Sauvez-nous et les imams de ceux qui veulent perturber l’entente communautaire et la déontologie de l’imama
Quand un Hakem et son protégé Zawi comme lui, écartent toute une communauté de la mosquée dont elle est la principale animatrice ( pour la bonne et simple raison que ses membres sont les premiers et principaux habitants du quartier où se trouve la dite mosquée),pour des intérêts personnels n’ayant rien à voir avec l’adoration divine principal objectif de la mosquée : lieu où généralement l’égalité est de rigueur.
Nul n’ignore que les haratines et les artisans sont les premiers à s’installer dans les agglomérations urbaines pour diverses raisons : premièrement le peu d’importance que leur accordait la société traditionnel : féodalo_esclavagiste ; que les uns fuyaient pour échapper à l’esclavage (et venaient en ville pour s’approcher et bénéficier de la protection de l’autorité administrative coloniale ) et les autres du fait d’être la plus par du temps accusés d’ être sorciers , ceci bien sur en plus de la recherche d’un travail plus ou moins libéral, plus disponible en ville. Ce sont là les raisons qui font que certaines classes sociales sont les premières à occuper les villes dont celle de Boutilimit
Les problèmes et les divergences nés entre les fidèles et l’imam de la mosquée de Boutilimit, imposé initialement par les anciens maîtres s’étaient accrus, lorsqu’un jeune fils du vieux imam ; plus en mesure d’accomplir son travail pour raison de santé, était venu prendre la relève de son père indigent, excluant par là même, un jeune cousin qui s’ occupait du père et de son travail : le nouveau venu initialement à la cherche d’un poste d’imam en Arabie Saoudite ; poste qu’il ne put mériter ; pour des raisons qu’on ne tarda guère à savoir dont : la trop grande importance qu’il se donne à lui-même et le peu de considération à l’égard des fidèles de la mosquée, ce ci en plus de l’intérêt sans limite qu’il donne aux fastes de ce bas monde et à leur acquisition ; qu’apparemment il pense récupérer au niveau de la plus vieille mosquée de Djeke, qui nous l’avons déjà dit est entourée de maisons de harratines et artisans qui ont depuis toujours réclamé un imam habitant parmi eux, l’imam actuel tout comme son père d’ailleurs habitant à plusieurs kilomètres de la ville et ne pouvant s’acquitter que des prières du jour où ils sont dans leur boutique 2/5, raison supplémentaire qui faisait qu’on ne voulait pas de lui.
Tout était supportable jusqu’au jour où le nouvel imam entreprit des constructions ne pouvant faire l’unanimité, au niveau de la mosquée sans consultation aucunes de ceux qui, avant lui s’occupaient des taches journalières et des fidèles, en plus du détournement répété d’aides que les chargés de leur distribution destinaient à des pauvres nécessiteux, qui avaient des taches à accomplir au niveau de la mosquée. A la suite de ces comportement, la demande est faite au jeune imam pour qu’il désigne une djemaa, avec la quelle il devra se concerter désormais. Ce qu’il refusa catégoriquement et un bras de fer s’engagea entre lui et le muezzin, qui pensait être plus à même d’être concerné par la mosquée où il est le plus permanant et le plus proche dans l’espace, sa maison étant à quelques mètres de là.
Le hakem informé du problème intervint mais pas comme s’il était le représentant d’un gouvernement qui avait fait de la lutte contre le détournement des deniers public son cheval de bataille et surtout qui tient à abolir l’esclavage, ses séquelles et rétablir les anciens esclaves dans leurs droits ; mais bien comme un instaurateur de l’hégémonie Zwaya , et menaça d’interdire la mosquée au défenseur de la déontologie des imams, en empêchant le jeune nouvel imam de l’entacher.
Nul n’ignore que les plus à même de voler au secours des opprimés sont les islamistes mais dans le cas de cette affaire à Boutilimit la règle se trouve inversée.
Que la mosquée reste le lieu où chaque opprimé se sente en sécurité et l’égal de tous. Que la cohésion sociale demeure en vigueur partout et surtout au niveau des mosquées. Que tous ceux qui accomplissent des travaux volontaire dans les mosquées bénéficient des mêmes largesses que les imams ; ne serait ce que parce que les travaux qu’ils y accomplissent ne sont pas des obligations divines, ce qui les rend plus à même d’être rémunérées contrairement à celles des imams, qui elles sont des obligations divines.
Yacoub Ould Mohamed Khatari
Quand un Hakem et son protégé Zawi comme lui, écartent toute une communauté de la mosquée dont elle est la principale animatrice ( pour la bonne et simple raison que ses membres sont les premiers et principaux habitants du quartier où se trouve la dite mosquée),pour des intérêts personnels n’ayant rien à voir avec l’adoration divine principal objectif de la mosquée : lieu où généralement l’égalité est de rigueur.
Nul n’ignore que les haratines et les artisans sont les premiers à s’installer dans les agglomérations urbaines pour diverses raisons : premièrement le peu d’importance que leur accordait la société traditionnel : féodalo_esclavagiste ; que les uns fuyaient pour échapper à l’esclavage (et venaient en ville pour s’approcher et bénéficier de la protection de l’autorité administrative coloniale ) et les autres du fait d’être la plus par du temps accusés d’ être sorciers , ceci bien sur en plus de la recherche d’un travail plus ou moins libéral, plus disponible en ville. Ce sont là les raisons qui font que certaines classes sociales sont les premières à occuper les villes dont celle de Boutilimit
Les problèmes et les divergences nés entre les fidèles et l’imam de la mosquée de Boutilimit, imposé initialement par les anciens maîtres s’étaient accrus, lorsqu’un jeune fils du vieux imam ; plus en mesure d’accomplir son travail pour raison de santé, était venu prendre la relève de son père indigent, excluant par là même, un jeune cousin qui s’ occupait du père et de son travail : le nouveau venu initialement à la cherche d’un poste d’imam en Arabie Saoudite ; poste qu’il ne put mériter ; pour des raisons qu’on ne tarda guère à savoir dont : la trop grande importance qu’il se donne à lui-même et le peu de considération à l’égard des fidèles de la mosquée, ce ci en plus de l’intérêt sans limite qu’il donne aux fastes de ce bas monde et à leur acquisition ; qu’apparemment il pense récupérer au niveau de la plus vieille mosquée de Djeke, qui nous l’avons déjà dit est entourée de maisons de harratines et artisans qui ont depuis toujours réclamé un imam habitant parmi eux, l’imam actuel tout comme son père d’ailleurs habitant à plusieurs kilomètres de la ville et ne pouvant s’acquitter que des prières du jour où ils sont dans leur boutique 2/5, raison supplémentaire qui faisait qu’on ne voulait pas de lui.
Tout était supportable jusqu’au jour où le nouvel imam entreprit des constructions ne pouvant faire l’unanimité, au niveau de la mosquée sans consultation aucunes de ceux qui, avant lui s’occupaient des taches journalières et des fidèles, en plus du détournement répété d’aides que les chargés de leur distribution destinaient à des pauvres nécessiteux, qui avaient des taches à accomplir au niveau de la mosquée. A la suite de ces comportement, la demande est faite au jeune imam pour qu’il désigne une djemaa, avec la quelle il devra se concerter désormais. Ce qu’il refusa catégoriquement et un bras de fer s’engagea entre lui et le muezzin, qui pensait être plus à même d’être concerné par la mosquée où il est le plus permanant et le plus proche dans l’espace, sa maison étant à quelques mètres de là.
Le hakem informé du problème intervint mais pas comme s’il était le représentant d’un gouvernement qui avait fait de la lutte contre le détournement des deniers public son cheval de bataille et surtout qui tient à abolir l’esclavage, ses séquelles et rétablir les anciens esclaves dans leurs droits ; mais bien comme un instaurateur de l’hégémonie Zwaya , et menaça d’interdire la mosquée au défenseur de la déontologie des imams, en empêchant le jeune nouvel imam de l’entacher.
Nul n’ignore que les plus à même de voler au secours des opprimés sont les islamistes mais dans le cas de cette affaire à Boutilimit la règle se trouve inversée.
Que la mosquée reste le lieu où chaque opprimé se sente en sécurité et l’égal de tous. Que la cohésion sociale demeure en vigueur partout et surtout au niveau des mosquées. Que tous ceux qui accomplissent des travaux volontaire dans les mosquées bénéficient des mêmes largesses que les imams ; ne serait ce que parce que les travaux qu’ils y accomplissent ne sont pas des obligations divines, ce qui les rend plus à même d’être rémunérées contrairement à celles des imams, qui elles sont des obligations divines.
Yacoub Ould Mohamed Khatari
yebouye the mahou chaghlet rajel men ehel boutilimite taraf an chyoukh boutilimite houme lehratin WEMNEIN ET EDOR CHI ETGUERROU F BIRAME LEWED ELCHI MATHEHOU EHRAGUET RASSEK INNALILLAHI WEINNA ILEIHI RAJIOUNE
RépondreSupprimerL’agressivité est le propre du faible!
RépondreSupprimerya des énergumènes qui s'empressent de maudire les juifs,les français, les américains…, quand il s'agit de défendre ce qui les arrange .mais près de nous, dans notre société, nous assistons chaque jour que Dieu fait, à des attitudes allant à l’encontre de l’islam. Presque personne n’en parle ! parfois je me demande si l’islam n’est plus qu’une simple culture, un phénomène de mode chez certains au même titre que le ramadan ( se priver d’eau et de nourriture mais le reste, ça passe) !!!j’ai honte parfois d’être musulman de nationalité mauritanienne. Pour toute personne ayant embrassée l’islam se trouvant en Mauritanie, j’espère qu’elle aura connu au préalable cette religion c’est-à-dire l’islam avant de connaître certains musulmans mauritaniens notamment ceux qui font de la division, du raciste d’état, du favoritisme, du népotisme, de la corruption… leur cheval de bataille !
« Dans la nuit noire, une fourmi noire, sur une pierre noire, Dieu la voit »
Ce n'est aucun secret que l'on aujourd'hui en Mauritanie que l'islam est faussée par ezwaye et à leurs propres fins, mais que les autorités sont avec eux il ne sera pas garder le silence sur cette injustice
RépondreSupprimerHARATIN MAHOUM MEDDE ELLE CHI MEN LEKLAB, HARATIN MA YESTAHA9OU EL HAYAT, HARATIN KITILTOU LEKWAR 1989. HARATIN ENTOUME MELA3IN. C BON VIKOUM LAHI TEMMOU ELLE EL WORA2...YENSA55555555555555KOUM KAMLINEEEEEEEE!!!!!!!!!!!
RépondreSupprimerInsultez, maltraitez, humiliez, mais chaque chose a une fin et le règne des harratines est pour bientôt inchallah.
RépondreSupprimerIl n'y a que les idiots, les ignares qui ne réfléchissent pas plus loin que le bout de leurs nez
Celui qui sait ce que c'est que l'histoire, tout individu cultivé, toute personne qui se tient informée de ce qui se passe à travers le monde,...sait que tout à une fin mais surtout que la justice l'emporte toujours oui toujours sur le plus féroce des tyrans, sur toute forme d’idéologie puisse t-elle être présidée par Satan en personne !!!
On ne peut pas continuer indéfiniment à traiter l'autre comme un moins que rien, un écervelé, un animal, c’est pas juste surtout dans un pays qui se dit RIM!
Où sont les hommes d'honneur? où sont les musulmans? où sont les hommes justes? Apparemment, ils sont tous de l'autre monde. Il faudrait songer à rebaptiser ce pays en veillant à ce que le mot "islamique" soit enlevé parce qu'il y en a plus.
On devrait plutôt remplacer le "I" par un "H" ce qui donnera république mauritanienne d'hypocrites.
Avant tout il faut avoir le courage de se démasquer pour montrer a L'autre , le tyran qu'on a pas , qu'on est prés à tout endurer pour obtenir tous nos droits.
RépondreSupprimerYacoub M KH.