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mercredi 8 avril 2015

Non les policiers qui étaient au service de l’ambassade Mauritanie à Paris n’ont pas abandonnés leurs postes mais… ?

Attention à la désinformation, les fonctionnaires de la police mauritanienne : El Hacen, Cheikh, Camara et d’autres, qui étaient affectés à assurer  la sécurité de l’ambassade de Mauritanie en France suite au tollé qu’a  suscité l’enrôlement raciste initié par le général Aziz et ces proches  n’ont jamais abandonnés leurs postes, au contraire loin de là  mais ils y étaient contraints de prendre le large, prendre congé définitivement de leur condition d’esclave corvéable à la merci. Ils n’ont pas été payés durant plusieurs mois et vivent des conditions dramatiques  d’esclavage en plein cœur de paris la capitale française pendant que l’ambassadeur alloue des sommes en guise de salaires énormes insoupçonnables dans son  budget certains fonctionnaires fictifs attachés à l’UNESCO qui ne servent à rien au pays.  Ils ont eu des graves menaces sur leurs vies venant de l’ambassadeur, de son staff et de leur hiérarchie  à Nouakchott. D’ailleurs ils ont été renvoyés à Nouakchott pour subir ce que tout le monde sait, c’est-à-dire les représailles donc prière aux journalistes de ne pas se fier aux allégations mensongères de l’ambassadeur qui ne va pas tarder à monter au créneau pour nous bombarder des mensonges. La vie de ces hommes est sérieusement en danger, que les autorités françaises, européennes assument leur responsabilité en demandant des comptes aux autorités Mauritaniennes. Le pouvoir du général Aziz a installé la loi d’une jungle primitive, l’anarchie totale sous une dictature qui ne dit pas son nom. Au nom de sa fausse lutte contre le « terrorisme », il est entrain de terroriser tout le monde même réclamer sa paye,  on peut devenir très rapidement pour lui  et ces proches un terroriste à abattre en plein jour. Que les mauritaniens et les occidentaux prennent conscience que la Mauritanie sombre inlassable vers la catastrophe, vers l’abîme si rien n’est fait à temps. Des fonctionnaires de polices esclaves sur le sol européen, des militants abolitionnistes jetés en prison comme des terroristes avec des fausses accusations fabriquées en toutes pièces, des banquiers et hommes d’affaires concurrents des barons  protégés du général Aziz sont envoyés  soit à l’exil forcé ou dans des prisons secrètes au fond du  désert inaccessible aux parents, avocats et ONG sanitaires, des mouvements sociaux syndicaux pris comme cibles à abattre etc….   C’est assez grave pour ne pas susciter la curiosité des bailleurs de fonds de la Mauritanie.

Lire l'article sur cette affaire : http://cridem.org/C_Info.php?article=669385


Diko hanoune

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