Vous êtes avec Moustapha Camara, président du
groupe Whassap qu’ils ont appelé grossièrement
« Démocratia-Islamique ». Il harangue : « Dans ce groupe,
il n’y aura pas une seule femme parmi nous, jamais, ni caste maraboutique, ni esclave, ni Mangou (caste considérée dans le milieu
soninké comme les modérateurs). Que cela soit claire pour tous les membres ici;
il n’y aura que nous les Tounkalémou « esclavagistes méchants, durs »,
ces familles répugnantes féodales avec le pouvoir car le Guidimakha nous appartient … »
Mais ce pauvre type se croit où ? Il se prend pour qui ? Bon Dieu !
Ce groupe dans le réseau Whassapp, qui fait la promotion des coutumes
esclavagistes ancestrales depuis la France, sont
soutenus, couverts, renforcés depuis la Mauritanie par le ministre de l’environnement
du gouvernement Yahya Ould Hadémine, Mr Amédi Camara, du conseiller du président Aziz, M. Sidney
Sokhona, M. Dibira Bakary, membre du protocole
à la présidence Mauritanienne. Moustapha Camara répète haut et fort qu’ils dénonceront tout mauritanien qui entrave
leurs activités promotionnelles des vestiges de coutumes ancestrales esclavagistes
une fois sur le sol Mauritanien en vacances ou visite familiale.
Bizarrement, on trouve ce Moustapha Camara, l’hypocrite
menteur ressortissant du village de Daffort, qui avait affiché fièrement une photo
montage de lui pour dire « Non à l’esclavage
en Libye ». Allez comprendre qu’est ce qui se trame dans la tête de ces
nègres féodaux complexés ?
Écoutez attentivement les propos du président du
mystérieux groupe Whatsapp appelé abusivement "démocratia islamique"
Moustapha Camara!
Un mot transcription de la teneur de ses propos
ahurissants contre l'ordre constitutionnel de Mauritanie dans le
Guidimagha.
S'adressant à ces partenaires de la féodalité
soninkée du Guidimagha mauritanien, il dit qu'ils sont les propriétaires
exclusifs du Guidimagha en tant que fils de familles régnantes. Il explique que
comme dans le passé, tout doit se décider que par eux seuls et aujourd'hui ils
sont engagés dans un combat pour défendre leurs positions du régime coutumier
soninké qui est rappelons le, féodal et esclavagiste. Il a encouragé ses
camarades dans son discours réactionnaire et discriminatoire, que tout autre
élément doit être exclu au cœur de leurs projets antidémocratiques et
anti-républicains. Il a nommé clairement les autres composantes sociales
soninkée comme subalternes et indignes (mangou, komo et d'autres) de la cause
du Guidimagha féodal qu'il veut restaurer aujourd'hui.
La belle conclusion par une leçon magistrale salon le Coran
et la Sunna, est faite par l’audio de l’érudit
Cheikh Ahmadou Cissokho, depuis Dakar
qui dit : « Avant de dire que les arabes sont mauvais, les arabes rabaissent les noirs, est ce que nous ne
rabaissons pas entre nous les noirs, entre nous les soninko »? Merci Cheikh Ahmadou
Cissokho pour la mise au point qui tombe à pique.
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