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mardi 4 mars 2014

La victime oubliée pour condamner des « profanateurs » imaginaires du coran en Mauritanie.


  1. Chose insoutenable, tout le monde se presse de condamner un acte qu’on juge de profanation du « coran » oubliant même le jeune homme qui a été lynché par des policiers comme des fauves sur une proie facile au point que ces parents n’ont pas pu identifié leur fils tellement qu’il était dans un état déplorable. L’autopsie du corps du jeune  Ahmed Ould Hamoud  a été tronquée pour blanchir le crime parfait des policiers au point les parents ont refusé son enterrement sans un rapport qui scie avec les conditions atroces dans lesquelles le jeune a été sauvagement assassiné, puis on nous lance sur la trousse des profanateurs imaginaires, est ce qu’il existe dans nos mosquées le vrai livre authentique du coran ? On nous a habitué  tellement de mensonges au point les mêmes imams avaient classé des livres codes d’esclavage et fornications dans le rang du saint coran, tous les livres sont identifiés au saint coran alors qu’ils n’ont rien n’avoir avec le coran et la charia islamique. Avant de condamner ces profanateurs imaginaires, n’est-il pas plus légitime de condamner les assassins du jeune Ould Hamoud qui sont connus par tous, à savoir le régime dictatorial de ce faux général? La course des communiqués, déclarations est lancée, chacun y va avec zèle comme le plus grand  défenseur du saint livre coran alors qu’ils font tout le contraire de ce qui est prescrit dans le coran. Arrêtez de nous chanter la Mauritanie est à 100% musulmane, c’est archi-faux, tous les militaires particulièrement les généraux n’ont rien de musulmans, ils ont le sang des innocents dans les mains depuis 1978. Les auteurs de l’assassinat du jeune doivent être traduits devant la justice, l’imam qui est l’origine de cette fausse propagande doit répondre à ces mensonges qui ont entrainé la mort d’un homme. On ne dit pas aux croyants que le livre saint a été profané sans preuve en sachant les conséquences peuvent entrainer la perte des vies.
  2.  
     
  1. Diko hanoune

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