Manifestation de la diaspora ce
samedi 22 février 2014 a démontré que la diaspora Mauritanienne est plus que jamais
déterminée à conquérir ces droits les plus élémentaires malgré le départ
Mohamed Mahmoud Ould Brahim Khlil, le negrophobe notoire. L’ex-ambassadeur avait donné des consignes
fermes, clairs aux personnels chargés de l’enrôlement des Mauritaniens en
Europe, de poser toute sorte de tracasseries aux noirs qui viennent s’enrôler, alors
de ne demander aucune exigence particulière pour les arabo-berbères qui se présentent
à l’ambassade. Cet homme est le symbole de la division des Mauritaniens sous
protection du faux fou général depuis des années. Tout ceci au nez et à la barbe
de son beau frère, le faux général
Mohamed Ould Abdel Aziz. Il se permet d’insulter les employés noirs de l’ambassade
tous les jours sans se gêner, sa dernière victime est l’attaché militaire qu’il
voulait attacher à un poteau en plein cœur de Paris pour le lyncher comme il a l’habitude
de le faire au pays lors des séances de punitions de ses esclaves. Un message fort a été adressé au remplaçant de
l’ex-ambassadeur, la diaspora ne lâchera point tant que ces droits ne seront
pas respectés. Comment peut-on faire des élections libres et transparentes sans
avoir enrôlé les Mauritaniens pour les permettre d’accomplir leur devoir
civique? En fait, toutes ces tracasseries avaient l’unique but d’empêcher la
diaspora Mauritanienne de s’inscrire dans la liste électorale. Désormais, il
est clair pour tous qu’aucune élection ne se fera sans l’enrôlement des
Mauritaniens de l’intérieur comme à l’extérieur et leur inscription dans la
liste électorale. Nous sommes convaincus que le bilan du général est tellement
catastrophique, il ne serait en mesure de vaincre le boutiquier du coin même en
fraudant. Mauritaniennes, Mauritaniens, enrôlez vous, inscrivez vous dans la liste
électorale, puis voter contre votre oppresseur le général Mohamed Ould Abdel
Aziz. A vos cartes d’électeurs, il a assez menti depuis en 2008, ignorer son incompétence
conduira notre pays vers sa destruction.
Diko hanoune
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