Au secours des Haratine:SOS-Abolition

mercredi 6 mai 2015

Attention à la tazaboutt (Vengeance divine) des Hratines



Partis défendre le faux et son usage, roué de coups il est revenu avec une jambe fracturée, un nez saignant  et un visage défiguré du fait d’un mari jaloux.

Enseignant de son état, promus  au rang d’inspecteur d’enseignement fondamental, avantagé injustement comme inspecteur régional  , et grand commis des services de renseignements, le président de l’ONG fantaisiste et fantomatique pour le  beau discours ,discours  complaisant  a vu du feu dans la capitale Gambienne Banjul, frôlant la mort n’eut été l’intervention des hommes du frimeur à canne , chapelet et bonnet blanc,  en effet ce ringard faisant partie d’un groupe de misérables choisis pour  assister à la  56e  sessions de la commission africaine des droits de l’homme et des peuples. 

Descendant  nuitamment dans la capitale du marabout président,  cherchant là où il pouvait adoucir son charnel, et bien il tomba sur la grande Fantine qui n’est pas  la petite  fantine décrite par VICTOR HUGO, dans son livre les Misérables comme étant « une jeune  fille, jolie et blonde avec des belles dents, un jour qu’elle rencontra un certain  Tholomyés, amourette pour lui ,ils vivaient des moments inoubliables de passion ». Ici Fantine est grande et mariée et Tholomyés est un vrai Dik Hil Bowbe (Coq Hil Bowbe) dont  l’histoire est connue dans notre oralité, il part le matin et ne revient que le soir passant toute la journée à chercher une bien aimée. Oui ce guetteur d’érotique tomba par mal chance sur la grande Fantine mariée, aussitôt découvrit par son mari, ce dernier le  prenait, le terrassa le rouant de coups de pieds et de mains, le faisant oublier quel genre de discours il faut tenir et quel autre il faut lutter contre.  Criant au secours comme Jean  Valjean , le Dik Hil Bowbe  pleura longtemps  à chaudes larmes faible comme une femme et effrayé comme un enfant  ,  il cria et cria encore attirant  l’attention des passants venus à son secours il trouva une faille ; il sursauta comme un Kangourou en prenant la poudre d’escampette, regagnant sa chambrette  d’Hôtel,  le Dik Hil Bowbe plumes mouillées ,éhonté, queue entre le jambe comme un chien malmené par les siens dira qu’il est tombé descalier, regagnant Nouakchott, il n’a pipé mot. Eh bien les amis attention à la TAZABOUTT DES HRATIN.


Maham Youssouf 

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