Ces féodaux de Djeol qui cherchent à casser du haratine pourquoi cette haine gratuite ?

Pas mal de mauritaniens me demandent pourquoi les intellectuels Djéolois sont anti-haratine par nature malgré la vidéo en poular de Kaaw Touré qui disait : « Hardané ko bandam »  qui veut dire le haratine est un parent? Si seulement vous le saviez, nous avons  des témoignages de missionnaires humanitaires sur le comportement cruel, insupportable des féodaux de  se village envers leurs voisins haratine  qu’ils considèrent comme moins que rien, ces féodaux irresponsables du village sont arrivés au point de  priver le partage des vivres destinés à la commune avec leurs voisins  haratine. Ça, Kaaw Touré le sait, Ibrahima Mifo Sow, le petit fumiste Demba Ndiaye ils le savent  et ils ont toujours utilisés des pseudos pour s’attaquer aux haratine dans le but de les opposer aux autres ethnies noires. Allez savoir le pourquoi, à la veille de son départ pour rencontrer le général Aziz dans le cadre du redéploiement des «  flam » en RIM, l’envoyé spécial de Samba Thiam en la personne de Ibrahima Mifo Sow vice-président- de M.Thiam « un Djeolois »  m’appela depuis les états unis pour me traiter d’anti-haalpoular et de tous les noms d’oiseaux sur terre, il se fait tailler sur-mesure par ces collègues flamistes qui savaient qu’il a menti dans un but inavoué en sachant j’ai été toujours du côté des victimes sans jamais me poser des questions. De là, j’ai compris facilement qu’ils étaient hostiles à tout rapprochement entre les communautés noires victimes d’ailleurs qui n’arrange pas le pouvoir du général Aziz. C'est curieux non? Ils me lisent tous les toujours sur la toile ne peuvent me démentir. Le fumiste Soh Mohamed en sait quelque chose aussi, donc laissez nos petits aigris dans leurs trous, ils ne s’en sortiront pas grandis avec leurs histoires communautaires. La seule chose qui compte pour moi, c’est le combat pour l’égalité des droits et devoirs entre les Mauritaniens qu’on soit blanc ou noir, cela n’importe peu. J’ai toujours défendu la source de l’échec de nos luttes se trouve dans ces histoires bidons communautaires, ethniques, tribales et des castes. Les militaires qui gouvernent le pays depuis 1978 l’ont bien compris et exploitent cette faiblesse en nous pour nous empêcher de faire face aux différents pouvoirs oppresseurs.

Diko hanoune