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samedi 2 novembre 2013

URGENT FÉODALITÉ: L’abus de pouvoir de Amédi Camara, ministre l’environnement.


Ministère de l’environnement et du développement durable

 A Monsieur le Président de la république,  
Président du haut conseil de la magistrature                                                                       
                                                                                      
                Objet : Lettre ouverte

                Excellence Monsieur El hadj Président,

 Je m’adresse à vous, en tant que garant de la constitution  Mauritanienne, pour attirer votre attention sur  le non respect par le Ministre de l’environnement Amedi Camara d’exécuter   la décision d’une institution indépendante  de l’état comme la justice. C’est une grave  violation de l’article 4 de la constitution qui stipule que la loi est l’expression suprême de la volonté du peuple. Tous sont tenus de s’y soumettre. Le27/03/2013 lors de la séance No 32/2013, le Président du tribunal de travail a rendu public le verdict du dossier No 217/2012 relatif au différend m’opposant au Ministre de L’environnement suite à sa décision de suspension arbitraire de mes salaires (voir l’intégralité du jugement en annexe). Le principal  motif de cet acte du Ministre environnement se traduit par sa mauvaise foi de nuire au développement de mon foyer en nous privant  de notre nourriture quotidienne  pendant seize mois alors que mes allocations sont versés à la caisse  nationale de sécurité sociale  comme si mes salaires m’étaient destinés et  je détiens  également mes bulletins de présence signés du coordinateur du programme(pour preuve  à l’appui) ;
Je regrette que la chose publique ne soit gérée comme  une propriété privée et surtout en violation de toute réglementation ;

Excellence,
 Vous êtes la première personnalité de l’état et  pourtant vous acceptez des décisions de justice pour l’intérêt supérieur de la nation et pour quoi pas un Ministre que vous nommez.

Excellence,
Etant patriote et ne souhaitant pas organiser les marches à répétition devant votre palais, je vous prie de bien vouloir vous mettre à ma place en cette période de vache maigre pour un règlement juste et équitable d’un différend qui terni l’image de notre administration.

Excellence, je vous remercie pour votre aimable compréhension et vous présente tous mes vœux les meilleurs pour votre hadj et la fête de tabaski.

En Annexe le procès verbal du jugement rendu par le président du tribunal de travail de Nouakchott
 
Boully Aly Traorè /Contacts 46440297 /22357210

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