Translate

jeudi 18 septembre 2014

Où est passé la ferveur islamique de nos Oulémas ?



L’éternel recommencement armé par la mauvaise foi des autorités Mauritaniennes…………. Où est passé la ferveur islamique de nos Oulémas ?



La Mauritanie va exploser, qu’on le veut ou non, aucune situation semblable à celle de la Mauritanie aujourd’hui ne résiste à une explosion certaine. Les inégalités touchent même l’égalité des hommes devant Dieu, la religion, nous ne sommes ni égaux en droit et devoir comme si cela ne suffisait pas, nous ne sommes plus égaux devant le père céleste créateur de l’univers alors là nous rentrons dans la période du degré vers la violence imposée non retour. Lorsque le borné fou général instrumentalisait l’islam pour avoir le feu vert de décapiter des militants abolitionnistes sous le total contrôle de ces faux érudits imams du pays en plus avec des mensonges exhibés au nom de la religion devant le monde entier, voila ce qu’ils nous avançaient : « La Mauritanie  n’est pas laïque et qu’elle ne tolérerait aucune atteinte à sa religion ». Depuis l’apparition de la vidéo lien ci-dessous qui montre des jeunes maures blancs  se moquer royalement de la religion musulmane, l’un d’eux placé juste derrière l’imam plaisantin  va jusqu’à mettre ces doigts dans la symphyse pubienne du fameux imam puis tombe de rire, cette  Mauritanie jadis non laïque devient officiellement laïque sous silence radio des barbus, les autorités du pays, les partis politiques etc… pour épargner des vies Sataniques maures. Comment l’hystérie de ces assoiffés du sang par des fausses charias et fatwas a-t-elle pu retomber soudainement  comme des poules mouillées?  Ces mêmes bornés de la république islamique de Mauritanie qui justifient tous au nom de l’islam ont-ils perdu leur  foi en islam en voyant des maures moquer du deuxième pilier de l’islam ? Incroyable, ils nous ont mentis pendant des siècles sans jamais avoir la foi………..



Je conclus par cet extrait d’un article sur le récent cirque des autorités Mauritaniennes concernant leur  soi-disant lutte contre l’esclavage. Pour rappel, la proposition de la loi datant 1981 sous l’ère de Mohamed Khouna Ould Haidallah avait été confiée aux mêmes esclavagistes faux érudits-imams qui avaient pondu une loi donnant droit à la compensation des maitres d’esclaves à la place des victimes les laissant mourant de la misère, ce qui les obligera à rejoindre leurs nids d’esclaves alors comment peuvent ils nous chanter « les séquelles de l’esclavage sont dus à la pauvreté » ? L’actuel ministre des affaires islamiques ; M. Ahmed Ould Ehl Daoud a défendu publiquement la vente des esclaves, l’autorisation des maitres à forniquer avec les femmes esclaves qu’ils possèdent, mettre fin aux liens conjugaux de leurs esclaves quant ils le souhaitent et la castration des hommes esclaves par des méthodes barbares puis il greffa tout cela à l’islam. 



« Ce que donc les officiels ont malheureusement manqué de nouveau en portant leur choix de lutte contre les séquelles de l’esclavage, sur les vrais foyers d’opposition contre l’émancipation effective des asservis, à savoir les Oulémas et les Cheikhs des Mahadras.



Tous les mauritaniens sont conscients hier et aujourd’hui, que les Oulémas et les écoles coraniques sont les premières fabriques de la culture de l’esclavagisme bien enracinée, puisque ce sont ces savants et ces maîtres qui exploitent des esclaves dans leurs familles ou dans leurs fiefs, sinon, observent un profil bas devant ces pratiques proscrites, incitant ainsi à leur pérennisation au lieu de les dénoncer.



Confier de telles campagnes à des acteurs d’une aussi considérable passivité devant le mal, c’est donc une peine perdue, dont les officiels ne prendront conscience que plusieurs années plus tard, pour appeler de nouveau à réfléchir sur un nouveau « traitement » de l’esclavage.



Les campagnes de mobilisation et de sensibilisation devraient, pour relever le défi de l’efficacité et de la célérité de la mise en œuvre de la politique antiesclavagiste, être confiées plutôt, à des acteurs de la société civile, qui ne soient pas des gérants d’associations cartables, mais d’ONG ayant prouvé à travers l’expérience et l’endurance leur capacité de réaliser du concret. »





Diko hanoune 

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire