La République Islamique deMauritanie en 2015.
A la commission des droits de l’homme àGenève-Suisse à l’occasion de la présentation du rapport sur les droits de l’homme en Mauritanie le 08 octobre 2015.
Mesdames et Messieurs,
La situation des droits de l’homme en Mauritanie est plus que catastrophique. Des lois contre l’esclavage sont votées, exhibées par-ci, par-là, mises en scène tapageusement pour tromper l’opinion nationale et internationale. Des lois jamais appliquées, ce n’est pas ce qui manque dans ce pays , pire se sont les militants abolitionnistes, les militants des droits humains qu’on prend en otage pour les envoyer dans des bagnes à l’intérieur du pays à la place des bourreaux esclavagistes qui se pavanent en toute liberté fièrement.
Les lois sont faites dans le but d’extorquer des fonds aux bailleurs internationaux qui financent la Mauritanie sans contrôle ni exigence de transparence malgré le détournement à ciel ouvert des biens sociaux par le cercle proche du général putschiste Mohamed Ould Abdel Aziz. Les traités et conventions internationaux sont signés, ratifiés pour être jeté dans la poubelle.
Depuis le 11 novembre 2014, Biram Dah Ould Abeid qui fut distingué par le prix des droits de l’homme des nations unies en 2013, président d’IRA-Mauritanie, Brahim Rhamdane Ould Bilal, vice-président IRA-Mauritanie et Djiby Sowprésident de l’ONG Kawtal Ngam Yellittaré sont séquestrés dans le bagne d’Aleg à 250KM de la capitale pour 2 ans lors d’un simulacre faux procès théâtral. Les autorités les reprochent d’avoir mené une caravane contre l’esclavage foncier dans le sud de la Mauritanie, contre les expropriations de terres des pauvres paysans locaux en faveur des pays arabes du Golf, des chefs de tribus maures et la féodalité noire mauritanienne pour affamer les populations. Les autorités Mauritaniennes ont envoyé le prix des droits de l’homme 2013 des nations unies en prison sans aménagement avec du faux et usage de faux, tout un symbole montrant leur mépris total sans crainte des institutions internationales comme l’ONU et la commission des droits de l’homme ici à Genève.
Le fils du général Aziz, M. Badr Ould Mohamed Abdel Aziz a tiré à bout portant sur une jeune fille qui est paralysée à vie, il écope à peine une amende ridicule de 50 milles ouguiyas monnaie locale soit 150 euros, Bazra Ould Haidallah fils de l’ancien président Mauritanien se bagarre avec le fils du général Aziz encore le même Badr avec des armes de guerre blessant des citoyens et les forces de l’ordre en plein cœur de la capitale Nouakchott. Seul le fils de l’ancien président est jugé puis condamné à 2 ans de prison. L’un des cousins du général Aziz tire à bout portant sur un vendeur de fruits et légumes pour une orange et il est libre pendant qu’on traque des militants abolitionnistes comme des dangereux terroristes dans tout le territoire national.
La secte terroriste Boko Haram enlève 250 filles Nigérianes qu’elle destine à l’esclavage, la terre entière se met à hurler alors qu’en République Islamique de Mauritanie on vend entre 200 et 300 femmes comme esclaves aux riches Saoudiens et personne ne pousse le moindre cri pourquoi ces deux poids, deux mesures des institutions internationales? Le vendeur est connu et libre de ses mouvements, un proche de l’ex-ministre des affaires sociales et de l’enfance.
En Mauritanie on condamne à mort par pelletons d’exécution sous un tonnerre d’applaudissement, d’encouragement de Madame la présidente de la commission des droits de l’homme Irabiha Mint Abdel Weddoud et de Madame le commissaire aux droits de l’homme Aichettou Mint M’Heiham le jeune ingénieurMohamed Cheikh Ould MouKheitir et ces mêmes personnes viennent chanter, louer des supposés « progrès » en matière des droits de l’homme en Mauritaniealors que le jeune condamné à mort se plaint juste des discriminations par ascendances sur la base d’une fausse interprétation religieuse.
Diko Hanoune : militant abolitionniste contact : diko12003@yahoo.fr ou diko12003@gmail.com
Site internet : http://haratine.com./
A la commission des droits de l’homme àGenève-Suisse à l’occasion de la présentation du rapport sur les droits de l’homme en Mauritanie le 08 octobre 2015.
Mesdames et Messieurs,
La situation des droits de l’homme en Mauritanie est plus que catastrophique. Des lois contre l’esclavage sont votées, exhibées par-ci, par-là, mises en scène tapageusement pour tromper l’opinion nationale et internationale. Des lois jamais appliquées, ce n’est pas ce qui manque dans ce pays , pire se sont les militants abolitionnistes, les militants des droits humains qu’on prend en otage pour les envoyer dans des bagnes à l’intérieur du pays à la place des bourreaux esclavagistes qui se pavanent en toute liberté fièrement.
Les lois sont faites dans le but d’extorquer des fonds aux bailleurs internationaux qui financent la Mauritanie sans contrôle ni exigence de transparence malgré le détournement à ciel ouvert des biens sociaux par le cercle proche du général putschiste Mohamed Ould Abdel Aziz. Les traités et conventions internationaux sont signés, ratifiés pour être jeté dans la poubelle.
Depuis le 11 novembre 2014, Biram Dah Ould Abeid qui fut distingué par le prix des droits de l’homme des nations unies en 2013, président d’IRA-Mauritanie, Brahim Rhamdane Ould Bilal, vice-président IRA-Mauritanie et Djiby Sowprésident de l’ONG Kawtal Ngam Yellittaré sont séquestrés dans le bagne d’Aleg à 250KM de la capitale pour 2 ans lors d’un simulacre faux procès théâtral. Les autorités les reprochent d’avoir mené une caravane contre l’esclavage foncier dans le sud de la Mauritanie, contre les expropriations de terres des pauvres paysans locaux en faveur des pays arabes du Golf, des chefs de tribus maures et la féodalité noire mauritanienne pour affamer les populations. Les autorités Mauritaniennes ont envoyé le prix des droits de l’homme 2013 des nations unies en prison sans aménagement avec du faux et usage de faux, tout un symbole montrant leur mépris total sans crainte des institutions internationales comme l’ONU et la commission des droits de l’homme ici à Genève.
Le fils du général Aziz, M. Badr Ould Mohamed Abdel Aziz a tiré à bout portant sur une jeune fille qui est paralysée à vie, il écope à peine une amende ridicule de 50 milles ouguiyas monnaie locale soit 150 euros, Bazra Ould Haidallah fils de l’ancien président Mauritanien se bagarre avec le fils du général Aziz encore le même Badr avec des armes de guerre blessant des citoyens et les forces de l’ordre en plein cœur de la capitale Nouakchott. Seul le fils de l’ancien président est jugé puis condamné à 2 ans de prison. L’un des cousins du général Aziz tire à bout portant sur un vendeur de fruits et légumes pour une orange et il est libre pendant qu’on traque des militants abolitionnistes comme des dangereux terroristes dans tout le territoire national.
La secte terroriste Boko Haram enlève 250 filles Nigérianes qu’elle destine à l’esclavage, la terre entière se met à hurler alors qu’en République Islamique de Mauritanie on vend entre 200 et 300 femmes comme esclaves aux riches Saoudiens et personne ne pousse le moindre cri pourquoi ces deux poids, deux mesures des institutions internationales? Le vendeur est connu et libre de ses mouvements, un proche de l’ex-ministre des affaires sociales et de l’enfance.
En Mauritanie on condamne à mort par pelletons d’exécution sous un tonnerre d’applaudissement, d’encouragement de Madame la présidente de la commission des droits de l’homme Irabiha Mint Abdel Weddoud et de Madame le commissaire aux droits de l’homme Aichettou Mint M’Heiham le jeune ingénieurMohamed Cheikh Ould MouKheitir et ces mêmes personnes viennent chanter, louer des supposés « progrès » en matière des droits de l’homme en Mauritaniealors que le jeune condamné à mort se plaint juste des discriminations par ascendances sur la base d’une fausse interprétation religieuse.
Diko Hanoune : militant abolitionniste contact : diko12003@yahoo.fr ou diko12003@gmail.com
Site internet : http://haratine.com./
Source : Rapide Info (Mauritanie)
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