La psychose des événements de 1989 en Mauritanie

La psychose des événements de 1989, tout noir victime serait un haalpoular ou autre, tout noir bourreau serait un  haratine, qui avait intérêt à cautionner se gros mensonge depuis des années au point que certains nègres de service mouillés jusqu’au cou , négocient en douce avec les différents pouvoir depuis Taya de faire porté la responsabilité sur des communautés pour créer une instabilité en permanence dans le pays qui maintient les dictateurs militaires au pouvoir. Comme on dit, qui sème le vent, récolte la tempête............

Les haratine étaient les seuls bras armés des maures nous chantent ils depuis des années, patati, patata etc...  Je vous le disais tout le temps, les douloureux événements de 1989 ont touchés tout le tissu  noir du pays sans exception. Puis je rappelle cette formule qui dit : les mensonges auront beaux séjournés mais ils seront très vite rattrapés par la vérité. De 1989 à nos jours, on ment aux mauritaniens, on accuse les communautés les unes contre les autres pour créer une situation de guerre civile intercommunautaire, pire encore on ôte, renie  la négritude de certains parce que soi-disant qu’ils parlent une langue différente c’est à dire hassanya. Les dirigent des FLAM ne seront jamais innocents à mon niveau d’avoir divisés les noirs à tel point en communautés, ethnies et castes aidant ainsi l’idéologie basiste à réprimer violemment les noirs dans leurs ensembles. L’exemple parfait est notre cas « A.H.M.E », nous étions les seuls à dire que les haratine ne sont pas des arabes, tous les basistes, nasséristes nous tombaient dessus au point qu’aucun journal ou site électronique arabe ou français Mauritanien ne reprennent nos déclarations, communiqués nous accusant de vouloir Kwarisé les haratine, d’être à solde des « KWAR » flamistes, puis la seule réplique de certains flamistes était de nous taxer de haratine qui sont mouillés dans les événements 1989  au point j’avais écrit un article à la direction du mouvement resté lettre morte parce qu’on est tout simplement des haratine.  Cela fait plus de 14 ans que je dis haut et fort, seul l’état est responsable du drame qui s’est abattu sur les noirs, quelques têtes brulées résistent encore à cette verité cruelle mais qui finira par s’imposer, c’est le cas du petit féodal Guirdia Wane, de certains flamistes aussi . Le président des flam, M. Samba Thiam a tout le mal au monde d’expliquer pourquoi quant il parle des négro-africains ou négro-mauritaniens, les haratine sont exclus d’avance ? Des hommes qui se vantent à longueur de la journée qui sont incapables de reconnaitre leurs erreurs surtout les corrigées, sont tout simplement très petits en croyant naïvement  être au-dessus de tous, ils se retrouvent en dessous de tous. Seule la verité est révolutionnaire. On ne gagnera aucune lutte sur la base communautaire ou  raciale, seuls les droits de chaque mauritanien doivent primer sur des intérêts personnels et communautaires.

Manifeste des Haratines : Le cas d’Abderrahmane Ould Ahmed

« Or, dans ce registre, les Harratines considèrent que même pour le recouvrement de leurs droits, ils se heurtent à l’iniquité. Le cas d’Abderrahmane Ould Ahmed, détenu pendant 150 jours dans l’enfer d’Inal en 1990, illustrerait ce déni de justice.

Hartani de souche, Abderrahmane Ould Ahmed se demande encore les raisons qui avaient poussé les autorités administratives et sécuritaires de l’époque, à l’embarquer dans une purge qui ne visait en principe que la communauté négro-africaine. Sa seule réponse aujourd’hui est qu’il a été victime d’un règlement de compte dans ces années troubles où une obscure raison d’Etat avait couvert tous les crimes commis en ces périodes de non droits »

Lien : http://www.cridem.org/C_Info.php?article=655918

Diko hanoune