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mardi 25 octobre 2016

Sa tête est mise à prix par les féodaux du Guidimakha, un expatrié Mauritanien vivant en Angola.

Pendant que le président de la république, M. Mohamed Abdel Aziz  et son gouvernement pensent, l’esclavage est un fait d’un passé lointain, les séquelles,  quand à elles restent très vivaces dans le milieu Soninko.  Des émissions sont animées en grande pompe pour encourager des personnes d’ascendances serviles « Komo »  à rester dans leur condition. Cette fois-ci, ça déborde complètement.  Les maîtres « d’hier » et pensent y rester aujourd’hui,  menacent d’ôter la vie d’un citoyen Mauritanien expatrié en Angola sous prétexte qu’il  a critiqué la féodalité Soninko. Qu’il refuse d’être esclave, un sous homme dans la société sous  forme de la coutume ancestrale « LADDA »et se permet de critiquer le rôle qu’ils ont  sacralisé plusieurs siècles comme les marabouts et nobles. Le président de la république est garant  la sécurité des citoyens et leurs biens, nous demandons l’applique stricte de la loi. Le gouvernement mauritanien a la charge de sécuriser la vie du citoyen Diokhoba Coulibaly qui est menacé de mort publiquement. Il a été comparé aux dessinateurs du journal Satirique Charlie Hebdo. Ce qui serait très grave. Nous appelons aux autorités angolaises d’assurer également sa sécurité.

Projet de loi abrogeant et remplaçant la loi n° 2007– 048 du 3 septembre 2007 portant incrimination de l’esclavage et réprimant les pratiques esclavagistes

Article 2 : L’esclavage constitue un  crime contre l’humanité. Il est imprescriptible. Est interdite toute discrimination, sous quelque forme que ce soit, à l’encontre d’une personne considérée comme esclave.
Article 17 : L’auteur de production culturelle ou artistique faisant l’apologie de l’esclavage est puni d’un emprisonnement de six mois à deux ans et d’une amende de deux cent milles (200.000) à deux millions  (2.000.000) d’ouguiyas. La production est confisquée et détruite
L’amende est portée à cinq millions  (5.000.000) d’ouguiyas si la production est réalisée ou diffusée par une personne morale.
Outre la peine prévue à l’alinéa précédent, la personne morale peut être interdite d’exercer ses activités de façon partielle ou totale, provisoire ou définitive.

Transcription l’audio choque d’un certain Soumaré immigré  en France, vivant dans le foyer commanderie (Paris) qui appelle au terrorisme:
« Mais Diokhoba Coulibaly, tu as mangé quelque chose aujourd’hui, non franchement, j’ai pu rien comprendre de tes affaires. Comment as-tu pu penser des paroles comme ça ? Mais tu t’es drogué ? Que les maures  tuent les féodaux soninko, des chefs de villages peureux, menteurs, mais tu as eu la chance d’être en Angola.  Si tu étais en France, des balles allaient traverser de part en part  ta chair (je te tue).  Moi je suis (guerrier) Soumaré-Dicko, j’allais t’assassiner sinon que tous les Soumaré au monde viennent me marcher  dessus si je n’ouvre pas le feu sur toi par l’honneur. Tu as commis le même acte qui avait conduit aux attentats meurtriers  des journalistes Charlie Hebdo ; qui avaient dessiné le prophète et qui a conduit à leur assassinat. Tu as profané la féodalité Soninko  et tu mérites la mort. Pas plus ! Aujourd’hui  par ta critique sur les chefs de villages et les marabouts soninko , tu mérites le même sort que ces journalistes Charlie Hebdo. Mais attend, je vais me renseigner sur le billet Paris-Angola vers là où tu te trouves. Tu verras ce que je vais faire de toi.  Tu dois te coller la paix, toi l’esclave mâle que tu es, tu vas en Angola, tu ramasses un Diamant et tu commences à faire le malin  en te mettant à critiquer tout le monde (les  familles féodales bien entendu). Moi je suis Tunkanléme (le fils de Dieu) noble, je tiendrai parole et les marabouts aussi t’attendent…………………. »

Extrait : Note d’alerte : Les mentalités féodales rongent les mauritaniens de l’intérieur comme de l’extérieur
Soucieux de l’impérieuse nécessité d’éradiquer ce fléau afin de permettre un cadre de vie digne et démocratique, nous demandons aux autorités Mauritaniennes :

-De prescrire comme délit dans le code pénal Mauritanien l’apologie de la notion de supériorité basée sur l’appartenance sociale  par des cadres, intellectuels et autres (certains répondant au nom de chefferies villageoises)  au même titre que la loi incriminant  l'esclavage, et ce avec à la clef des amendes fortes, dissuasives afin de changer les mentalités rétrogrades ;

-de punir par la loi les apologistes publics  qui entretiennent à travers des animations, des chants et des danses, les complexes de supériorité ou d’infériorité  par  le biais  des coutumes ancestrales : (Niaxamala, Gawlo, Iguiw ou Griots etc.)  au sein de nos sociétés, tribus ou castes dont le seul but est d'humilier, de diminuer l’Homme, et de lui soustraire des fonds par harcèlement verbal, moral  ou  régler des comptes  avec certaines catégories de la société ; une situation de faits qui incite à la haine, au mépris de l’autre, polluant ainsi l’ambiance naturelle au point de menacer la sérénité, l’unité et la cohabitation entre  les citoyens ;

-De lever les tabous autour de la féodalité et ses corollaires ;

-De prendre des mesures fortes et dissuasives en cas de récidive : condamnation à des peines de prison ferme ;

-D’intégrer, par amendement, dans les lois, des actes concernant les questions spécifiques liées aux discriminations féodales  sur l'immatériel et le matériel notamment sur le foncier régi sous un régime moyenâgeux dans certaines contrées.

Ecouter la Vidéo : Mise à prix la tête d’un expatrié Mauritanien vivant en Angola par les féodaux du Guidimakha:  https://www.youtube.com/watch?v=V86U_kYOQ6E


Source : Bano Sidibé

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