La vérité sur l’Examen Période Universel
(EPU) du rapport des droits de l’homme sur la Mauritanie est un cuisant échec
des mensonges de l’état Mauritanien érigés en mode de « bonne gouvernance ».
Le 03 novembre 2015, l’état Mauritanien
présente son rapport et reçoit par la même occasion 200 recommandations des
états membres de la commission des nations unies des droits à Genève dont 48
recommandations voire plus concernent l’esclavage, le racisme, la féodalité,
les discriminations, les détentions arbitraires, tortures et harcèlement des
militants abolitionnistes notamment le cas de Biram, Brahim ,Djiby sont
soulignés par plusieurs états au point de mettre en colère le ministre de la
justice maitre Brahim Daddah venu défendre l’indéfendable mensonge etc….
Le 16 Mars dernier, l’état Mauritanien est
venu demander l’adoption de son rapport et dit avoir accepté 144/200
recommandations ; parmi les 56 rejetées, on n’y trouve l’abolition de la peine
de mort mais aussi d’autres qui concernent le travail de mineurs et les
discriminations à l’égard des femmes, le droits à l’éducation obligatoire pour
tous etc…
L’argument ridicule avançait par l’état
Mauritanien est que ces recommandations ne collent pas avec la charia islamique
en vigueur dans le pays met en colère certains états membres des nations unies
qui rappellent dans un langage diplomatique que la Mauritanie est membre des
nations unies donc elle doit se conformer avec les règles internationales.
Quoique l’état Mauritanien nous chante
aujourd’hui, l’adoption où non du rapport est un couteau à double tranchant :
l’adoption du rapport et ces recommandations donnera lieu le droit du suivi
strict des états membres des Nations Unies de veiller à leurs applications, le
cas contraire le refus des recommandations formulées par les autres états
membres se traduira par l’état Mauritanien n’a aucune volonté à se conformer
aux règles internationales et cela peut déclencher des mesures drastiques
répressives envers l’état Mauritanien.
Que du gaspillage à propos de cette horde de racaille
négraille qui accompagnait le commissaire aux droits de l’homme M. Tourad ! La
délégation des nègres de services n’a rien servi à part le pillage habituel des
biens sociaux avec leurs frais de missions, frais d’hôtels, frais de billets
d’avion etc…… alors cela aurait pu aider à construire des écoles, centres
sanitaires, financement de micro-projets de développements en faveur des
populations diminues, en faveur des villageois………..
Diko Hanoune
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