assise politique dans la région, Bâ Ousmane, ministre de l’éducation nationale, neveu du gourou  idem sans aucune légitimité populaire dans la région, maintenant le nommé Mamadou Yaya Kane agite sa queue pour obtenir un poste, mais où va-t-on dans cette région avec leurs histoires de clans, tendances féodales ? Les haratine, maures blancs, les descendants d’esclaves soninké et peulh sont complètement exclus de la gestion du destiné de la région depuis en 1960 par ces clans féodaux avec la complicité de l'état, prière de vérifier les statistiques historiques des nominations depuis l’indépendance, vous ne verrez que les mêmes familles féodales qui sont nommées ministres, dépités, postes stratégiques par l’état Mauritanien alors qu’ils sont extrêmement minoritaires et ne connaissent même pas la région. Il faut arrêter de se foutre la gueule de monde, stop !





Il n’y aura pas de troisième tendances dans le Guidumakha, seules nos deux tendances féodales  « Soninké et peulh » continueront à exister pour servir d’appât à l’état. Waw, ça fait rêver, il se croit toujours dans les années 1950, alors les damnés haratine, ceux qui sont d’ascendances soi-disant esclaves soninké, peulh seront toujours exclus, les maures blancs aussi sur lesquels reposent l’économie de la région. Ces gens n’ont droit à rien. Les chefs mafieux de ces tendances de merde sont vraiment culottés à tel point ? Putain ! En plus avec la complicité de l’UPR, le parti du faux général Aziz nom de Dieu tout puissant. Le fils borné du gourou Yahya Kane ose nous parler de  lutte contre (injustices sociales, exclusions communautaires etc.) Bien faisons le compte : Dépitée, la Fille du gourou Yahya Kane, en plus elle est inconnue de la région, ministre neveu du gourou Yahya Kane en la personne de Bâ Ousmane, ministre de l’éducation nationale sans compter tous les autres parents du gourou placés ici et là et se con menteur Mamadou yaya kane nous parle leurs clans de merde sont contre l’exclusion ? Le maire haratine a raison de créer son propre clan des damnés pour négocier lui aussi, pourquoi doit on rester des éternels esclaves des clans ? La compétence ne compte pas mais l’appartenance à vos clans de merde, Au nom de quoi ?







Mamadou Yaya Kane soi-disant Cadre UPR au Guidimagha qui ne connait même pas ou se trouve la ville de selibaby ni la région  du Guidumakha. Apparemment il est derrière tout le bordel qui secoue la mairie pour quémander un poste. Il ne faut pas se laisser faire selibabyens, se sont monstres qui ont dévasté, qui ont pillé  la région selon leurs aveux depuis en 1951. Je suis partant qu’ils soient chassés de la région ces arrivistes de merde.



« La politique au Guidimagha depuis les années 50 évolue entre 02 grandes sensibilités qui renferment toutes les communautés présentes. Après l’avènement de la constitution et l’émergence des partis politiques ces tendances ont continué à militer dans les partis état, actuellement l’upr concentre ses efforts pour leur rapprochement.



Il faut préciser que plusieurs tentatives de neutralité synonyme de création d’une 3éme tendance sur base souvent communautaire ont toutes avortées, à telle enseigne qu’on peut aisément confirmer que l’upr au Guidimagha ne connaitra que les 02 tendances traditionnelles qui au fil du temps (depuis 1951) ont pu acquérir de l’expérience, rectifier les erreurs de parcours (injustices sociales, exclusions communautaires etc.) et consolider des acquis (politique sociale inclusive, développement à la base, lutte contre la pauvreté, encadrement structurel (upr) de la base..). »













Diko hanoune

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