Attention à la désinformation, les fonctionnaires de la
police mauritanienne : El Hacen, Cheikh, Camara et d’autres, qui étaient
affectés à assurer la sécurité de
l’ambassade de Mauritanie en France suite au tollé qu’a suscité l’enrôlement raciste initié par le
général Aziz et ces proches n’ont jamais
abandonnés leurs postes, au contraire loin de là mais ils y étaient contraints de prendre le
large, prendre congé définitivement de leur condition d’esclave corvéable à la merci.
Ils n’ont pas été payés durant plusieurs mois et vivent des conditions
dramatiques d’esclavage en plein cœur de
paris la capitale française pendant que l’ambassadeur alloue des sommes en
guise de salaires énormes insoupçonnables dans son budget certains fonctionnaires fictifs attachés
à l’UNESCO qui ne servent à rien au pays.
Ils ont eu des graves menaces sur leurs vies venant de l’ambassadeur, de
son staff et de leur hiérarchie à Nouakchott.
D’ailleurs ils ont été renvoyés à Nouakchott pour subir ce que tout le monde
sait, c’est-à-dire les représailles donc prière aux journalistes de ne pas se
fier aux allégations mensongères de l’ambassadeur qui ne va pas tarder à monter
au créneau pour nous bombarder des mensonges. La vie de ces hommes est
sérieusement en danger, que les autorités françaises, européennes assument leur
responsabilité en demandant des comptes aux autorités Mauritaniennes. Le
pouvoir du général Aziz a installé la loi d’une jungle primitive, l’anarchie
totale sous une dictature qui ne dit pas son nom. Au nom de sa fausse lutte
contre le « terrorisme », il est entrain de terroriser tout le monde même
réclamer sa paye, on peut devenir très
rapidement pour lui et ces proches un
terroriste à abattre en plein jour. Que les mauritaniens et les occidentaux
prennent conscience que la Mauritanie sombre inlassable vers la catastrophe,
vers l’abîme si rien n’est fait à temps. Des fonctionnaires de polices esclaves
sur le sol européen, des militants abolitionnistes jetés en prison comme des
terroristes avec des fausses accusations fabriquées en toutes pièces, des
banquiers et hommes d’affaires concurrents des barons protégés du général Aziz sont envoyés soit à l’exil forcé ou dans des prisons
secrètes au fond du désert inaccessible
aux parents, avocats et ONG sanitaires, des mouvements sociaux syndicaux pris
comme cibles à abattre etc…. C’est
assez grave pour ne pas susciter la curiosité des bailleurs de fonds de la
Mauritanie.
Lire l'article sur cette affaire : http://cridem.org/C_Info.php?article=669385
Diko hanoune
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