Medibougou-Mauritanie : Les esclavagistes féodaux avouent
leur crime sur un vieux de 70 ans.
Des images qui parlent d'elles mêmes, horreur, barbarie féodale
insoutenable sur le territoire Mauritanien, l’an 2018.
Nous mettons à la disposition de l’opinion nationale et
internationale la preuve l’aveu des criminels féodaux issus de familles « Diawara
du village Médibougou lors d’un échange familial sans complexe: « Je réponds
par Aleykoum Salam, en s’adressant à un autre Diawara depuis Angola. Tout ce qu’on vous a raconté, est ainsi, moi-même,
je suis en garde à vue depuis hier à 2h avec 11 personnes. Nous avons battu,
agressé, blessé de gens, ils se soignent actuellement. L’affaire est très grave
oui, il y a une délégation de maures en route pour arranger les choses mais nous
ne pensons pas qu’ils arriveront, car, c’est très grave. Nous avons ce problème
avec des esclaves, ce n’est pas la majorité mais ceux qui font le malin, qui
refusent de se soumettre…… » Les
bourreaux féodaux se réjouissent d’avoir accompli leur crime odieux sur un
vieil homme de 70 ans, il rajoute dans sa conversation : « Notre
groupe social n’a pas reçu un seul coup, nous sommes indemnes sans égratignure»
Le village Medibougou
Mauritanie se situe vers la frontière avec le Mali, les féodaux Soninké 《Diawara 》ont organisé une rébellion contre
l'état Mauritanien et son service sécuritaire. Des personnes d'ascendances
serviles ont été lynchées cette nuit pour avoir refuser, rejeter des coutumes
esclavagistes 《Laadani》 dans le milieu Soninké.
Parmi les victimes, il y a plusieurs blessées graves. Voilà les
conséquences de cette sourde oreille que les autorités Mauritaniennes accordent
à nos multiples alertes depuis plusieurs années face à la menace féodale. La
presse mauritanienne censure systématiquement nos déclaration et sorties sur le
sujet. La mentalité féodale est très répandue au sein de l'élite mauritanienne.
Les noirs féodaux sont extrêmement dangereux, agressifs, ils sont prêts à
verser du sang pour faire soumettre leurs anciens esclaves.
La situation est très grave et progresse dangereusement vers la
violence gratuite faute d'une sérieuse prise en charge de cette injustice par
le pouvoir public. Du Guidumakha jusqu'à Néma, tout au long de la frontière
Mauritano-Malienne, les féodaux Soninké vivent dans le moyen-âge. L'état doit garantir
la sécurité des citoyens victimes qui subissent ce crime odieux en plein 2018.
Nous avons eu l'information que plusieurs auteurs d'agression ont
été appréhendés par les gendarmes. Les auteurs doivent être sévèrement punis.
Image des blessures
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