Que les Haratine reçoivent des injures racistes, esclavagistes, serait
un fait banal, normal surtout quand elles viennent du cercle du pouvoir
Mauritanien et de ses tentacules affliées.
Tapa Coulibaly, un soninké du village Oulouboni, qui réside à
Nouakchott, dans le quartier de Kouffa, vient de traiter les Haratine de « bâtards
bestiaux sans âmes qui doivent accepter d’être les esclaves maures
éternellement, comme lui, qui accepte sans complexe d'être un esclave au
service d’un groupuscule soninké par héritage dans un audio Whatsapp
incendiaire, d’une violence verbale inouïe. » L'homme est le chouchou protégé
du ministre Amedi Camara et certains hauts
fonctionnaires, des soi-disant « dignitaires » originaires du Guidimakha tapis dans
l’entourage du pouvoir.
Voilà les coordonnées de cet homme qui sort de l'ordinaire, qui
lance un défi aux autorités Mauritaniennes, à l’ensemble de la Mauritanie, en
disant que l’esclavage restera une
réalité qui va continuer à exister quoiqu'on fasse ou dise.
(00222 41 99 53 67)
(00222 46 81 16 31)
(00222 41 99 53 67)
(00222 46 81 16 31)
N’a-t-il pas raison quelque part, en sachant que se sont les fonctionnaires de l’état, qui refusent que la loi soit appliquée? Deux policiers
soninké sont chargés à tirer d’affaire
cet homme à chaque fois qu’une plainte est déposée contre lui. Ils escortent
Tapa Coulibaly à chaque fois que son cas est soumis dans les commissariats de
Nouakchott pour le faire libéré. Il s'agit de: Fode Diabira né à Ajar et Dramane
Camara, ils exercent aux commissariats Sebkha 1 et Thieb-Thieb.
Nous leur disons qu’en protégeant un tel monstre dangereux pervers
individu, qui insulte des ethnies pour semer des troubles communautaires,
faisant l’apologie manifeste de l’esclavage, qui prêche la violence
communautaire gratuite, est un jeu très dangereux de la part des fonctionnaires
de l’état Mauritanien, qui seront tenus responsables en cas d’un drame un jour.
Tapa Coulibaly doit répondre de ses actes ignobles devant les juridictions
compétentes du pays au vu des propos dangereux qu’il diffuse partout dans le
Whatsapp via d'un groupe des extrémistes féodaux du Guidumakha qu’ils ont
appelé grossièrement « Démocrita Islamique »
Le groupe n'a pas été reconnu par les autorités françaises selon une source sûre, ils veulent modifier leur nom avec le "développement du Guidumakha" pour demander la reconnaissance officielle de l’état Mauritanie avec l'appui des féodaux politiciens proches du régime de Nouakchott. Attention, Attention, Attention, danger en cours qui vise la Mauritanie et les mauritaniens.....
Rappel de la loi contre l’esclavage et ses séquelles,
et si seulement la loi était appliquée ?
Article 17 : L’auteur de production culturelle ou
artistique faisant l’apologie de l’esclavage est puni d’un emprisonnement de
six mois à deux ans et d’une amende de deux cent milles (200.000) à deux
millions (2.000.000) d’ouguiyas. La production est confisquée et détruite
Article 18 : Tout wali, hakem, chef d’arrondissement, officier ou
agent de police judiciaire qui ne donne pas suite aux dénonciations de
pratiques esclavagistes qui sont portées à sa connaissance est puni d’un
emprisonnement de deux à cinq ans et d’une amende de cinq cent milles(500.000)
à un million (1.000.000) d’ouguiyas.
Article 19 : Quiconque profère en public des propos injurieux
envers une personne considérant qu’elle est esclave est puni d’un
emprisonnement de deux (2) à six (6) mois et d’une amende de dix milles
(10.000) à deux cent milles(200.000) ouguiyas.
La loi : https://haratine.com/Site/?p=2260
Voici les graves diatribes de Tapa Coulibaly en envers les Haratine :
https://www.youtube.com/watch?v=QngP7kwx9QM&feature=youtu.be
Le ministre Amedi Camara assiste à une cérémonie d’apologie de
l’esclavage.
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