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mardi 7 juillet 2015

Espagne-Almeria : La communauté Mauritanienne frôle la catastrophe de justesse.



Tout est parti sur la base des propos vulgaires, malsains que lance un homme cinquantenaire soninké ressortissant de Daffort envers  le jeune frère d’un éminent militant des droits de l’homme en France qui avait invité  à un « veillé du Ramadan » ses amis dans l’appartement où il réside.  Un féodal du Guidumakha comme il en existe tellement dans le pays répondant au nom  de Camara Taba Boubou connu pour ses débilités, son mépris,  sa brutalité, son orgueil surtout vulgarité envers des gens qu’il considère à sa vision de la planète monde comme « castes inferieures » dans le milieu villageois soninké.


Notre enquête commence en Espagne, M. Camara se rend régulièrement en Espagne pour renouveler ses papiers, il s’installe  chez un nommé Dicko Hadiya et ses colocataires puis Monsieur  veut être servi, pris en charge comme un roi, il se prend comme le roi d’Espagne sortant du village Daffort. La réalité de la vie actuelle de M. Camara se trouve en  France au foyer rue Riquet paris 19 ou 18ème.


Après avoir traité le nommé Hadiya Dicko de  « hardanlémé-fils d’esclave maure » qui fait le malin, les copains du jeune calment les deux parties et se dispersent. Mais apparemment le vieux Camara ne lâche pas sa proie, il revient à la charge, veut imposer par son gabarit physique son caractère  féodal  fin de la semaine dernière profitant de l’absence des autres résidents. Ainsi  il trouve le jeune dans la cuisine entrain de préparer à manger ; Il le provoque à nouveau et lui tombe dessus  avec un couteau de la cuisine mais le jeune s’est défendu et a finalement pris le dessus.


C’est ainsi par ses hurlements d’appels au secours qui  alertent le voisinage sur la fureur du jeune d’en découdre avec un rival qui l’en veut sans savoir le pourquoi ni aucune raison, la gendarmerie espagnole intervient rapidement sur le lieu. L’homme s’en sort avec des légères blessures à la main qui sont dues au couteau que le jeune lui a arraché entre les mains qu’il voulait planter sur son adversaire et à la tête aussi en tombant sur une porte.

Profitant  de ces légères blessures, il introduit une plainte pour blessures par  arme blanche afin d’envoyer le jeune en prison. Joint au téléphone depuis l’Espagne, Camara se défend : « je suis rentré dans la cuisine pour présenter mes excuses au jeune suite à notre altercation de l’autre jour entre nous qui m’a agressé avec un couteau ». A la question : Mais vous avez cas même un certain âge, pourquoi n’avez-vous pas réuni où attendu la présence des autres résidents pour éviter un tel débordement ?  Il raccroche le téléphone.


De là, on comprend qu’il n’était pas sincère au fond de lui, alors on se tourne vers le grand frère du jeune incriminé dans cette affaire grave où les féodaux agressent et font croire le contraire au monde extérieur qui nous dira : « je connais mes petits frères, ils sont pratiquement comme moi, on n’aime pas faire le tort à quelqu’un mais qu’on ne vient pas non plus nous chercher des noises gratuitement sur fond de notre dignité humaine. J’ai appelé personnellement Taba Camara pour lui présenter mes excuses suite aux petits bobos qu’il a eus, je pensais avoir quelqu’un de sérieux et responsable en face de moi mais je découvre le contraire malheureusement. Je l’avais suggéré de retirer sa plainte et il était d’accord. J’avais promis,  s’il le faut, je ferai une descente en Espagne pour régler définitivement leur différend ou le malentendu entre des frères en obligeant mon jeune frère à présenter des excuses devant tout le monde. C’était le weekend dernier, dès lundi quand les gens lui demandent d’aller retirer sa plainte comme promis, il commence à tourner en rond, il dira d’abord qu’il ne peut pas décider seul sans l’avis de son frère et de son groupe social, se frère a été contacté qui dira  lui aussi qu’il ne peut pas se déplacer. La communauté lui propose à se déplacer le voir chez lui et il répond sèchement  qu’il n’a pas de place ou les accueillir pour discuter. En gros tout le monde a compris qu’ils étaient d’abord complices à la recherche d’argent  facile et croyaient que le jeune frère restera des années en prison pour rien sans le retrait de sa plainte. Finalement nous avons pris un avocat qui a tout simplement démonté tous  leurs mensonges éhontés et le jeune frère est libre depuis lundi dernier. Je vous rappelle M. Camara est connu de Daffort en passant par l’Espagne et la France par son côté féodal bagarreur provocateur, un homme à problème partout où il passe. Voilà ce que j’ai à vous dire sur cette affaire regrettable qui démontre combien l’esprit esclavagiste gangrène nos communautés mauritaniennes vue l’impunité qu’ils jouissent au pays. »


Nous lançons un appel solennel à la vigilance des diplomates mauritaniens et les européens, les problèmes liés à la féodalité et l’esclavage risquent de causer des  drames si des mesures préventives et punitives ne sont pas prises contre les  individus qui se croient supérieurs à d’autres citoyens là où ils peuvent les croiser dans le monde. C’est cas même grave, le système de caste, l’esclavage sont exportés de la Mauritanie   vers ailleurs dans le monde, comment peut-on nier que l’esclavage n’existe pas ? Les mauritaniens exportent la culture des inégalités de naissances, les castes et l’esclavage pendant que nos autorités se contentent à nier se mal sociétal du siècle.  


"Envoyé par Bano Sidibé"

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