Le pseudo
parti politique dénommé « Appel de la Nation Beïdane» que le
ministère de l’intérieur a donné un récépissé officiel en 2015, son responsable
n’est autre qu’un certain Daoud Ould Ahmed Aicha qui n’a jamais caché son racisme primitif envers tous les noirs
était dans un élan d’encouragement des activités racistes. C’est un allié du pouvoir, chouchou de medias officiels et privés dans le
pays en déversant sa haine sur les communautés noires.
Daoud Ould Ahmed Aicha dira : seuls les
Maures (Beïdanes) ont combattu le colon et construit la Mauritanie. Tous les
autres ne sont que des « arrivistes » qui doivent rester tranquilles
ou « dégager » de leur pays à eux les Beïdanes qui détiennent
suffisamment d’armes pour exterminer tous ceux qui voudraient en découdre avec
eux.
Le 18 février 2020, le député mauritanien,
président l’IRA, une ONG non reconnue depuis 12 ans d’existence sur le sol
Mauritanien, M. Biram Dah Abeid fut honoré par le prix du courage lors du sommet de Genève, pour les droits humains et la démocratie.
Dans son discours devant le parterre international, il taxe l’état mauritanien d’apartheid non
officiel implanté au cœur de l’Afrique de l’Ouest. Voila qui irrita les lobbies
extrémistes maures proches du pouvoir
qui n’hésitent pas à lancer des appels à prendre des armes contre les noirs.
Un « Front Arabe pour la Défense de Beïdanes,
c'est-à-dire des (blancs) » ne passera pas par quatre chemins, il fait savoir à qui de droit publiquement que le pouvoir revient aux
maures blancs uniquement, car, ils sont les seuls à qui devrait revenir le
pouvoir quoi que fasse les Haratine. Une manifestion est organisée devant la
présidence pour demander la protection de maures blancs par Ghazouani. Une
femme très excitée traite la communauté Haratine victime de l’esclavage maure de
« Bâtards » qui peuplent les Adwaba (villages Haratine). Ils
parlent des choses sordides, horribles,
ils voient des cadavres maures dans les rues de Nouakchott, leurs commerces et
biens sont vandalisés par des Noirs chaque jour, voila, appellent à prendre les
armes. Pourquoi l’état ne leur demande pas de nous sortir ces cadres maures
qu’ils nous parlent ?
Bizarrement, la Direction de la Sécurité du Territoire
(DST) reste indifférente, dès qu’un noir dénonce l’esclavage, le racisme, une
injustice ou l’exclusion, il est aussitôt persécuté, traqué comme un terroriste
par la même direction en quelques heures. Tout est fait au mini-mètre prêt pour
maintenir les ONG sérieuses de défense des droits humains et certains partis
politiques que dirigent les noirs dans l’illégalité afin de les étouffer.
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