Translate

dimanche 29 août 2010

On se moque des Mauritaniens


Combien de fois des citoyens diminues ont manifesté contre le commissaire aux droits de l’homme, à l'action humanitaire et aux relations avec la société civile devant la présidence de la république pour dénoncer la mauvaise gestion de Mohamed Lemine Ould Daddé ? Qui n’a pas vu ce même soi-dit-on « commissaire aux droits de l’homme » parcourir en jet privé les capitales des pays occidentaux sur le dos des contribuables Mauritaniens pour nier l’existence des pratiques de l’esclavage et du racisme dans le pays. Lors de son passage à Genève en mars 2010, Il avait la poche pleine des liasses de billets pour corrompre des militants des droits humains afin de faire échouer la mission que menait le frère Biram Ould Dah Ould Abeid. Si notre fameux président des pauvres le général Mohamed Ould Abdel Aziz avait écouté ces derniers, il aurait dû militer la casse. On parle de 271 millions soit 850 milles euros de malversations mais voyons cet homme avait un budget de 3 milliards d’ouguiyas soit 93 millions d’euros. Où est passé le reste ? Le pauvres n’ont pas vu la couleur de ces sommes faramineuses citaient par ci et par là. Nous avons toujours dit et répété jamais les aides m’arrivent à bon port. Je prends Ould Abdel Aziz aux mots, le journaliste de jeune Afrique lui pose cette question : « Vous êtes omniprésent, alors que votre gouvernement est très discret. Gouverne-t-il vraiment ? »

Sa réponse fut celle là: « Je suis obligé de suivre ce qui se fait avec précision. Il a souvent manqué à ce pays un président qui se soucie des détails. C’est ainsi qu’on a laissé faire la gabegie et la corruption. Je dois donc tout contrôler moi-même. » Alors là d’un coup, nous obtenons les aveux du président des pauvres qui a laissé faire où son premier ministre. Encore une autre question : « Vous avez déclaré avoir fait un coup d’Etat pour « sauver la démocratie ». Considérez-vous avoir réussi ? » La réponse du président des pauvres : « Les droits de l’homme sont respectés, la liberté de la presse est totale, nous combattons la corruption et la gabegie. Il reste beaucoup de choses à faire. Mais nous sommes en train de mettre le pays en chantier. » Voila à vous de juger le reste.

Merci

Diko hanoune

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire