Le préfet du cercle de Yelimané dans la région de Kayes (Mali), que certaines voix surnomment affectueusement « Médicament » Diawara officie une cérémonie apologiste de l'esclavage coutumier. Une vieille femme est exposée comme une chose au service de la féodalité Diawara dont il est issu, elle présente toute sa famille comme des esclaves soumis à leur hôte préfet en visite dans les villages et puis, elle s'est mise à chanter louant ses maîtres.
Vous savez, l'esclavage est considéré comme un crime contre l'humanité partout, seuls certains féodaux Africains persistent et signent à dire que cela fait partie intégralement de leurs coutumes et US. Comment un crime contre l'humanité peut être considéré comme une fierté culturelle ? Ceci montre le degré du retard de certains africains, pas n'importe les quels en plus, puisque c'est carrément l'élite dirigeante par rapport au monde libre, progressiste dans le développement.
Je ne sais pas comment Assimi GOÏTA pourra libérer le Mali de la suprématie française pendant que ses propres hauts fonctionnaires font la promotion de la supériorité d'une catégorie de maliens sur d'autres dans des cérémonies officielles. La présence d'un officiel du gouvernement Malien dans des semblables circonstances nous donne de la nausée. Il est clair qu'on ne peut pas revendiquer le leadership du panafricanisme, l'anti-impérialisme tout en encourageant des cérémonies faisant l'apologie de l'esclavage coutumier ou ancestral entre des maliens.
Ce préfet Diawara qui encourage l'esclavage entre des maliens doit être révoqué. Rappelons que l'esclavage a fait plusieurs victimes par assassinats odieux dans les villages soninké et a entraîné des milliers d'expulsions de leurs villages d'origine sous le fallacieux prétexte qu'ils rejettent l'esclavage coutumier. Pourquoi monsieur le préfet ne travaille pas pour le retour et la réintégration de ces déplacés de force au lieu d'officier des cérémonies esclavagistes qui encouragent le phénomène ?
L'état malien doit mettre en place une loi incriminant toutes les manifestations de l'esclavage et ses séquelles en réprimant la complicité des fonctionnaires, des guides religieux et chefs coutumiers.
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vidéo : https://www.facebook.com/
Diko Hanoune
Traore
Abdoulaye nous écrit le message ci-dessous.
(( Bonjour à toutes et à tous
" Le Mali encore "
D'abord, je félicite et encourage le fervent défenseur infatigable des droits humains, combattant de tout le temps et de partout d'ailleurs contre les injustices, l'esclavage et toutes ses formes contemporaines à l'occurrence M.Dicko Hanoun pour ce travail important de dénonciation, qui constitue une alerte.
Nous sommes
indignes contre cet acte volontairement perpétré devant le Préfet de yelimané
M.Medikama Diawara, qui a accepté de laisser la vieille maman considerée
esclave de faire l'apologie de l'esclavage par ascendance en se réduisant et
reduisant ses parents et toute sa famille à des esclaves dont les uniques
Maîtres, les Diawara en étant fière aussi.
Nous dénonçons avec la dernière énergie cet acte bouleversant, abjecte à notre ère.
En effet, nous demandons à ce que le préfet de Yelimané soit arrêté, jugé et condamné.A travers cet acte notre combat contre l'esclavage par ascendance, la féodalité en milieu Soninké est justifié légitime par nos détracteurs, les douteux et donne raison incontournablement au mouvement Ganmbanaxun ant-esclavage en milieu Soninké.
Ainsi, nous attirons l'attention et demandons à tous les leaders abolitionnistes, les responsables des organisations, qui militent pour les droits de l'Homme, la communauté nationale et la communauté internationale de se lever afin de mettre pression sur l'Etat Malien pour arrêter ce bourreau esclavagiste nommé Diawara Medikama, préfet du cercle de Yelimane, qui encourage la pratique de l'esclavage pascendance intra-Soninkés(Marka) et d'autres criminels esclavagistes au Mali.Nous sommes pas étonnés ni surpris, Monsieur Diawara est issu de l'ethnie Soninké, il ne fait pas exception.
Partout chez
les Soninkés d'extraction nobiliaire, ils font toujours pareille chose au nom
de la gloire, de l'éloge de leurs familles esclavagistes si toute fois que
l'occasion les permet. Mais n'est pas c'est ce Monsieur qui disait contre
l'injustice entre les habitants, les populations de la localité du cercle de
Yelimané, en demandant les chefs coutumiers des villages de veiller sur
l'égalité entre tous les membres, des ressortissants du même village.
La féodalité Soninké est toujours fière d'être de possesseur des captifs maintenus sous ses ordres pour legitimer, la chefferie traditionnelle, marquer la différence entre les créatures humaines qui composent la même société. En effet, pour que le maître Soninké se sent noble, fort, responsable, il lui faut des dominés, des esclaves ou des anciens esclaves de sa famille sous le joug même si ces derniers ne sont pas pris en charge, ne travaillant pas quotidiennement où jamais pour lui mais cas même restent dans l'emprise, dans le symbole quotidien, une domination sans fin.
Ces bureaux
Soninkés du Mali, sont responsables de plusieurs crimes commis sur les esclaves
et les descendants d'esclaves révoltés contre leur condition subalterne, contre
l'injustice, les discriminations et les dérives, pourtant, ils n'avaient
revendiqué que l'égalité des droits entre tous les membres du village de la
communauté Soninké, le respect des droits humains et contre l'esclavage
pratiqué continuellement.
Mais malgré beaucoup des personnes ont été battues, lynchées, chassées de leurs villages de naissance et certains militants ont été assassinés.A rappeller les martyrs de Diandioumé notamment le Feu Muntaka Diarisso et son groupe anti-esclavage, feu Maman Diogou Sidibé de Lamy dans le Gadiaga au Mali militante jusqu'à son dernier souffle etc.
Aujourd'hui au Mali, nous assistons à de milliers de déplacés esclaves à travers le pays, qui ont fuit à cause de l'esclavage par ascendance pratiquée et des justices au Mali.
Par ce que l'Etat malien est complice dans cette affaire,les victimes de l'esclavage ne se sentent plus en sécurité, elles sont menancées partout du coup, elles ne pourront pas rester dans leurs villages.
Dans ce Mali
du Colonel Hachimi Goïtta, chef d'Etat actuellement du Mali ,
Il n'est pas admissible que la pratique de l'esclavage coutumier ou culturel continue en vigueur au Mali devant les autorités sans répression ni interdiction, non seulement c'est un crime contre l'humanité mais aussi l'Etat malien en ce moment est entrain de combattre la domination des anciens collaborateurs blancs donc deux poids deux mesures.
Nous reclamons haut et fort la legiferation d'une loi incriminalisant l'esclavage par ascendance au Mali pour arriver à l'éradication defitive de la pratique de l'esclavage et toutes ses manifestations.
C'est urgent
et nécessaire car sans celà l'esclavage ne sera pas aboli au Mali
définitivement.
SG
ARMEPES
M.Traore
Abdoulaye
Paris, le
12/07/2023))
https://www.facebook.com/1210183208/posts/10232877077728461/?mibextid=rS40aB7S9Ucbxw6v
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