je suis inquiet aujourd'hui sur l'évolution du racisme et du sionisme en France, souvenez vous que DIEUDONNE avait été comdamné en justice pour incitation à la haine raciale mais aussi boycotté et interdit dans toutes les chaines publique, pourtant Eric ZEMMOUR à fait l'objet de la même condamnation lorsqu'il déclare Lors de l'émission Salut les terriens du 6 mars dernier, que "les Français issus de l'immigration sont plus contrôlés que les autres parce que la plupart des trafiquants sont noirs et arabes. C'est un fait".
mais ce dernier continue d'afficher sa vilaine tronche sur les écran de télévision publique et privé, n'est ce pas là deux poids deux mesures? pourquoi ZEMMOUR n'est pas interdit de télévision voire licencié par ses employeurs?
Brice HORTEFEUX alors ministre d'État, avait été condamné pour des propos racistes mais n'a jamais été poussé à la démission, pourquoi?
Les hommes politique de tout bords se permettent des nous cracher déçu nous autres noirs et personne ne lève son petit doigt, pourquoi?
Pourquoi les noirs de France restent insensibles à ces soit disant dérapages?
Voici la liste non exhaustive de propos que des hommes qui prétendent civilisé ont tenu en publique en france:
"Quand il y en a un ça va"
La blague raciste est donc à la mode, en plein débat sur l'Identité nationale. En septembre le ministre de l'Intérieur Brice Hortefeux avait annoncé la couleur, plaisantant déjà sur les arabes : "Il en faut toujours un. Quand il y en a un ça va. C'est quand il y en a beaucoup qu'il y a des problèmes", lançait-il à propos d'un jeune militant UMP de père algérien. L'ancien ministre de l'Immigration est un habitué du genre, puisqu'il avait déjà osé en mars 2009, avant un voyage en Afrique, un : "Tu pars avec nous et c'est bien, mais tu pourrais aussi ne pas revenir", à Rama Yade, secrétaire d'Etat au Sport d'origine sénégalaise. Il s'était également senti obligé de préciser que Fadela Amara était "une compatriote". "Comme ce n'est pas forcément évident, je le précise", avait ajouté le ministre.
Au sein du groupe UMP à l'Assemblée nationale, c'est le député Eric Raoult qui s'est illustré dans les médias ces dernières semaines. Ne voyant pas respecté le "devoir de réserve" qu'il invoquait auprès de Marie NDiaye, critique de la France de Nicolas Sarkozy et lauréate du prix Goncourt 2009, le parlementaire a comparé la réaction de l'écrivain à celle de Yannik Noah et de Lilian Thuram, sous-entendant ainsi que sa critique ne porte pas uniquement sur la liberté de parole mais aussi sur la couleur de la peau, autre point commun entre ces trois personnalités.
"Un point de détail de l'histoire"
Bien entendu, la droite n'a pas le monopole des allusions racistes. Le 7 juin dernier, le député-maire socialiste Manuel Valls, filmé par Direct8 dans les allées d'une brocante de sa ville d'Evry au milieu de gens de couleur, lâche en plaisantant à son directeur de cabinet : "Belle image de la ville d'Evry. Tu me mets quelques blancs, quelques whites, quelques blancos". De la provocation.
Il n'est pas le seul. A gauche encore : "Ici, c'est le tunnel le plus long du monde : vous entrez en France et vous sortez à Ouarzazate", lance en 2000 Georges Frêche, président du Languedoc-Roussillon, lors de l'inauguration du tramway dans un quartier de Montpellier où résident beaucoup de maghrébins. L'ancien socialiste n'en reste pas là. En 2006, il s'en prend violemment aux Harkis, puis à l'équipe de France de football qui compte "neuf blacks sur onze". "J'ai honte pour ce pays". Il est exclu du parti socialiste en janvier 2007.
Cependant, malgré ses tentatives, Georges Frêche est loin de détrôner le maître en la matière, Jean-Marie Le Pen. Celui-ci est condamné à payer 10.000 euros d'amende pour avoir déclaré en 2003 : "avec 25 millions de musulmans chez nous, les Français raseront les murs". En 1988, il est condamné à 1.524 euros pour "injure publique envers un ministre" pour son jeu de mots sur le ministre de la Fonction publique Michel Durafour, "Durafour crématoire". Enfin le top du top : en 1987, le président du Front national assure sur RTL que les chambres à gaz sont "un point de détail de l'histoire de la Seconde Guerre mondiale". La justice le condamne à 183.200 euros d'amende.
"Le bruit et l'odeur"
Mais au-delà des déclarations de son leader, les observateurs attribuent aussi au Front national une part de responsabilité, plus indirecte, dans les récentes "blagues" des membres de l'UMP. En préparation des régionales, le parti de la majorité, qui a besoin du vote de l'extrême droite, et souhaite rassurer son électorat après son ouverture à gauche, semble prêt à bien des concessions morales. La blague raciste est un outil de communication très utile, puisqu'il permet à l'électorat d'extrême droite de s'identifier, tout en donnant la possibilité à ceux qui la pratiquent de revenir sur leurs propos, ou de botter en touche.
L'idéal,dans ces cas là, est d'être défendu par une personne de couleur. Encore mieux, par celle qui est l'objet de la blague. Brice Hortefeux en a fait sa spécialité. Après avoir assuré qu'il faisait allusion à l'enchainement interminable de photos, puis au grand nombre d'auvergnats, puis (en combinant) au nombre de photos avec des auvergnats, et constatant que personne n'était à ce point crédule, le ministre avait consenti à présenter "ses regrets", au cas où il aurait blessé quelqu'un. Le démenti vidéo du jeune militant d'origine maghrébine avait bien aidé. Le ministre avait déjà utilisé ses origines auvergnates avec Fadela Amara, d'ailleurs, qui avait elle aussi défendu son ministre.
Manuel Valls, lui, avait joué plus fin, en assurant que vouloir plus de blancs dans sa ville, c'était vouloir plus de mixité en cassant "le guetto". En assumant son discours et en le portant sur le terrain des idées, le socialiste a été blanchi par un opposant politique,
Jean-François Copé, le chef de file des députés UMP. Un homme de droite certes, mais la droite républicaine. Et pas un ami.
En 1991, c'est un proche de Jacques Chirac, Phillipe Séguin, qui lui avait prêté main forte. A l'époque, le président du RPR avait fait allusion, lors d'un meeting à Orléans, au "bruit et à l'odeur" qui émanent d'un logement où vit "une famille, avec un père, trois ou quatre épouses, une vingtaine de gosses, qui touche 50.000 francs de prestations sociales sans travailler". A Bordeaux, le week-end dernier, c'est une fois encore un proche (autrefois son dauphin, même), Alain Juppé, qui a immédiatement récupéré le coup. Alors que Jacques Chirac plaisante (se pensant peut-être à l'abri des micros ?), il l'interrompt : "Il n’est pas corrézien".
la palme d'or revient indiscutablement à GUERLAIN, «J’ai travaillé comme un nègre, je ne sais pas si les nègres ont toujours tellement travaillé, mais enfin…» Tels sont les propos qu’a tenus le 15 octobre sur le plateau du 13 heures de France 2, Jean-Paul Guerlain; sur France2 s'il vous plait.
en plus d'être racistes les hommes politique sont islamophobes pour égaler les Suisses et les Autrichiens:
Le racisme primaire mine le terrain politique en France. Les propos xénophobes se multiplient. Les déclarations racistes publiques ne sont plus l’apanage de Le Pen et ses sbires. Le dernier propos choquant en date a été proféré, le 10 mars, lors d’une émission organisée par La Chaîne parlementaire, France Info et l’AFP, par un des caciques du parti de Sarkozy et président du groupe UMP, au Sénat français.
Invité à donner son avis sur la nomination éventuelle à la présidence de la Haute Autorité de lutte contre les discriminations et pour l’égalité (Halde) de Malek Boutih - fils d’émigrés algériens, socialiste, ancien président de SOS-Racisme et membre du Conseil économique et social -, M. Longuet, 64 ans, a eu une déclaration d’une extrême gravité. « C’est un homme de grande qualité, mais ce n’est pas le bon personnage. Parce qu’il vaut mieux que ce soit le corps français traditionnel qui se sente responsable de l’accueil de tous nos compatriotes », avait-il répondu. Et d’ajouter : « Si vous mettez quelqu’un de symbolique, extérieur, vous risquez de rater l’opération. » Le propos proféré par ce sénateur au passé militant d’extrême droite, est grave.
Le président du Mouvement pour la France avait déclaré samedi sur TF1: "nous savons que la troisième guerre mondiale est déclarée (...) nous ne pouvons pas continuer à assister impuissants à l'islamisation progressive de la société française". M. de Villiers avait préconisé une "garde nationale" pour "rétablir les frontières", "investir les quartiers islamistes" et "contrôler les mosquées" et ajouté, selon un communiqué du Mouvement contre le racisme et pour l'amitié entre les peuples: "moi, je crois que l'islam est le terreau de l'islamisme et l'islamisme le terreau du terrorisme, donc on ferait mieux de faire attention".
Luc Chatel, ministre de l’éducation : refuser que la maman d’un petit musulman accompagne la classe dans les sorties scolaires, car elle porte un voile ! On ne parle pas de Burqa, ni de Niqab, mais juste d’un voile, un tissu qui couvre les cheveux. Donc toutes les musulmanes pratiquantes se verraient interdire le droit d’accompagner leur enfant. Au non de quoi? « Du pacte républicain » qui impose la laïcité de l’école, de l’état et de sa neutralité. Très bien dirais je, mais la maman n’est pas fonctionnaire et elle n’est pas rémunérée pour accompagner son enfant, donc elle n’a pas à retirer son voile, la neutralité s’imposant à l’état et ses fonctionnaires.
Claude Guéant, ministre de l’intérieur : Dans une interview donnée au Monde, il déclare « les français veulent que la France reste la France ». Super le débat sur l’islam! Implicitement, cela veut il dire que l’islam ne peut pas faire partie de la France? L’idée que cela s’oppose à la définition de la France est scandaleuse. Il y a donc une vue du musulman clairement définie comme une menace potentielle à l’identité française, n’appartenant pas à ce qu’est la France.
Vous remarquerez que les condamnation sont dérisoires par rapport au traumatisme que les propos occasionnent, la question que je me pose reste OU VA CE PAYS!
Bâ Ngaary Avocat
mais ce dernier continue d'afficher sa vilaine tronche sur les écran de télévision publique et privé, n'est ce pas là deux poids deux mesures? pourquoi ZEMMOUR n'est pas interdit de télévision voire licencié par ses employeurs?
Brice HORTEFEUX alors ministre d'État, avait été condamné pour des propos racistes mais n'a jamais été poussé à la démission, pourquoi?
Les hommes politique de tout bords se permettent des nous cracher déçu nous autres noirs et personne ne lève son petit doigt, pourquoi?
Pourquoi les noirs de France restent insensibles à ces soit disant dérapages?
Voici la liste non exhaustive de propos que des hommes qui prétendent civilisé ont tenu en publique en france:
"Quand il y en a un ça va"
La blague raciste est donc à la mode, en plein débat sur l'Identité nationale. En septembre le ministre de l'Intérieur Brice Hortefeux avait annoncé la couleur, plaisantant déjà sur les arabes : "Il en faut toujours un. Quand il y en a un ça va. C'est quand il y en a beaucoup qu'il y a des problèmes", lançait-il à propos d'un jeune militant UMP de père algérien. L'ancien ministre de l'Immigration est un habitué du genre, puisqu'il avait déjà osé en mars 2009, avant un voyage en Afrique, un : "Tu pars avec nous et c'est bien, mais tu pourrais aussi ne pas revenir", à Rama Yade, secrétaire d'Etat au Sport d'origine sénégalaise. Il s'était également senti obligé de préciser que Fadela Amara était "une compatriote". "Comme ce n'est pas forcément évident, je le précise", avait ajouté le ministre.
Au sein du groupe UMP à l'Assemblée nationale, c'est le député Eric Raoult qui s'est illustré dans les médias ces dernières semaines. Ne voyant pas respecté le "devoir de réserve" qu'il invoquait auprès de Marie NDiaye, critique de la France de Nicolas Sarkozy et lauréate du prix Goncourt 2009, le parlementaire a comparé la réaction de l'écrivain à celle de Yannik Noah et de Lilian Thuram, sous-entendant ainsi que sa critique ne porte pas uniquement sur la liberté de parole mais aussi sur la couleur de la peau, autre point commun entre ces trois personnalités.
"Un point de détail de l'histoire"
Bien entendu, la droite n'a pas le monopole des allusions racistes. Le 7 juin dernier, le député-maire socialiste Manuel Valls, filmé par Direct8 dans les allées d'une brocante de sa ville d'Evry au milieu de gens de couleur, lâche en plaisantant à son directeur de cabinet : "Belle image de la ville d'Evry. Tu me mets quelques blancs, quelques whites, quelques blancos". De la provocation.
Il n'est pas le seul. A gauche encore : "Ici, c'est le tunnel le plus long du monde : vous entrez en France et vous sortez à Ouarzazate", lance en 2000 Georges Frêche, président du Languedoc-Roussillon, lors de l'inauguration du tramway dans un quartier de Montpellier où résident beaucoup de maghrébins. L'ancien socialiste n'en reste pas là. En 2006, il s'en prend violemment aux Harkis, puis à l'équipe de France de football qui compte "neuf blacks sur onze". "J'ai honte pour ce pays". Il est exclu du parti socialiste en janvier 2007.
Cependant, malgré ses tentatives, Georges Frêche est loin de détrôner le maître en la matière, Jean-Marie Le Pen. Celui-ci est condamné à payer 10.000 euros d'amende pour avoir déclaré en 2003 : "avec 25 millions de musulmans chez nous, les Français raseront les murs". En 1988, il est condamné à 1.524 euros pour "injure publique envers un ministre" pour son jeu de mots sur le ministre de la Fonction publique Michel Durafour, "Durafour crématoire". Enfin le top du top : en 1987, le président du Front national assure sur RTL que les chambres à gaz sont "un point de détail de l'histoire de la Seconde Guerre mondiale". La justice le condamne à 183.200 euros d'amende.
"Le bruit et l'odeur"
Mais au-delà des déclarations de son leader, les observateurs attribuent aussi au Front national une part de responsabilité, plus indirecte, dans les récentes "blagues" des membres de l'UMP. En préparation des régionales, le parti de la majorité, qui a besoin du vote de l'extrême droite, et souhaite rassurer son électorat après son ouverture à gauche, semble prêt à bien des concessions morales. La blague raciste est un outil de communication très utile, puisqu'il permet à l'électorat d'extrême droite de s'identifier, tout en donnant la possibilité à ceux qui la pratiquent de revenir sur leurs propos, ou de botter en touche.
L'idéal,dans ces cas là, est d'être défendu par une personne de couleur. Encore mieux, par celle qui est l'objet de la blague. Brice Hortefeux en a fait sa spécialité. Après avoir assuré qu'il faisait allusion à l'enchainement interminable de photos, puis au grand nombre d'auvergnats, puis (en combinant) au nombre de photos avec des auvergnats, et constatant que personne n'était à ce point crédule, le ministre avait consenti à présenter "ses regrets", au cas où il aurait blessé quelqu'un. Le démenti vidéo du jeune militant d'origine maghrébine avait bien aidé. Le ministre avait déjà utilisé ses origines auvergnates avec Fadela Amara, d'ailleurs, qui avait elle aussi défendu son ministre.
Manuel Valls, lui, avait joué plus fin, en assurant que vouloir plus de blancs dans sa ville, c'était vouloir plus de mixité en cassant "le guetto". En assumant son discours et en le portant sur le terrain des idées, le socialiste a été blanchi par un opposant politique,
Jean-François Copé, le chef de file des députés UMP. Un homme de droite certes, mais la droite républicaine. Et pas un ami.
En 1991, c'est un proche de Jacques Chirac, Phillipe Séguin, qui lui avait prêté main forte. A l'époque, le président du RPR avait fait allusion, lors d'un meeting à Orléans, au "bruit et à l'odeur" qui émanent d'un logement où vit "une famille, avec un père, trois ou quatre épouses, une vingtaine de gosses, qui touche 50.000 francs de prestations sociales sans travailler". A Bordeaux, le week-end dernier, c'est une fois encore un proche (autrefois son dauphin, même), Alain Juppé, qui a immédiatement récupéré le coup. Alors que Jacques Chirac plaisante (se pensant peut-être à l'abri des micros ?), il l'interrompt : "Il n’est pas corrézien".
la palme d'or revient indiscutablement à GUERLAIN, «J’ai travaillé comme un nègre, je ne sais pas si les nègres ont toujours tellement travaillé, mais enfin…» Tels sont les propos qu’a tenus le 15 octobre sur le plateau du 13 heures de France 2, Jean-Paul Guerlain; sur France2 s'il vous plait.
en plus d'être racistes les hommes politique sont islamophobes pour égaler les Suisses et les Autrichiens:
Le racisme primaire mine le terrain politique en France. Les propos xénophobes se multiplient. Les déclarations racistes publiques ne sont plus l’apanage de Le Pen et ses sbires. Le dernier propos choquant en date a été proféré, le 10 mars, lors d’une émission organisée par La Chaîne parlementaire, France Info et l’AFP, par un des caciques du parti de Sarkozy et président du groupe UMP, au Sénat français.
Invité à donner son avis sur la nomination éventuelle à la présidence de la Haute Autorité de lutte contre les discriminations et pour l’égalité (Halde) de Malek Boutih - fils d’émigrés algériens, socialiste, ancien président de SOS-Racisme et membre du Conseil économique et social -, M. Longuet, 64 ans, a eu une déclaration d’une extrême gravité. « C’est un homme de grande qualité, mais ce n’est pas le bon personnage. Parce qu’il vaut mieux que ce soit le corps français traditionnel qui se sente responsable de l’accueil de tous nos compatriotes », avait-il répondu. Et d’ajouter : « Si vous mettez quelqu’un de symbolique, extérieur, vous risquez de rater l’opération. » Le propos proféré par ce sénateur au passé militant d’extrême droite, est grave.
Le président du Mouvement pour la France avait déclaré samedi sur TF1: "nous savons que la troisième guerre mondiale est déclarée (...) nous ne pouvons pas continuer à assister impuissants à l'islamisation progressive de la société française". M. de Villiers avait préconisé une "garde nationale" pour "rétablir les frontières", "investir les quartiers islamistes" et "contrôler les mosquées" et ajouté, selon un communiqué du Mouvement contre le racisme et pour l'amitié entre les peuples: "moi, je crois que l'islam est le terreau de l'islamisme et l'islamisme le terreau du terrorisme, donc on ferait mieux de faire attention".
Luc Chatel, ministre de l’éducation : refuser que la maman d’un petit musulman accompagne la classe dans les sorties scolaires, car elle porte un voile ! On ne parle pas de Burqa, ni de Niqab, mais juste d’un voile, un tissu qui couvre les cheveux. Donc toutes les musulmanes pratiquantes se verraient interdire le droit d’accompagner leur enfant. Au non de quoi? « Du pacte républicain » qui impose la laïcité de l’école, de l’état et de sa neutralité. Très bien dirais je, mais la maman n’est pas fonctionnaire et elle n’est pas rémunérée pour accompagner son enfant, donc elle n’a pas à retirer son voile, la neutralité s’imposant à l’état et ses fonctionnaires.
Claude Guéant, ministre de l’intérieur : Dans une interview donnée au Monde, il déclare « les français veulent que la France reste la France ». Super le débat sur l’islam! Implicitement, cela veut il dire que l’islam ne peut pas faire partie de la France? L’idée que cela s’oppose à la définition de la France est scandaleuse. Il y a donc une vue du musulman clairement définie comme une menace potentielle à l’identité française, n’appartenant pas à ce qu’est la France.
Vous remarquerez que les condamnation sont dérisoires par rapport au traumatisme que les propos occasionnent, la question que je me pose reste OU VA CE PAYS!
Bâ Ngaary Avocat
Cher frère blanc,
RépondreSupprimerQuand je suis né, j'étais noir,
Quand j'ai grandi, j'étais noir,
Quand je suis au soleil, je suis noir,
Quand je suis malade, je suis noir,
Quand je mourrai, je serai noir.
Tandis que toi, homme blanc,
Quand tu es né, tu étais rose,
Quand tu as grandi, tu étais blanc,
Quand tu vas au soleil, tu es rouge,
Quand tu as froid, tu es bleu,
Quand tu as peur, tu es vert,
Quand tu es malade, tu es jaune,
Quand tu mourras, tu seras gris.
Alors, de nous deux,
Qui est l'homme de couleur ?
Léopold Sédar Senghor
Tres émouvant commentaire.Merci Mr doucouré mohamed
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