En attendant de recevoir cette condamnation à mon absence et
celui de mon avocat, je vous laisse découvrir ce que disent mes
adversaires qui s’adonnent avec excès de zèle à faire un tapage
incroyable autour d’une condamnation en diffamation comme si je suis le premier
et le dernier à être condamné pour diffamation. Chose étrange, mes adversaires
qui disaient hier seulement à qui voulait les entendre que je ne représente
rien à leurs yeux, pourquoi alors gaspiller toute leur énergie sur quelqu’un qui
ne représente rien à leurs yeux ? A noter également, la procédure
judiciaire n’est pas fini, donc c’est très tôt de se réjouir. Si demain,
je suis relaxé, ils vont devoir republier d’autres articles dans le sens
contraire ou inverse.
PS : Ne cherchez pas l’article incriminé dans cette plainte
en diffamation dans mon blog ni ailleurs, il a été supprimé depuis en mars 2015
sur demande de plusieurs amis de mes adversaires mais également mes propres
amis que les auteurs de la plainte avaient promis le retrait de leur
plainte qui s’avère aujourd’hui un mensonge tellement gros, qui fait
oublier ma condamnation. Ils ont beaux à vouloir berner le public, leur
mensonge reste entier, j’avais averti tous mes amis et partenaires qu’ils ne
respecteront rien tellement qu’ils sont de mauvaise foi, il fallait laisser la
justice trancher, me demander le retrait de l’article, suivi d’un texte à
publier mais bon, voila leur vraie nature qui apparaît au grand jour.
Trompé les gens n’a jamais été un métier payant. La vie nous réserve d’autres
surprises certainement plus hallucinantes que celle-ci.
C'est quoi mon regret au jour d'aujourd'hui? Evidemment
d'avoir cédé sitôt en supprimant l'article incriminé en question tout
en sachant que mes adversaires sont de mauvaise foi. Ma consolation? C'est de
savoir que la faille ne vient pas de militants, de mes amis, mes proches et
partenaires, des journalistes également, tout ce
monde se sent trahi et embarqué dans des mensonges et
fausse promesse la fin des procédures. Tout le monde prétendait
les deux plaignants sont de "bonne foi" pour trouver une
solution définitive sans passer par la justice, un exemplaire du
coran dans la main arpentant des bars parisiens pour jurer, ben alors,
qu'en est-il aujourd'hui?
Diko Hanoune avait-il raison ou non? Ces hommes et femmes qui
utilisent leur plume pour mettre en danger des militants abolitionnistes qui
croupissent dans des bagnes illégalement, auront toujours des articles
ripostes à ce qu'ils publient. Des procédures en diffamation peuvent
être engagées N fois contre ma personne,
cela n’empêchera jamais
qu'on dénonce l’inexactitude des fausses informations tirées des
cheveux qu'ils publient pour salir notre combat, notre cause dont certains
iront jusqu'à chanter que la lutte contre l'esclavage est un "fonds de
commerce" pour nous.
Ce ne sont pas le faux témoignage d'un beau frère (histoire
d'un témoignage familial) devant le tribunal de paris qui fera taire
Diko, non, il faudra couper ma tête pour me faire taire définitivement. Nos
adversaires ne sont pas les seuls à connaitre les procédures ni les seuls
ayant le droit des plaintes. Le plus dur reste à venir, ce n'est pas le
début mais la fin.
Lien article supprimé :http://haratine.blogspot.fr/ 2014/02/abdoullaye-diagana-et- son-ami-mohamed.html
Bonne Lecture
DIKO Hanoune
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