Je peux vous dire que j’avais vue juste,
j’ai toujours défendu qu’il faut aller à la rencontre des populations pour les
sensibiliser, les conscientiser à résister contre l’oppression, les injustes
etc… au lieu de perdre son temps à papoter avec des partis cartables pour le
partage des privilèges au nom de « l’unité de quelques gourous » bon à rien qui
cherchent à tirer des dividendes dans tout. Un citoyen conscient que son droit
s’arrache ne se laissera jamais marcher dessus. Un homme averti en vaut deux.
Nous n’avons enregistré aucune réaction à
chaud ou froid des partis politiques qui voient sous leurs yeux des citoyens
qu’on martyrise pour satisfaire la demande d’un « homme d’affaire » nous
dit-on. Pour un homme d’affaire « maure blanc» certainement, l’état utilise une
armée de la police, de la garde et gendarmerie pour bastonner les pauvres sans
proposition aucune de relogement en plein ramadan. Une preuve que les hommes du
pouvoir et leurs lèches-culs n’ont rien à secouer de l’islam et ces vertus.
Dans quel état vivons-nous ? Même si les
hypocrites chantent que le racisme d’état n’est pas institutionnalisé, ok, bien
comment peuvent-ils expliquer qu’un état de droit en plein 2016 qui jette des
milliers de familles pauvres dans la rue comme ça du jour au lendemain avec
l’appui de toutes les forces répressives, barbares dans le pays ?
Où sont passés leurs programmes de lutte
contre la pauvreté, les séquelles de l’esclavage, du racisme, l’exclusion
qu’ils vendent à l’extérieur et les milliards qu'ils récoltent au nom de cette
même lutte contre la pauvreté ? Elle est passée où la venimeuse vipère Mme
IRABIHA, présidente de la fameuse commission des droits de l’homme (CNDH) et le
commissariat chargé des droits de l’homme pour dénoncer les brutalités de l’état
sur des citoyens ?
Seule la lutte libère, les populations
doivent perturber le sommet des états arabes qui se prépare à Nouakchott pour
montrer aux généreux donateurs des pays de pétrodollars du Golf que leurs
aumônes sont détournées, d’ailleurs il n’y a pas longtemps 8 à 10 pauvres ont y
laissés la vie en essayant justement de récupérer un petit billet.
Reportage photos
Diko Hanoune
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