Alerte : Le premier apologiste sur la
continuité de l’esclavage dans la violence, le châtiment avec des mots d’une
extrême violence sur le réseau Whatsapp à l’adresse des victimes de
l’esclavage, un féodal soninké de Hachi-Chagar répondant au nom de Camara
Ibrahima de la région du Guidumakha est en garde à vue au commissariat de
Sebkha 2 (Thieb-Thieb). L’homme a provoqué un séisme énorme, un électrochoc qui peut conduire vers des règlements de comptes violents
dans les villages qui peuvent déboucher sur des meurtres. Il n’a pas mâché ses
mots envers les victimes, allant jusqu’à rappeler aux victimes qu’il accuse de
« rebelles qui font le machin », qu’il y a peu, son propre grand père enterrait
des nourrissons de femmes esclaves s’ils occupent trop les mamans qui cultivent
le champ du maitre avec leurs vas et viens d’allaitements de bambins.
Il dit et le répètera dans son audio,
l’esclavage a existé toujours et restera tel qu’il est depuis la nuit du temps,
que l’esclavage est un fait divin, les anciens esclaves n’oseront même pas
demander la mairie du village de Hachi-Chagar à fortiori autres choses. Ces
violents propos sont adressés aux membres de Ganbaanaxu Fedde qui veut dire que
nous sommes tous pareils ou égaux.
Les familles féodales se mobilisent fortement
à Nouakchott pour libérer le négrier nègre féodal, qui prêche l'incitation à la
violence, les familles féodales du Guidimakha comptent sur le ministre Amedi
Camara, Sokhona Sidney conseiller à la présidence etc… pour corrompre
soi-disant la justice, le président de la république et les membres influents
du régime.
La libération de cet homme peut finir mal
dans les villages du Guidumakha au vu la tension et la haine que ces propos ont
suscité entre les villageois, des propos violents, très vulgaires. Les
autorités seront tenues responsables si elles refusent d'appliquer la loi
contre l'esclavage, ses séquelles et
ceux qui en font l’apologie manifeste sur ces genres d'individus qui ne
reculent devant rien pour créer des tensions en violation de la loi dans
l'assurance d'avoir le soutien de bras longs bien placés
Chapitre deuxième : des infractions et leurs
sanctions signées par Yahya Ould Hademine et le président de la république,
Mohamed Ould Abdel Aziz.
Article 17 : L’auteur de production culturelle
ou artistique faisant l’apologie de l’esclavage est puni d’un emprisonnement de
six mois à deux ans et d’une amende de deux cent milles (200.000) à deux
millions (2.000.000) d’ouguiyas. La production est confisquée et détruite
L’amende est portée à cinq millions (5.000.000) d’ouguiyas
si la production est réalisée ou diffusée par une personne morale. Outre la peine prévue à l’alinéa précédent, la personne morale
peut être interdite d’exercer ses activités de façon partielle ou totale,
provisoire ou définitive.
Article 18 : Tout wali, hakem, chef d’arrondissement, officier ou
agent de police judiciaire qui ne donne pas suite aux dénonciations de
pratiques esclavagistes qui sont portées à sa connaissance est puni d’un
emprisonnement de deux à cinq ans et d’une amende de cinq cent milles(500.000)
à un million (1.000.000) d’ouguiyas.
Article 19 : Quiconque profère en public des propos injurieux
envers une personne considérant qu’elle est esclave est puni d’un
emprisonnement de deux (2) à six (6) mois et d’une amende de dix milles
(10.000) à deux cent milles(200.000) ouguiyas.
Lisez la loi entière : https://haratine.com/Site/?p=2260#more-2260
Vidéo lien vers l’audio de la personne incriminée : https://www.youtube.com/watch?v=PfBjqWiUkf8&feature=youtu.be
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