ui échappent au
foyer vont passer le bac à 18 ans.. L’article 28 de ce code permet à l’épouse
de stipuler dans le contrat de mariage que «son mari ne l’empêche pas de poursuivre
ses études» mais ce code n’est pas le livre de chevet des mauritaniennes,
encore moins des adolescentes.
L’esclavage chez les femmes ! Marchandise et Abu
sexuelle
Sur 600 000 personnes réduites en esclavage en
Mauritanie, plus de 90% sont des femmes et des enfants.
Une vie d’esclave constitué d’un travail sans
salaire, châtiments corporels et traites sur mineurs, séparation forcée des
parents et enfants, scolarité en péril…les corvées sans cesse, sans repos, sans
soins ou rémunération. Des esclaves portent sur leur corps mal nourri, les
traces des sévices et des châtiments ; comme toutes les filles esclaves de
Mauritanie, elles traînent le fait de traumatismes divers dont des viols
répétés, de la part de ses maitres ; ainsi élèvent-elle des enfants dont elles
ne peuvent distinguer le ou les pères. Quand l’esclave qui a des biens décède,
ses avoirs sont hérités non par ses enfants, mais par son maître’’.
C’est un grand dommage dans un pays soit disant
république islamique. Que la femme est ainsi traitée comme un objet, comme une
marchandise.
L’Islam qui est venu pour libérer la femme de ce
calvaire.
Malgré le vote en 2007 d’une loi criminalisant
l’esclavage en Mauritanie, cette pratique dont sont ‘’victime principalement
les noirs’’ est toujours d’actualité.
Personne n’a été condamné pour pratique
d’esclavage.
IRA-Mauritanie ne cessera jamais son combat (inchALLAH). ‘’ L’emprisonnement, La grève de la faim, la désobéissance civile et le blocus des rues, nous le ferons toujours pour faire abolir l’esclavage en Mauritanie’’. Nous rendons un grand hommage à toutes ces femmes et filles victimes de violence sexuelle et d’esclavage.
IRA-Mauritanie ne cessera jamais son combat (inchALLAH). ‘’ L’emprisonnement, La grève de la faim, la désobéissance civile et le blocus des rues, nous le ferons toujours pour faire abolir l’esclavage en Mauritanie’’. Nous rendons un grand hommage à toutes ces femmes et filles victimes de violence sexuelle et d’esclavage.
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