Maintenant que le conseil
constitutionnel a accepté la candidature d’un homme dont l’organisation, IRA,
n’est pas reconnue par l’Etat, Birame devrait exiger de l’Etat la
reconnaissance sur-le-champ de son organisation ou retirer sa candidature !
C’est une occasion en or de mettre l’Etat devant l’absurdité juridique avec
laquelle le pouvoir gère les affaires publiques. Aziz a reçu TPMN, pourquoi ne
recevrait-il pas Birame surtout qu’il a déjà reçu à l’époque de la
diabolisation ceux qui ont tourné le dos à Birame ? Quelle différence entre
TPMN et IRA dans la nature du discours ? Aucune ! C’est bonnet N et H bonnet
chacun accusant l’Etat de racisme pour les uns et d’esclavagisme pour les
autres.
Birame ne doit pas rater cette occasion car il ne doit à personne le fait d’être désormais de plus en plus respecté et craint car il s’est imposé à ses risques et périls frôlant parfois la condamnation à mort et ayant subi les affres de la prison jusqu’à être évacué à l’hôpital. Après tant de diabolisation, à la veille de recevoir le prix des Nations Unies des droits l’homme, voilà l'humaniste présidente de la commission nationale des droits de l’homme qui débarque à l’ONU pour dire que l’Etat mauritanien « tend la main à Birame ». Après quoi ?
Bien sûr Birame ne devrait pas rater cette élection présidentielle pour avoir une tribune mais c’est un couteau à double tranchant qui mettrait à nu le nombre de divisions de ses troupes car le vote H n’existe pas en Mauritanie du moins pas pour l’instant sinon Messoud avec toute son aura, tous ses passages à la télé, toutes ses visites chez Aziz ne serait pas à la tête toute sa carrière politique de 4 à 7 députés ! Que Birame ne se trompe pas, aller à l’élection sans que son organisation ne soit reconnue sera une pure perte. Rien ne servira ensuite de crier à la fraude car il est clair que le pouvoir n’a pas besoin de frauder pour gagner car on ne perd pas les élections chez nous quand on tient l’Etat car alors on a les moyens de rassembler : l’Etat étant le premier employeur du pays. C'est la raison pour laquelle l'expérience prouve que le pouvoir ne change chez nous que par coup d'Etat...
De là que cela fait bien sourire quand on entend l’opposition dire « que le résultat est déjà connu » car en effet le score de l’opposition serait lamentable sinon les meetings de l’opposition toutes tendances confondues devraient être significatifs or il n’en est rien : leur score pathétique est déjà connu. De là cette fuite candidat après candidat. Le dernier en date est maître Bouhoubény dont le retrait est qualifié par notre ami du calame « de rude coup pour la crédibilité du scrutin ! ». Tu parles ! D’où sort l’avocat ? Combien de fois a-t-il été élu ou candidat ? Qui le connaît à part quelques personnes au courant de tout ce qui se passe sur internet.
En vérité peut-être que l’argent que tout le monde attendait de Bouamatou n’est pas arrivé. Bouamatou ayant compris que rien ne sert de combattre un Etat surtout quand l’opposition est au dernier article du naufrage. Cela dit cette opposition a en main le dernier petit coup qu’elle peut jouer à Aziz qui l’a si longtemps bernée c’est de ne pas cautionner son élection en sachant pertinemment qu’il n’a pas besoin de frauder pour gagner. C’est un coup dur pour Aziz qui rate là une occasion de rêve d’être élu avec la bénédiction de ceux qui squattent la scène politique sans troupes mais avec la reconnaissance nationale et étrangère de leur statut de principaux partis d’opposition.
Une pensée à Messoud qui boycotte l’élection pour ne pas démissionner de son poste juteux en faisant croire que c'est pour avoir la peau de la CENI. Une façon comme une autre de se rapprocher de l'opposition sait-on jamais l'avenir... en faisant mine de demander à son maître Aziz de lui faire ce cadeau sinon il ne va plus jouer son jeu car quoi qu’on dise le pouvoir a encore besoin de Messoud car c’est le leader Hartani parfait, il se prend pour un arabe comme Bodiel se dit noble Hartani et joue le jeu du camp militaire depuis Sidioca, ce qui lui réussit à merveille avec ça il ose encore parler de liberté de conscience ! Cela dit Messoud est populaire même si personne ne vote pour lui, il a donc un véritable pouvoir de nuisance comme celui des griots qui ne reçoivent pas ce qu’ils veulent.
La scène politique mauritanienne est à l’image du reste dans ce pays : psychologiquement c’est Tazmamart…
Birame ne doit pas rater cette occasion car il ne doit à personne le fait d’être désormais de plus en plus respecté et craint car il s’est imposé à ses risques et périls frôlant parfois la condamnation à mort et ayant subi les affres de la prison jusqu’à être évacué à l’hôpital. Après tant de diabolisation, à la veille de recevoir le prix des Nations Unies des droits l’homme, voilà l'humaniste présidente de la commission nationale des droits de l’homme qui débarque à l’ONU pour dire que l’Etat mauritanien « tend la main à Birame ». Après quoi ?
Bien sûr Birame ne devrait pas rater cette élection présidentielle pour avoir une tribune mais c’est un couteau à double tranchant qui mettrait à nu le nombre de divisions de ses troupes car le vote H n’existe pas en Mauritanie du moins pas pour l’instant sinon Messoud avec toute son aura, tous ses passages à la télé, toutes ses visites chez Aziz ne serait pas à la tête toute sa carrière politique de 4 à 7 députés ! Que Birame ne se trompe pas, aller à l’élection sans que son organisation ne soit reconnue sera une pure perte. Rien ne servira ensuite de crier à la fraude car il est clair que le pouvoir n’a pas besoin de frauder pour gagner car on ne perd pas les élections chez nous quand on tient l’Etat car alors on a les moyens de rassembler : l’Etat étant le premier employeur du pays. C'est la raison pour laquelle l'expérience prouve que le pouvoir ne change chez nous que par coup d'Etat...
De là que cela fait bien sourire quand on entend l’opposition dire « que le résultat est déjà connu » car en effet le score de l’opposition serait lamentable sinon les meetings de l’opposition toutes tendances confondues devraient être significatifs or il n’en est rien : leur score pathétique est déjà connu. De là cette fuite candidat après candidat. Le dernier en date est maître Bouhoubény dont le retrait est qualifié par notre ami du calame « de rude coup pour la crédibilité du scrutin ! ». Tu parles ! D’où sort l’avocat ? Combien de fois a-t-il été élu ou candidat ? Qui le connaît à part quelques personnes au courant de tout ce qui se passe sur internet.
En vérité peut-être que l’argent que tout le monde attendait de Bouamatou n’est pas arrivé. Bouamatou ayant compris que rien ne sert de combattre un Etat surtout quand l’opposition est au dernier article du naufrage. Cela dit cette opposition a en main le dernier petit coup qu’elle peut jouer à Aziz qui l’a si longtemps bernée c’est de ne pas cautionner son élection en sachant pertinemment qu’il n’a pas besoin de frauder pour gagner. C’est un coup dur pour Aziz qui rate là une occasion de rêve d’être élu avec la bénédiction de ceux qui squattent la scène politique sans troupes mais avec la reconnaissance nationale et étrangère de leur statut de principaux partis d’opposition.
Une pensée à Messoud qui boycotte l’élection pour ne pas démissionner de son poste juteux en faisant croire que c'est pour avoir la peau de la CENI. Une façon comme une autre de se rapprocher de l'opposition sait-on jamais l'avenir... en faisant mine de demander à son maître Aziz de lui faire ce cadeau sinon il ne va plus jouer son jeu car quoi qu’on dise le pouvoir a encore besoin de Messoud car c’est le leader Hartani parfait, il se prend pour un arabe comme Bodiel se dit noble Hartani et joue le jeu du camp militaire depuis Sidioca, ce qui lui réussit à merveille avec ça il ose encore parler de liberté de conscience ! Cela dit Messoud est populaire même si personne ne vote pour lui, il a donc un véritable pouvoir de nuisance comme celui des griots qui ne reçoivent pas ce qu’ils veulent.
La scène politique mauritanienne est à l’image du reste dans ce pays : psychologiquement c’est Tazmamart…
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