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jeudi 8 février 2018

Medibougou-Mauritanie : Les esclavagistes féodaux avouent leur crime sur un vieux de 70 ans.


Medibougou-Mauritanie : Les esclavagistes féodaux avouent leur crime sur un vieux de 70 ans.

Des images qui parlent d'elles mêmes, horreur, barbarie féodale insoutenable sur le territoire Mauritanien, l’an 2018.

Nous mettons à la disposition de l’opinion nationale et internationale la preuve l’aveu des criminels féodaux issus de familles « Diawara du village Médibougou lors d’un échange familial sans complexe: « Je réponds par Aleykoum Salam, en s’adressant à un autre  Diawara depuis Angola.  Tout ce qu’on vous a raconté, est ainsi, moi-même, je suis en garde à vue depuis hier à 2h avec 11 personnes. Nous avons battu, agressé, blessé de gens, ils se soignent actuellement. L’affaire est très grave oui, il y a une délégation de maures en route pour arranger les choses mais nous ne pensons pas qu’ils arriveront, car, c’est très grave. Nous avons ce problème avec des esclaves, ce n’est pas la majorité mais ceux qui font le malin, qui refusent de se soumettre…… »  Les bourreaux féodaux se réjouissent d’avoir accompli leur crime odieux sur un vieil homme de 70 ans, il rajoute dans sa conversation : «  Notre groupe social n’a pas reçu un seul coup, nous sommes indemnes  sans égratignure»

Le village  Medibougou Mauritanie se situe vers la frontière avec le Mali, les féodaux Soninké Diawara ont organisé une rébellion contre l'état Mauritanien et son service sécuritaire. Des personnes d'ascendances serviles ont été lynchées cette nuit pour avoir refuser, rejeter des coutumes esclavagistes Laadani dans le milieu Soninké.

Parmi les victimes, il y a plusieurs blessées graves. Voilà les conséquences de cette sourde oreille que les autorités Mauritaniennes accordent à nos multiples alertes depuis plusieurs années face à la menace féodale. La presse mauritanienne censure systématiquement nos déclaration et sorties sur le sujet. La mentalité féodale est très répandue au sein de l'élite mauritanienne. Les noirs féodaux sont extrêmement dangereux, agressifs, ils sont prêts à verser du sang pour faire soumettre leurs anciens esclaves.

La situation est très grave et progresse dangereusement vers la violence gratuite faute d'une sérieuse prise en charge de cette injustice par le pouvoir public. Du Guidumakha jusqu'à Néma, tout au long de la frontière Mauritano-Malienne, les féodaux Soninké vivent dans le moyen-âge. L'état doit garantir la sécurité des citoyens victimes qui subissent ce crime odieux en plein 2018.

Nous avons eu l'information que plusieurs auteurs d'agression ont été appréhendés par les gendarmes. Les auteurs doivent être sévèrement punis.

Image des blessures 

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