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dimanche 19 avril 2015

Expropriations des terres en Mauritanie, qui sont les responsables ?



Choqué ? Bien sûr qu’ouïe, on voit des chefs de villages de partout! Des chefs de villages en France dans la commune  de « Gonesse », oui mais je ne donnerai pas de nom dixit un intervenant hier soir à la  Radio Diaguilly en langue soninké, ah bon pourquoi  puis l’intervenant s’éclipse?? Il y a de quoi à être choqué non ?? Allez expliquer cela aux français, nom de Dieu. Apparemment chaque prétendant à cette convoitée chefferie de nos villages se prend comme un petit roi qui hérite le village et conteste même la légitimé de l’état Mauritanien et son administration……….. Il faut en finir avec cette logique de: "tu votes pour moi ou tu dégages de cette  terre cultivable qui te permet de  nourrir ta famille". C’est tellement cruel et barbare au point même les familles négrières féodales se sont déchirées profondément. Ce n’est pas en cachant sa maladie qu’on pourra la soigner, soyons réaliste et logique.Il est temps d'humaniser ces esprits malsains qui nous rongent comme des virus.


Je trouve  que certains lettrés Soninké exagèrent. Comment peut-on avancer publiquement même la France d’aujourd’hui,  il y existe des chefferies de villages propriétaires terriens  des communes  qui commandent comme eux dans le Guidumakha  nos villages dans l’anarchie totale à notre perte ? Ils confondent  tout, entre  chef, responsable  et propriété d'un domaine privé. Je pense qu’ils ne comprennent même pas le sens des mots. Les soninkés ne peuvent évoluer avec de tels énergumènes.... et leurs mensonges politiquement corrects  finiront un jour par  diviser, scinder vos villages si ce n’est déjà le cas. Ils adoptent la position suivante : je suis  un soi-disant « noble », chef de village qui commande au village et esclave privilégié des maures dans l’administration Mauritanienne. Il y a un dealer entre ces esprits de négriers féodaux dans nos villages et les négriers maures du parti au pouvoir, c'est-à-dire toutes les nominations hauts rangs les sont attribués depuis l’indépendance en contre partie qu’ils maintiennent, écrasent, divisent les villages, villes et régions dans le sud. La féodalité qu’on cache sous  le bonnet des chefferies de  villages est  une arme politique qui  les reste pour  se mettre en pole-position a prétendre aux nominations, responsabilités etc.. 

Malheureusement avec cet entêtement  démoniaque, nous sommes au point de tout perdre y compris nos terres arables   sous leur fallacieux prétexte qu’ils sont les seuls propriétaires des terres en  favorisant  l’accaparement par expropriation de celles-ci  que nous connaissons aujourd’hui. La terre appartient à celui qui la mise en valeur, qui la travaille actuellement donc  j’invite chaque cultivateur Mauritanien, noir ou blanc à s’adresser directement à son administration pour lui dresser un procès verbal ou autorisation écrite  d’exploitation de la terre par l'agriculture signé de l’état mauritanien. Ne vous adressez ni n’écoutez les mensonges de ces négriers nègres égoïstes ignorants féodaux, des esclaves politiques au service des négriers maures qui nous détruisent depuis la nuit du temps. S’ils contestent la légitimité de l’état mauritanien depuis l’indépendance, qu’ils prennent les armes point à la ligne, trouillards hâbleurs, beaux parleurs qu’ils sont, ils ne le feront jamais…. On se connait en Mauritanie non?



«En France et selon la loi, la commune est une collectivité territoriale. Ses organes sont le conseil municipal, le maire et, le cas échéant, un ou plusieurs adjoints. Elle n'est pas une circonscription territoriale des services déconcentrés des administrations civiles de l'État.


 Le décret de l'Assemblée nationale du 12 novembre 1789 disposait « qu'il y aura une municipalité dans chaque ville, bourg, paroisse ou communauté de campagne ». La loi du 14 décembre 1789 proclamait « Les municipalités actuellement subsistantes en chaque ville, bourg, paroisse ou communauté, sous le titre d'hôtel de ville, mairies, échevinats, consulats, et généralement sous quelque titre et qualification que ce soit, sont supprimées et abolies, et cependant les officiers municipaux actuellement en service, continueront leurs fonctions jusqu'à ce qu'ils aient été remplacés ». Ainsi furent créées les communes françaises telles qu'elles existent encore aujourd'hui. »


Diko hanoune

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