Choqué ? Bien sûr qu’ouïe, on voit des chefs
de villages de partout! Des chefs de villages en France dans la commune de « Gonesse », oui mais je ne donnerai pas
de nom dixit un intervenant hier soir à la
Radio Diaguilly en langue soninké, ah bon pourquoi
puis l’intervenant s’éclipse?? Il y a de quoi à être choqué non ?? Allez
expliquer cela aux français, nom de Dieu. Apparemment chaque prétendant à cette
convoitée chefferie de nos villages se prend comme un petit roi qui hérite le
village et conteste même la légitimé de l’état Mauritanien et son administration……….. Il
faut en finir avec cette logique de: "tu votes pour moi ou tu dégages de cette terre cultivable qui te permet de nourrir ta famille". C’est
tellement cruel et barbare au point même les familles négrières féodales se sont déchirées profondément.
Ce n’est pas en cachant sa maladie qu’on pourra la soigner, soyons réaliste et logique.Il est temps d'humaniser ces esprits malsains qui nous rongent comme des virus.
Je trouve
que certains lettrés Soninké exagèrent. Comment peut-on avancer
publiquement même la France d’aujourd’hui,
il y existe des chefferies de villages propriétaires terriens des communes
qui commandent comme eux dans le Guidumakha nos villages dans l’anarchie totale à notre
perte ? Ils confondent tout, entre chef, responsable et propriété d'un domaine privé. Je pense
qu’ils ne comprennent même pas le sens des mots. Les soninkés ne peuvent
évoluer avec de tels énergumènes.... et leurs mensonges politiquement
corrects finiront un jour par diviser, scinder vos villages si ce n’est
déjà le cas. Ils adoptent la position suivante : je suis un soi-disant « noble », chef de village qui
commande au village et esclave privilégié des maures dans l’administration
Mauritanienne. Il y a un dealer entre ces esprits de négriers féodaux dans nos
villages et les négriers maures du parti au pouvoir, c'est-à-dire toutes les
nominations hauts rangs les sont attribués depuis l’indépendance en contre
partie qu’ils maintiennent, écrasent, divisent les villages, villes et régions
dans le sud. La féodalité qu’on cache sous
le bonnet des chefferies de
villages est une arme politique
qui les reste pour se mettre en pole-position a prétendre aux
nominations, responsabilités etc..
Malheureusement avec cet entêtement démoniaque, nous sommes au point de tout
perdre y compris nos terres arables
sous leur fallacieux prétexte qu’ils sont les seuls propriétaires des
terres en favorisant l’accaparement par expropriation de
celles-ci que nous connaissons
aujourd’hui. La terre appartient à celui qui la mise en valeur, qui la
travaille actuellement donc j’invite
chaque cultivateur Mauritanien, noir ou blanc à s’adresser directement à son
administration pour lui dresser un procès verbal ou autorisation écrite d’exploitation de la terre par l'agriculture
signé de l’état mauritanien. Ne vous adressez ni n’écoutez les mensonges de ces
négriers nègres égoïstes ignorants féodaux, des esclaves politiques au service des négriers
maures qui nous détruisent depuis la nuit du temps. S’ils contestent la
légitimité de l’état mauritanien depuis l’indépendance, qu’ils prennent les
armes point à la ligne, trouillards hâbleurs, beaux parleurs qu’ils sont, ils
ne le feront jamais…. On se connait en Mauritanie non?
«En France et selon la loi, la commune est
une collectivité territoriale. Ses organes sont le conseil municipal, le maire
et, le cas échéant, un ou plusieurs adjoints. Elle n'est pas une
circonscription territoriale des services déconcentrés des administrations
civiles de l'État.
Le
décret de l'Assemblée nationale du 12 novembre 1789 disposait « qu'il y aura
une municipalité dans chaque ville, bourg, paroisse ou communauté de campagne
». La loi du 14 décembre 1789 proclamait « Les municipalités actuellement
subsistantes en chaque ville, bourg, paroisse ou communauté, sous le titre
d'hôtel de ville, mairies, échevinats, consulats, et généralement sous quelque
titre et qualification que ce soit, sont supprimées et abolies, et cependant
les officiers municipaux actuellement en service, continueront leurs fonctions
jusqu'à ce qu'ils aient été remplacés ». Ainsi furent créées les communes
françaises telles qu'elles existent encore aujourd'hui. »
Diko hanoune
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