La vérité sur ce qui s’est passé à la mosquée
Saoudienne de Nouakchott. Le Mufti esclavagiste maure Ahmed Lemrabott Habibou Rahman n’a pas apprécié qu’un autre imam le contredit devant des « fideles »
qu’ils enseignent les pratiques de l’esclavage, surtout venant d’un imam issu de la communauté haratine victime de l’esclavage maure lui mettant les
points les I sèchement à propos de l’esclavage selon le saint coran. Vous allez le constater
de vous-même, les imams esclavagistes maures n’hésitent pas à recourir aux
mensonges dans nos mosquées sans remord. Une vidéo qui montre l’homme debout
devant l’assemblée naturellement, qui apporte un démenti saignant aux prêches mensongères
de certains oulémas maures, accusant l’auteur d’agression sur la personne de l’imam
esclavagiste maure, un alibi pour le jeter en prison bien évidement c’est tout
alors que l’homme ne manifeste aucune agressivité dans son comportement ni dans
son discours, il rappelle l’esprit du saint coran sur la question de l’esclavage ;
il s’appelle l'imam Brahim Jiddou qui était
venu accomplir sa prière du vendredi dans cette mosquée Saoudienne au moment
des faits. C’est son démenti par son discours d'un Islam juste, égalitaire qui
a mis le Mufti Habibou Cheytane et sa meute raciste, esclavagiste en colère surtout
qui ont eu le soutien par renfort immédiat des esclavagistes arabo-berbères au
pouvoir en Mauritanie accompagnés par une horde de fumistes nègres de services
féodaux qui prônent la suprématie religieuse dans le sud du pays. Le crime de l’imam
Brahim qui est jeté actuellement en prison comme un impropre est d’avoir donné une version anti-esclavagiste et
intègre de l'Islam. L’imam Brahim doit être libéré immédiatement sans condition, Le Mufti esclavagiste maure Ahmed Lemrabott Habibou Rahman doit être arrêté, jugé, condamné pour apologie d’un
crime contre l’humanité puni par la loi Mauritanienne, puni par les traités, conventions internationaux que l’état Mauritanien a signé et ratifié.
Loi
2007-048 relative à l’esclavage
Article 10 : L’auteur de production
culturelle ou artistique faisant l’apologie de l’esclavage est puni d’un
emprisonnement de six mois à deux ans et d’une amende de cinquante mille
(50.000 UM) à deux cent mille ouguiyas (200.000 UM) ou de l’une de ces deux
peines. La production est confisquée et détruite et l’amende est portée à cinq
millions d’ouguiyas (5 000 000 UM) si la production est réalisée ou
diffusée par une personne morale.
Article 11. - Toute personne
physique coupable d’actes discriminatoires envers une personne prétendue
esclave est punie d’une amende de cent (100.000 UM) à trois cent milles
ouguiyas (300.000 UM).
Toute personne morale coupable d’actes
discriminatoires envers une personne prétendue esclave est punie d’une amende
de cinq cent milles (500.000 UM) à deux millions d’ouguiyas (2.000.000 UM).
Article 12 : Tout wali, hakem, chef
d’arrondissement, officier ou agent de police judiciaire qui ne donne pas suite
aux dénonciations de pratiques esclavagistes qui sont portées à sa connaissance
est puni d’un emprisonnement de deux à cinq ans et d’une amende de deux cent
mille ouguiyas (200.000 UM) à cinq cent mille ouguiyas (500.000 UM).
Article 13 : Quiconque profère en
public des propos injurieux envers une personne prétendue esclave est puni d’un
emprisonnement de onze jours à un mois et d’une amende de cinq mille (5.000 UM)
à cent mille ouguiyas à (100.000 UM) ou de l’une de ces deux peines.
Suivre la vidéo: https://www.youtube.com/watch?v=pLfr900o3FI
Images de Manifestations de soutien à l’imam Brahim
Ould Jiddou séquestré par la police au service de la machine esclavagiste
religieuse des autorités Mauritaniennes suivie par une répression féroce sur les militants des droits de l'homme.
Diko hanoune
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