Le but de l’Islam, discours d’un vendredi
mosquée Alboukary :
« Chers croyants, l’Islam est donc venu pour
« libérer l’humanité de la soumission à l’être humain (l’esclavage) pour se
soumettre au Seigneur des êtres humains ». C’est la formule qu’a utilisé le
compagnon Rab’ii ibn ‘aamir (radiyallahou ‘anhou). »
Les oulémas et érudits mauritaniens ont
enseigné durant 1436 ans en se basant sur
des livres religieux incinérés par les militants abolitionnistes
qui nous disent :
1-La femme esclave doit entretenir son maître
par sa chair.
2- Elle ne doit pas couvrir son corps du
regard de son maître.
3- L'enfer promis à l'esclave qui n'obéit pas
son maître
4-. Un maître peut vendre ou marier son
esclave à qui il veut et à tout moment.
5- Le maître peut mettre fin au mariage de
son esclave chaque fois qu'il le souhaite.
6- interdiction pour un esclave ou descendant
d'esclaves de diriger la prière
7- Un maître peut à tout moment entretenir
des rapports sexuels avec son esclave.
N'est ce pas l'enseignement de la
fornication? Voila l'enseignement religieux qu'on nous sort de ces écoles
soi-disant coraniques et de l'enseignement originel que dirige le Ministre de
l'enseignement Islamique M.Ould Dahoud.
Le mensonge vient de tirer les diables faux
religieux par la queue au début de ce troisième milliaire. Peut-on continuer à
croire que ces hommes qui dirigent les mosquées mauritaniennes sont des « musulmans
» qui ont la foi en Dieu en travestissant, détournant des versets sacrés du
saint livre du coran qui représente la parole divine sur terre que croient plus d’un milliard de
musulmans sur terre ?? Pourquoi les imams et leurs complices esclavagistes au
sommet de l’état ne présentent pas des
excuses aux victimes alors, qu’ils viennent de pondre illico une fatwa interdisant l’esclavage
seulement ce 31 mars 2015. Ces gourous faux religieux ont-ils peur de Dieu ou
du pouvoir des hommes ?? Ils doivent tous présenter leurs excuses aux victimes,
à Biram Dah et ces compagnons, aux organisations des droits de l’homme, à
l’ensemble du peuple mauritanien, à la Oumma Islamique et à la communauté
internationale. Ils doivent réparer les
torts causés aux victimes, Biram et ces codétenus doivent être immédiatement
libérés sans condition.
Ci-joint
leur dernière fatwa
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« La ligue des
oulémas affirme qu’en Mauritanie, il n’y a plus d’esclavage légal
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Nouakchott, 31/03/2015 - La
ligue des oulémas de Mauritanie a affirmé, au cours d’une conférence de
presse tenue mardi, à Nouakchott, qu’en Mauritanie, il n’y a plus d’esclavage
légal.
Cette déclaration qui a été lue par le secrétaire général adjoint, M. Cheikh Ould Saleh en présence du président, Cheikh Hamden Ould Tah et des membres du bureau exécutif de cette institution indique : « La Ligue des Oulémas en République Islamique de Mauritanie, -A l’issue de la réunion de son bureau exécutif tenue le jeudi 5 Joumada Al thani 1436 de l’hégire, correspondant au 26 mars 2015 et après avoir étudié la situation actuelle du pays, -Après examen minutieux de la situation sociopolitique de a société mauritanienne, - Après étude des questions de la charia qui engagent la société, - Après examen de la fatwa édictée par les oulémas en 1981 et de la décision de l’Autorité promulguant l’abolition de l’esclavage en Mauritanie, La ligue annonce, à l’intention de tous, qu’à partir de la date de ce jour, l’esclavage en Mauritanie n’a plus aucun fondement légal au regard de la charia. Par conséquent, toutes les pratiques à caractère esclavagistes sont considérées, à partir de cette date, illégales du point de vue de la charia islamique. L’ensemble des parties concernées sont conviées à oeuvrer à l’éradication des séquelles de ce phénomène qui s’est perpétué à travers l’histoire. A cette occasion, la ligue lance un appel à toutes les parties concernées afin de prendre en considération cette décision, et d’oeuvrer, par tous les moyens, à l’éradication des séquelles de ce phénomène. Un tel effort est considéré comme étant un devoir religieux que tous, chacun en ce qui le concerne, se doivent d’accomplir. Qu’Allah guide nos pas « » |
Diko
hanoune
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